O&B L'agaptualité n°12 - Décembre 2013

Helene.Long

Description

Décembre 2013 nº 12 Dans cette édition : l’ industrie ! Édito De belles perspectives de développement pour agap2 ! Par Thomas Basin, Responsable adjoint de la Business Unit Île-de-France  ! Un chifre symbolique, celui d’un nouveau cap franchi par agap2 France sur le dernier trimestre 2013. Plus de 400 agapiens inter -400viennent désormais sur tout le territoire, et c’est tout autant de clients soigneusement accompagnés par nos équipes. Malgré un climat social et économique plus que morose, agap2 poursuit sa croissance, toujours en quête de nouvelles opportunités. Nous de- vons rester ambitieux et nous positionner sur de nouveaux marchés. Délocalisation, remise en cause de la qualité, des délais, ou encore des trans- ports, un certain nombre d’industriels relocalisent tout ou une partie de leurs activités, et d’autres franchissent le cap du « backshoring ». Soyons présents à leurs côtés et permettons qu’agap2 puisse les aider. Nous sommes fers d’être présents sur les secteurs de l’énergie, de voir se réaliser des projets d’envergure aux quatre coins du monde et de vivre de formidables expériences. Un des piliers de la Troisième Révolution Industrielle, la production énergétique distribuée permet de produire de l’énergie à partir de sources renouvelables (soleil, vent, marée, géothermie etc.).

Informations

• Publié par: agap2
• Publié le: 23 janvier 2014
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• Langue: Français
• Poids de l'ouvrage: 1 Mo

Extrait

Dans cette édition :

l’ industrie !

Décembre 2013 nº

12

Édito De belles perspectives de développement pour agap2 ! Par Thomas Basin, Responsable adjoint de la Business Unit Île-de-France ! Un chi#re symbolique, celui d’un nouveau cap franchi parp2agaFrance sur le dernier trimestre 2013. Plus de 400 agapiens inter- 400 viennent désormais sur tout le territoire, et c’est tout autant de clients soigneusement accompagnés par nos équipes. Malgré un climat social et économique plus que morose,gapa2poursuit sa croissance, toujours en quête de nouvelles opportunités. Nous de- vons rester ambitieux et nous positionner sur de nouveaux marchés. Délocalisation, remise en cause de la qualité, des délais, ou encore des trans- ports, un certain nombre d’industriels relocalisent tout ou une partie de leurs activités, et d’autres franchissent le cap du « backshoring ». Soyons présents à leurs côtés et permettons qu’gap2apuisse les aider. Nous sommes %ers d’être présents sur les secteurs de l’énergie, de voir se réaliser des projets d’envergure aux quatre coins du monde et de vivre de formidables expériences. Un des piliers de la Troisième Révolution Industrielle, la production énergétique distribuée permet de produire de l’énergie à partir de sources renouvelables (soleil, vent, marée, géothermie etc.). Chaque bâtiment est transformé en une mini-centrale intelligente qui va produire cette nouvelle énergie, cette dernière pourra alors injecter ou soutirer l’excédent produit sur un réseau de proximité intelligent de type smart grid. L’enjeu est ainsi de répondre à ses propres besoins. Cette vision, adoptée par l’Union Européenne, c’est notre marché de demain !

