Pourquoi moi
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Un homme voit sa famille assassiné et décide de ce faire justice

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Publié le 12 novembre 2011
Nombre de lectures 173
Langue Français

Extrait

POURQUOI MOI ?
Introduction
-Mais que fais donc Valérie ? interrogea Hervé légèrement impatient car il était invité à diner et qu’il détestait être en retard -Tu sais bien que dès qu’elle est avec sa mère elle papote des heures et puis ça fait longtemps que les enfants n’ont pas vu leur mamie Françoise, lui fit remarquer ça mère. Mais rien ne pouvais justifier un retard pour ce maniaque de la ponctualité, et alors qu’il s’apprêtait à téléphoner, la sonnerie le pris de vitesse. En un éclair son visage ce creusa et son teint devint plus blanc qu’une première neige. -Que ce passe t il, mais enfinrépond, répond. Gérard viens vite Hervé et tomber. Quelques minutes plus tard Hervé ouvrit des yeux rempli des larmes épaisses et coulant à flot inondées son visage. -Ils …. Ils… ils sont morts bredouilla cet être détruit en un instants. Chapitre 1 En sortant de la gendarmerie titubant et incolore, Hervé ne pris même pas la peine d’éviter la vielle dame qui comme chaque semaine allait se plaindre du bruit dans son quartier. -Pourriez pas faire attention espèce d’alcoolo lança t elle sèchement. Si elle savait cette mégère au jugement instantané. Mais le dévasté ne se retourna pas. Il pensait sans cesse à cette phrase prononçait par le gendarme < Vous savez cette affaire risque d’être longue il faudra vous montrez fort et patient> et de revoir les images de sa femme nu ficelée avec ses deux enfants nus également et couvert de sang sortant des multiples coupures qu’ils leur fussent infligés. Arrivant enfin chez lui il se laissa choir dans un fauteuil et comme chaque jour depuis ça demi mort embrassa la photo de sa famille avant de rester prostré tel un hibou les yeux sortant des orbites, il fixait le mur. La sonnette dont la mélodie avais été choisit par ça femme le fit sortir de ça léthargie et repleurer de comme chacun des souvenirs aussi menu soit il. Sur le pallier ce tenait son frère venu lui apporter croyait il du réconfort. Ni l’un ni l’autre ne savais quoi dire et rendait ce moment pesant. -Mais que faisaient-ils dans son quartier de cas sociaux lança soudain Bertrand l’ainé des deux frères. Ils n’y a là-bas que de la merde et des feignants. -Et un assassin fit la voix tremblante du cadet. -Tu sais aussi bien que moi que les flics ne mettront jamais les pieds là-bas, ils sont bien trop peureux, à croire que quand tu entre dans la police on te coupe les couilles. -Tu crois quoi que je vais devenir le nouveau Charles Bronson, le justicier braque les violeurs assassins. A peine eu t il prononcé cette phrase qu’Hervé ce mit debout et continua. -Ta raison c’est à moi de régler cette affaire. Viens ! Chapitre 2 Arrivant dans le quartier des forgerons, baptisé ainsi pour on ne c’est quel raison, les deux complices s’arrêtèrent un instant sur le parking mal éclairé ou fût perpétrer l’horreur, des traces de sangs mal nettoyé témoigné encore du carnage.
Regardant autour d’eux ils virent la fenêtre d’une tour éclairer dont le rideau légèrement décalé laissez croire que quelqu’un les observés. Après avoir compté les étages tout deux se rendirent chez l’inconnu pour chercher un possible renseignement. Arrivant devant la porte Bertrand frappa et un silence interminable sans suivi. -Que me voulais vous, partez ou j’appelle la police. -Excuser nous mais je suis le mari de la personne qui à été sauvagement tuée sur le parking et je voudrais savoir si vous avez vu ou entendu quelque chose. La porte s’ouvrit lentement et laissé apparaître un appartement sans vie sentant le vieux papier et ou le temps la mort semble présente dans chaque recoins, au milieu de ce taudis ce tenait une horrible vieille femme que le temps n’avait pas épargné. Néanmoins elle fit entrer les détectives et referma très vite la porte de son antre, en prenant soin de regarder si il n’y avait personne d’autre. -J’ai dis ce que je savais à la police mais ils ne m’ont pas écouté pour eux je ne suis qu’une vieille folle. Attaqua aussitôt l’ancêtre qui leur servait d’hôte. Avant d’ajouter : ne serait ce pas vous qui avais failli me faire tomber devant la gendarmerie il y a quelque temps jeune homme ? Mais le jeune homme ne se souvenais absolument pas de cette momie et passa outre cette question. - Que leur avait vous dit exactement enchaina Hervé. - Que le soir du meurtre j’étais à la fenêtre pour arroser mes géraniums et que j’ai entendu des cris et des larmes, qui venait de derrière une camionnette bleu. Mais que cette camionnette me cacher la scène. - Savais-vous à qui appartenait le véhicule - Je ne l’ai jamais vu. Après avoir