Synthèse du Livre blanc de l hépato-gastroentérologie
20 pages
Français

Synthèse du Livre blanc de l'hépato-gastroentérologie

Le téléchargement nécessite un accès à la bibliothèque YouScribe
Tout savoir sur nos offres
20 pages
Français
Le téléchargement nécessite un accès à la bibliothèque YouScribe
Tout savoir sur nos offres

Description

Le Livre Blanc de l'Hépato-Gastroentérologie © SNFGE, 2001Texte de synthèse (Note du webmaster: ce texte est le résumédu Livre Blanc de l'hépatogastroentérologie publiéen mars 2001. Il est plutôt destinéà l'impression car il représente moins de 10% du Livre Blanc. L'intégralitédu Livre est accessible en ligne en cliquant sur sommaire au bas de cette page)Introduction De l'état des lieux à la réflexion prospective D'importants changements épidémiologiques et progrès thérapeutiques sont intervenus au cours de la dernière décennie dans le domaine des maladies de l'appareil digestif et du foie. La même évolution est à prévoir dans les dix prochaines années, au sein d'une sociétéen mutation et dans un contexte de ressources sensiblement constantes. Pour faire face à cette évolution, l'objectif de ce Livre Blanc est triple : 1) faire un état des lieux à partir de l'examen de l'épidémiologie des maladies de l'appareil digestif et du foie, des acteurs de l'hépato-gastroentérologie et de leur activité; 2) identifier et faire connaître les enjeux en termes de soins, de formation et de recherche, auxquels l'hépato­gastroentérologie sera confrontée demain ; 3) proposer les actions à mettre en œuvre pour influencer notamment les deux grands déterminants de la santéque sont les modes de vie et l'organisation des soins. Ce travail collectif d'analyse et de prospective a bénéficiéde la contribution active des médecins libéraux, hospi­taliers et ...