Le mot du Président

Notre force, nos talents ! Par Patrice Giudicelli, Président es secteurs et métiers d’aag2pajoutée technologique. Une de nos principales forces est notre capacité à attirer, à former et àsont à forte valeur L faire adhérer au projetap2 gades ingénieurs de talent. Nous sommes aujourd’hui, après moins de 8 ans d’activité, une référence dans le domaine de l’industrie (énergie, infrastructures, sciences de la vie) et dans le secteur des systèmes d’information. En moins de 5 ans, nous avons créé un réseau agap2international, avec une présence en Belgique, en Suisse, en Allemagne, aux Pays-Bas, au Portugal et en Espagne. Aujourd’hui beaucoup d’entre vous sont impliqués sur des projets à l’international, en Asie, au Canada, en Russie et dans les pays du Golfe. Nous devons notre positionnement et notre réputation à vous tous, aux hommes et aux femmes qui constituent agpa2et qui véhiculent au quotidien son image. Une entreprise c’est avant tout un groupe de talents. 1 Attirer, garder et faire évoluer ces talents sont des enjeux permanents chez2gapa. Pour cela, nous nous positionnons sur de nombreux appels d’o#re en amont des projets. Nous devons également être C’est la place occupée paragap2dans le à l’écoute de notre marché, identi%er les grands projets actuels et futurs, être force de proposition, et classement Fast 5 de Deloitte, un palmarès qui répertorie les premières entreprises savoir tisser des liens avec nos donneurs d’ordre. technologiques innovantes et perfor- Notre réputation et notre savoir-faire reposent sur les talents d’aag2pce sont nos forces. Nous consti- mantes. Bravo pour cette belle place en tuons tous ensemble une chaîne d’hommes et de femmes qui œuvre pour l’innovation. Jours après haut du podium ! jours, nous devenons un des acteurs technologiques d’avenir.

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Nos ProjÉts

Les Tours-istes Par Frédéric, Mehdi et Alexandre, Ingénieurs Consultants (agap2Ile-de-France) e Centre National d’Équipement et de Production d’Électricité d’EDF à Tours, L le CNEPE pour les intimes, est le centre d’ingénierie qui travaille à la réno- vation et à l’amélioration des parties conventionnelles des centrales nucléaires. L’Agence Achat Ingénierie (AAI) du CNEPE procure aux ingénieurs projets et aux ingénieurs d’études les solutions pour la réalisation de leurs projets. L’AAI CNEPE est également le pôle d’achats de l’Unité Technique Opérationnelle et de l’en- semble des sites thermiques français. Trois agapiens formés à la prestigieuse École Nationale d’Ingénieurs du Val de Loire se lèvent ainsi chaque matin pour travailler d’arrache-pied sur des projets de l’AAI, estimés à des millions d’euros. Dénition de la stratégie, rédaction des contrats, négociation, gestion des litiges… Nous mettons tout en œuvre pour que les enjeux commerciaux, économiques et juridiques soient placés au cœur des projets d’ingénierie.

Alexandre :« Après un stage dans l’automobile, j’ai voulu travailler dans le sec- teur de l’énergie. Ici, les achats d’investissement sont particulièrement attractifs : les montants sont élevés et à la hauteur des enjeux. La dénition de la stratégie tient une place importante, mais les projets le sont aussi. Il faut savoir gérer à la fois la relation avec les responsables projets et celle des fournisseurs. L’impor- tant est alors de ne pas sauter les étapes et de savoir impliquer les fournisseurs dans le projet. Voilà comment réaliser ces études dans les règles de l’art en un temps record ! »

Mehdi :« En projet à Tours depuis plus de deux ans, ce projet EDF m’a permis d’évoluer rapidement. Actuellement le portefeuille dont je m’occupe comporte : - une a#aire stratégique d’un montant supérieur à 10 millions d’euros ; - des a#aires à forts enjeux relatives aux ‘‘bunkers’’ qui seront construits an de gérer les crises nucléaires ; - des litiges de plusieurs millions d’euros qui promettent d’âpres négociations... »

Frédéric :projet au sein de l’AAI CNEPE depuis 2 ans et demi j’ai eu l’opportunité de travailler sur le portefeuille des Groupes Turbo-alter-« En nateurs. Ce portefeuille est particulier, la majorité des dossiers est traitée sans mise en concurrence. Dès lors, les négociations commerciales et contractuelles sont plus di%ciles. Néanmoins, traiter ce type d’a#aires permet d’acquérir de bonnes qualités de négociateur et de monter en compétences très rapidement. La mission à l’AAI nous o#re à chacun une vision particulière et pluridisciplinaire du métier d’acheteur. Être de formation ingénieur est un réel avantage dans ce domaine d’achats car nos facultés techniques nous permettent d’intervenir dès la rédaction du cahier des charges. Nous pouvons ainsi dénir au mieux le besoin avec les équipes techniques et obtenir le meilleur prix en n de processus. Pour conclure, nous sommes ers de représenter2apaget nous vous remercions de payer vos factures d’électricité an de nous permettre de poursuivre nos projets au sein d’EDF ! »