bu leur cafés, Bertrand et Hervé prirent congés de cette personne qui tout compte fais n’était pas si horrible que ça. -Bon ben on a plus qu’à retrouver la camionnette bleue, balança Bertrand en montant dans sa Ford. Chapitre 3 Les justiciers bien décidé à retrouver ce mirent à tourner10 à 15 heures par jour dans tout les recoins de la ville afin de mettre la main sur cette camionnette qui les obnubilé tant. Mais bientôt 2 mois passèrent puis 3 sans aucune trace du véhicule. Décourager les frangins se rendirent compte que joué au policier n’été pas si facile que le présumé le début de leur enquête. De plus en plus dévasté Hervé laissa tomber son désir de vengeance qui le maintenait en vie et sombra petit à petit dans l’alcoolisme, il ce disait que tant qu’il été saoul, il ne pensait plus à rien et qu’il trouvé enfin le sommeil. Durant six mois passé à vomir le matin et à ce poivrer le pif l’après midi, le veuf n’étais plus qu’une épaveà peine bonne à lacer ses chaussures. A le voir on ce remettait à croire au fantôme son visage été creux, rouge vif et sans vie, son poids ne dépassé pas les 55 kilos pour 1m80 lui donner l’allure d’un ballon accroché a une ficelle allant la ou le vent le porte en espérant que se soit dans un bistrot. Même son frère avait renoncé à l’aider, à force de s’imbiber cette barrique avait perdu tout c’est amis et sa famille ne supportant plus ses excès de colère du au trop plein de son foie devenu éponge. Passant plus de nuit en cellule de dégrisement que chez lui Hervé fut bientôt contraint de suivre une cure, sous les conseils avisé d’un juge devenu presque un proche tant ils ce sont rencontrés. Peu de temps avant son premier jour de cure qui coïncider jour pour jour avec la mort de sa famille, on sonna à sa porte. Chapitre 4
-Bonjour monsieur je vends des parures de draps pour … Mais c’est parole passèrent a travers Hervé comme le vententre les arbres d’une forêt, la seule chose que voyait notre homme figé comme un statut c’était une camionnette bleue immatriculé ici et garer devant chez lui comme une ultime provocation. Soudain il attrapa le marchand par le bras et le propulsa avec une telle force à l’intérieur de sa maison que le pauvre vendeur fit2 mètre avant de retoucher enfin le sol jonché de cadavre de bouteille en tout genre, on entendit la porte claquer, Hervé posséder par la haine se rua sur le pantin qui gesticulai dans son capharnaüm etfini par le ligoter solidement sur une allongé sur un tapis qui aurait très bien pu fournir du travail au gitan tant il était usée. Hervé observé son prisonnier avec une certaine jouissance, tout en tirant de petites bouffés dans ça cigarette mal roulée, le condamné ne pouvais plus ouvrir sa bouche solidement bâillonnée par l’animal vicieux qu’étais devenu cet homme brisé. Les idées de vengeance enfoui de cet être depuis un an rejaillissait encore plus noir que ce qu’elles étaient, ainsi Hervé devenu pire que la gestapo, ce mit à découpé tout les vêtements crasseux de celui qui pour lui était responsable de sa déchéance. Dés lors toutes les heures des sévices étaient perpétré sur la victime de la rage.Ca commença par une bouteille de liqueur enfoncer dans l’anus, pour qu’il, ressente ce que ça fait de ce faire violer, puis un a il lui bruler les doigts avec à l’aide d’un zippo, pour enfin lui mettre un coup de pied sans rien viser de spécifique chaque fois qu’il passait à côté. Deux jours suivirent ce calvaire jusqu’à ce que la police alertée par la disparition du marchand ambulant débarque devant la maison du fou furieux. Très vite l’on découvre ce qui ce passe dans la maison, seulement le temps que les forces de l’ordre parviennent à entrer Hervé se jeta sur son pantin et lui mis des coups poing américain au visage avec une tel hargne que très vite la tête de sa victime ne fût qu’un tas de chair ensanglanté et sans vie. Quand la porte finit par céder, la police à découvert deux corps inerte sur le sol, un ayant la gorge tranché et l’autre méconnaissable après un tel acharnement. Conclusion Après enquête l’on découvrit que le marchand avait acheté ce véhicule bleu, il y a un mois à un repris de justice habitant la cité des forgerons. Hervé fut présenté dans les journaux comme une bête sauvage que l’alcool a rendu fou, le tzigane laissa une femme et trois enfants dans la douleur et sans le sous, quant au tueur, violeur et ancien propriétaire de la camionnette qu’il laissa cachée pour couvrir les atrocité qu’il avait commis sur la raison de vivre de Hervé, il ne fût jamais inculpé pour ce qu’il avait fait sur ce parking, jusqu’à ce que Bertrand le noie dans une fontaine et finisse en prison pour le restant de ces jours. Chaque soir dans la cellule on peut entendre Bertrand chuchoter « mais pourquoi moi » FIN
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