RéduirÉ lÉs cas dÉ contaminations Par Tristan, Ingénieur Génie Chimique (agap2Bâle) our le compte d’un des leaders mondiaux de l’industrie pharmaceutique, j’ai intégré l’équipe P de travail interne dans le cadre d’un projet global de réduction des cas de contaminations in- duites par des corps étrangers. En étroite collaboration avec les unités de synthèse des principes actifs, mon projet se focalise plus particulièrement sur la prévention des causes opérationnelles pouvant mener à ces contaminations.

Mon projet est précis, ciblé sur le fonctionnement quotidien d’un bâtiment à travers l’aspect comportemental : connaissance des risques induits, du fonctionnement de la maintenance et de l’organisation du travail. Le cœur de mon projet est d’accompagner les opérateurs et les techniciens de maintenance dans leurs tâches ordinaires et extraordinaires. Je les sensibilise à la problématique an de développer un réseau d’échange et de favoriser le partage des expé- riences entre les bâtiments. L’idée est de créer une amélioration globale, visible et mesurable.

Profondément tourné vers les problématiques concrètes de la production, ce projet me permet de valoriser mon expérience précédente acquise en tant que responsable de fabrication, d’approfondir mes connaissances de l’industrie pharmaceutique et de mettre en avant mes compétences relationnelles.

Focus CliÉnt

Aubert & Duval - Groupe ERAMET Par Bastien, Chef de projets Travaux Neufs (agap2Lyon) gapien depuis 2010, après mes premiers pas dans la métallurgie, j’ai décidé de relever le challenge avec Laurent, mon manager. En tant A que Chef de projets, j’ai intégré le service Travaux Neufs de la société Aubert & Duval pour l’étude et la réalisation de tous travaux d’ordre électrique, automatisme et dernièrement pour la mise en place d’un système de vidéosurveillance.

Leader mondial des métaux d’alliages, notamment dans le manganèse et le nickel, ERAMET est un groupe minier et métallurgique français haut de gamme. Le groupe, structuré autour des trois branches, Manganèse, Nickel et Alliages, emploie 15 000 personnes réparties sur 47 sites industriels dans 12 pays (20 pays en comptant le réseau de vente). En 2012, le chi#re d’a#aires du groupe s’élève à 3 447 millions d’euros.

Le processus d’élaboration d’alliage, de superalliage ou d’inox

La première étape consiste à établir une recette suivant les attentes du client (alliage, superalliage, inox). La matière première est récupérée dans le parc à ferrailles puis est fondue dans un four électrique à arc de 46T. Dès que le métal en fusion correspond à la recette, il est transféré, suivant le type d’acier voulu, soit au four d’a%nage en poche chau#ante sous vide (VAD), soit au four d’a%nage sous vide pour acier inoxydable (VOD). Le métal a%né est alors moulé en lingot suivant le procédé de Coulée en Source. Une fois le lingot solidié, il est trans- féré à la forge où il est réchau#é par des fours. Dès que le lingot est assez chaud pour être déformable, il est forgé grâce à une presse de 5 000 tonnes, c’est ce qui donne à la pièce sa première forme. L’étape suivante est le traitement ther- mique, c’est à ce moment que la pièce va obtenir ses caractéristiques méca- niques et chimiques en fonction des exigences du client. Puis, toujours en fonction du cahier des charges, la pièce peut être usinée ou alors directement contrôlée pour nir aux essais.

Nos ProjÉts IT

DévÉloppÉmÉnt, hébÉrgÉmÉnt Ét support dÉs applications métiÉrs du groupÉ Accor Par Patricia, Consultante (agap2IT) n février 2013, j’ai eu la chance d’intégrer en tant que Chef de cun informe les autres des tâches planiées pour la journée, des E projet l’équipe Intranet et Corporate intervenant pour Accor. aboutissements et des di%cultés rencontrées la veille. Le reste Nous sommes responsables du développement, de l’héberge- de la journée se déroule entre réunions, développement, mises en ment, du support des applications métiers (paie, facturation, etc.) production et planication. et du site d’o#res d’emploi du groupe Accor. Tous nos projets se déroulent au même moment et portent sur des su- L’équipe compte 8 chefs de projet, 10 développeurs informatiques, jets très distincts, créés sur des technologies di#érentes. Certains projets 1 helpdesk et 4 stagiaires. Nous mettons en place tous types de existent depuis 8 ans et sont basés sur des technologies anciennes dont solutions informatiques, de la gestion de congés des employés au le support est parfois complexe. Quant aux nouveaux projets, nous choi- contrôle de qualité hôtelière, en passant par le grand projet 2013 : sissons l’architecture ainsi que la technologie à u tiliser. Nous travaillons sur le nouvel Intranet Accor – « IntrAccor ». Il s’agit d’un projet techno- 70 projets au total, il y a donc toujours quelque chose à faire ! logiquement avancé, développé en SharePoint, en collaboration avec une société externe et Microsoft. Une équipe de 7 personnes Plus précisément, mon travail consiste à planier les calendriers est dédiée à ce projet. des développeurs (en moyenne, 2/5ème pour le support, et 3/5ème pour le développement). Les chefs de projets travaillent Nous travaillons de manière méthodologique. La journée typique ensemble pour apporter leur soutien à l’équipe de développeurs. commence par un point Scrum pour donner la possibilité aux Nous faisons également le pont avec nos clients, qu’ils soient in- membres de l’équipe de partager leurs connaissances. Ainsi, cha- ternes ou externes au groupe Accor.

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Zoom

Le backshoring ou la délocalisation inversée : le courant à contre-courant Par Flavien, ingénieur géotechnicien (agap2Lyon) $n de bien comprendre ce qu’est le backshoring, il faut tout France. Pour ce dernier pays, citons notamment le c as du mo- A d’abord s’intéresser à l’o&shoring. dèle Renault Trafic « offshorisé » en Espagne et qu i a été « backs- Qu’est-ce que l’o&shoring ? horisé » à Sandouville. Autre exemple : le numéro d eux britan- Cela correspond au déplacement d’un processus d’a&aires d’une nique de l’énergie, Powergen, filiale du groupe all emand E.ON, société d’un pays vers un autre, généralement dans le domaine a ainsi décidé de fermer ses centres d’appels en In de pour créer opérationnel. Cette externalisation concerne par exemple des acti- 1,000 emplois au Royaume-Uni. Le groupe, qui avait délocalisé vités de production, mais peut aussi être appliquée au domaine de ses premiers emplois en 2001, a fait ce choix suite à de nom- la comptabilité et du service clients. Ainsi, 94% des grandes entre- breuses plaintes émises quant à la qualité de son s ervice. « Bien prises européennes, américaines et multinationales externalisent que le coût de l’emploi délocalisé puisse être bas, nous ne pou- au moins une de leurs fonctions commerciales importantes (Out- vons pas faire des économies au risque de mécontent er nos sourcing alert, june 2011). clients », a expliqué Nick Horler, directeur des op érations. Le backshoring est exactement le processus inverse de l’o&shoring Toujours est-il que les multinationales américaines sont de plus puisqu’il s’agit de rapatrier les compétences délocalisées. Ce phé-  en plus nombreuses à s’adonner à ce phénomène, fait remar- nomène en pleine expansion concerne des sociétés implantées quer William Holstein (The case for backshoring: wh y manu- en France, au Royaume-Uni et aux Etats-Unis. D’après de récentes facturing operations should return to the United St ates), parce études, le backshoring s’explique par une diminution des avan- qu’elles découvrent peu à peu les retombées négativ es des tages de fabrication entre les pays délocalisateurs et les pays à délocalisations. faible coût de main d’œuvre. C’est notamment le cas entre la Chine et les Etats-Unis. Ces études, ainsi que les statistiques actuelles, C’est le cas de NCR (National Cash Register), une entreprise qui incitent les entreprises à procéder à une analyse du coût total de fabrique des distributeurs automatiques de billets « high tech ». leur délocalisation a$n de décider si la poursuite d’une activité à Malgré son franc succès, l’entreprise a décidé de r apatrier en l’international est favorable ou non. Caroline du Sud ses sites de production chinois et indiens. Parmi les raisons qu’avance NCR figurent les économ ies sur les Certains facteurs, auparavant avantageux, ont une in!uence intellectuelle é de la propriét sécurisationcoûts de transport, la non négligeable sur le processus de backshoring : t l’entreprisemais aussi l’obtention d’externalités positives don - hausse des salaires des pays à faible coût de main d’œuvre ;prive en éloignant ses sites de production.se - augmentation de la production US ; - a&aiblissement du dollar ; ChirÉs cles : - frais d’expédition par rapport aux coûts de transports élevés ; - prix des terrains. - Les salaires et prestations augmentent de 15% à 20% Le backshoring possède aussi des avantages pratiques dans par an en Chine. les métiers de l’industrie et l’ingénierie du fait de : - La rentabilité de la délocalisation diminuera de 55% à - la proximité des ingénieurs ; 39% d’ici à 2015. - les droits intellectuels ; - 21% des fabricants nord-américains prévoient d’adap- - le coût moindre de modernisation des usines existantes ; ter la production au plus près du continent (www.mfg. - l’absence de perte de suivi des composantes ; com) - la culture de proximité. - Le coût de l’électricité en Chine a augmenté de 15% depuis 2010. La Chine et les Etats-Unis n’en sont qu’un exemple. Le backsho- ring touche aussi le Royaume-Uni, l’Inde, l’Espagne ou encore la

LÉs initiativÉs I Gadz the feeling ! Par Gautier, Chargé de Recrutement (IledeFrance) $n de développer de meilleures relations avec certaines écoles,p2aga entreprise rIle-de-France a établi un partenariat avec la Junio A des Arts et Métiers (l’AMJE). Une quinzaine de Gadz ’Arts a rejoint nos managers ainsi que notre équipe RH pour une initiation au métier d’ingénieur d’a&aires. Nous avons commencé par échanger sur le fonctionneme nt et les métiers d’ap2ga, puis nous sommes entrés rapidement dans le vif du sujet : la présentation du métier d’ingénieur d’a&aires. Approches commerciales, techniques de prospection et de négociations, l’idée était de permettre aux élèves de se projeter dans une journée type. L’échange s’est terminé autour de bons fromages et d e vins sélectionnés par nos spécialistes, de quoi c lôturer cette rencontre dans la convivialité ! Aujourd’hui notre objectif est de pérenniser cette relation avec l’AMJE et d’élargir ces actions auprès d’autres écoles d’ingénieurs. Et pour- quoi pas attirer les plus talentueux d’entre eux au sein de nos équipes !

Çá s’est pássé … à Bâle !

Visite de lá centrále soláire et éolienne du Mont-Soleil Par Elise, Administrative & Communication Manager (agap2Bâle)

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vant l’arrivée de l’hiver, je cherchais un événement enrichissant en extérieur. J’ai donc donné rendez-vous à nos consultants au milieu des pâtu- A rages du Jura-Bernois à plus de 1200 mètres d’altitude pour visiter la centrale solaire et éolienne du Mont-Soleil, la plus importante installation suisse de recherche et de démonstration ! Après s’être frayé un chemin dans les montagnes jurassiennes, et à peine descendus de voiture, le fameux bruissement des éoliennes retentissait déjà

dans nos oreilles. Ce premier contact a d’emblée attisé notre curiosité. Nous avons eu beaucoup de chance ce jour-là. Le temps magnique nous a permis d’admirer un vrai paysage de carte postale avec d’immenses val- lées vertes et un beau coucher de soleil ! Nous avons débuté la sortie par une visite d’éoliennes, en présence d’un fantastique guide du coin, avec un bel accent à la clé. Puis nous sommes entrés dans une éolienne, c’était impressionnant ! Nous ressentions comme un tremblement continu sous nos pieds ! Certains ont même eu la sensation d’être sur un bateau ! Ensuite, nous avons visité l’énorme parc solaire, puis l’espace « découverte énergie » où nous avons eu des explications fortes intéressantes. L’énergie produite par la centrale solaire et éolienne permet de couvrir quotidiennement 200 foyers jurassiens ! Pour clôturer cette soirée, un apéritif avec des produits locaux nous a été servi : fromages faits maison, pains fermiers et vrais jus de pommes pressées, autant dire que nous avons bien été gâtés ! Puis, de nuit, nous avons quitté le jura bernois sous le tintement des cloches de vaches ! Je tiens à remercier toutes les personnes présentes ce jour-là !

Cá s’est pássé ... a Páris

Ça s’est passé à … LYON !

Un Laser Game pour les Lyonnais Par Paul, Ingénieur Consultant (agap2Lyon)

Course aux énigmes : les passages parisiens Par Dounya, Ingénieur d’a"aires (agap2Ile-de-France)

as de quartier entre les 10 équipes lancées dans la P course erénée aux énigmes ! Entre Street Art et monuments classiques, le parcours a été fort en émotions et en challenges : la chasse aux points était ouverte ! Du Palais du Louvre, aux passages insolites de Paris et même d‘une boutique de cannes, chacun a laissé libre cours à son imagination pour surmonter les épreuves. Les &ns stratèges se sont habilement répartis les tâches entre observation, culture historique et talents photogra-

ctobre 2013, cela fait un an que je suis consultant2apag et que O j’interviens sur un projet Technip. Comment fêter au mieux cet anniversaire avec mes chers collègues ? En leur tirant dessus bien sûr ! Le Laser Game, c’est une nouveauté pour moi ! Nous sommes une petite cinquantaine ce soir-là. Le réconfort avant l’eort, la rencontre débute autour d’un Soft Bar, l‘occasion également pour moi de revoir mes collè- gues agapiens et de faire la connaissance des nouveaux. Quelques verres après, la première partie commence : rivalité, compéti- tion acharnée et stratégies bien montées, pas de pitié ! Les 4 équipes s’ relâche ! On tire sur l’ennemi, et encore plus sur les copains ! Entre chaque partie, on parle tactique pour la prochaine bataille, on boit quelques rafraîchisse- ments pour reprendre des forces et on règle les comptes avec les ennemis … euh les copains de l’équipe adverse Les parties suivantes sont encore plus palpitantes et certains agapiens notamment de l’équipe intervenant chez Technip prennent un malin plaisir à me faire « payer » la partie précédente (Damien et Nadège  se reconnaîtront). Wendy et Julien ne m’ont pas non plus laissé de tout repos. Heureusement, j’ai pu compter sur ma &dèle alliée, Cora- lie, qui a bien recti&é le tir au &l des parties, quelle championne !

phiques. Une belle découverte, avec des énigmes bien &celées qui nous ont

donné du &l à retordre (quelqu’un peut-il en&n m’expliquer où trouver les strates de stuc ??) Sans oublier l’objectif &nal, tous se retrouver au Dood pour un rafraîchis- sement bien mérité ! Un grand merci à Stéphanie, la reine de la devinette !