Informations

Publié par
Nombre de lectures 68
Langue Français

Extrait

Le Livre Blanc edl H'péta-oaGtsenrorotégilo© e GFNS2 ,E100  (Nudw to etsrebeamex tce:  lst eteémusér eerviL ud e'léhapB alcnd entérolotogastroneéiram  eiglbup eIl pst20s . 01àél tsni tedulôtcar ion ress'impom etnesérper liLiu  d0% 1des inargéétilL udervie vranBl Lc.nt'inel giene  nlcqi est accessible sab ua ettec ed ur sntuairmaom sge)e pants épidchangemeroattn sDi'pmeuapérths rèogpr te seuqigoloiméurs u cous arvennietno tses ituqe inmadolamas de ed seiderappa'la dede lre drnièin ecénel  eadsnolévioutesn à t vérp riosnadsel il digestif et d uofei .aLm mê e neétéicos enu'dnsdat  eontitamuen shciap ord xiein au ses, annésnoctnatmelb tneai f fre. esurPoxeetd  eu  noctnes sensiressourcse tna cel: rtpi ce f dee BlLivrl ,noituitcejbo'ceà e acoléve ttd  e'lpédiméoiolrtir de l'examened til s xueap à)  1irfaune ta éurs actedes ie,  uofted it fgise dilrepaapl'e  dseidalam sed eigentifieré; 2) ida tcvitid  eelrugiloete enroroté-otatsagl edpéh'che,chere reet déhap s'luqlea xuolérntoetras-gtoorfnoc ares eigoe connaî et fairneejxue rt eel se  dinsoten esrmtamr noid ,sof eec rulnemmneonats det lerandux gmretéd sd stnanian slae soe qutétneéd meia n ;)3 proposer les acnoit à stteme erœun e vrurponf ivitcepsorp ed tee ysaland'f tiecoi nbitunortalc éde ficibénée a gro'sina eivl teesode  d lnt mesia locllC  ertvas soins.ation deneliipsc'e sIl.  seriatiid al edandex grquêts enuorrtsn d ue ieds inbéliuxraho, itcad evm secedéospitalo-universps-iatilre steh dela s.ur 15 00t portéssrd  eam 0odsseie ttceà s éeisalnaya te noisacco et ralelibées,  ,érèiertilaohpslbmeed eam sidal desl'e paapilre trtsèé etdn.uI l concerne l'enspéh'l edtsag-otarotéenroese giloeLmp d chaion 'actm déci-oinuq eteline clie discipse enu torétigolstgaenroép'ho-at.sL neetffré sidtionffec00 aon 8rivne tios ,eiofu  detf tiesig dles données 1998eptuqieu .eSol ntiose qu tetrahé ne rahcd egngaians ie drisela pnaed ergnomoa tucoi lui une èrnfuqinhcetuq ec ,eque et pon publiatilasitd h'soip rdepeaprtpot anse lmi tévirI .enclu n'iPMSIées odnnec suq eel r. leramotue giloohtap al sap tnem décilasitaoi n du Programme deamronoitMP( ,)IS sdutèys dmenf'iitevgiseéhape  tpath la ie dologimerp elfitom recoe qutie tutinséh'dotapivre secérntogolas-goetrsco  urpeip buils deux pivés. Leuetcaf xuapicnirs leabnspoes rrsd  eidseamaled sigesil dparel'ap lOr cescean drssegisfit te f udoie représentent2  5 %ed sutemrugnlimas sot  eesegral tnaid tnemtiqugnost trés e sadiaétses snl om cieogolérntoertsag-otapéh'Lé). ratirpcée  tersse  dapl'lamaesdi : s selg teevarquentes ions fré sfaeftcoptr eedd sedom a( eiv eeutiecnfes letx el sno tsti ganeet dtif ie su fo ,noprussdiots ,télial, enimtitaixocamin,es xeaulcool, tabac, tone tepvuuq iia sfaço de rer,altèiom ed snoitceff mé,itérév srends coaielenll eteades.  des malam truejos nnevupee onrs le,via t enquennce  Frad se31% sè .d cé dilrepaf tiesigof ud teilpxe eiouvent concernéea suisp rad sea héL'topaas-goetrrétngoloe eis ts
Introduction
De l'état des lieux à la réflexion prospective
Les maladies graves
• L'hépatite Aest devenue moins fréquente. Son incidence actuelle est d'environ 10 000 nouveaux cas par an. Elle atteintaujourd'hui plus souvent l'adulte chez qui elle est plus grave.
Les hépatites virales 
Texte de synthèse
Une discipline à caractère transversal
Epidémiologie 
• L'hépatite Ba une incidence d'environ 10 pour 100 000 habitants. Elle expose au risque d'hépatite fulminante et d'hépatitechronique, à l'origine de cirrhoses et de carcinomes hépatocellulaires.
• L'hépatite Ca une prévalence de 1 % chez l'adulte, soit 500 000 à 600 000 sujets atteints. Elle affecte particu-lièrement les hommes entre 30 et 40 ans. Le principal mode de contamination actuel est la toxicomanie intraveineuse, mais divers autres modesde contamination sont possibles dont la transmission nosocomiale. Une hépatite chronique survient chez 80 % des maladescontaminés ; elle conduira à une cirrhose chez 20 % d'entre eux en 20 ans. La mortalitéest liée aux complications de la cirrhose,notamment le carcinome hépatocellulaire. L'incidence de ces complications va augmenter dans les années à venir, aggravant descoûts directs et indirects déjà élevés.
La pathologie alcoolique du foie 
Les cirrhoses sont à l'origine d'environ 8 500 à 9 000 décès par an et sont en France pour la majoritéd'entre elles en relation avecune consommation excessive d'alcool. Les pathologies organiques directement liées à l'alcoolisme représentent un coût de 6,7milliards de francs par an.
Les cancers digestifs et les cancers du foie 
Cinquante-cinq mille nouveaux cancers digestifs et du foie sont diagnostiqués chaque année (25 % de l'ensemble des cancers).Ces cancers sont responsables de 40 000 décès. L'incidence du cancer colorectal était en 1995 de 33 405 nouveaux cas (60 %des cancers digestifs) ; elle était de 7 310, 4 430 et 3 300 respectivement pour le cancer de l'estomac, de l'œsophage et dupancréas. L'incidence du cancer colorectal a beaucoup augmenté(+ 34 % en 20 ans)
et celle du cancer du pancréas plus modérément. L'incidence du cancer du foie est également en augmentation. À l'inverse,l'incidence des cancers de l'estomac et de l'œsophage a diminuéde 25 et 19 %, respectivement.
On peut estimer à 200 000 le nombre de personnes qui sont ou ont étéatteintes d'un cancer colorectal. Des facteurs favorisantscommencent à être connus, qui pourraient déboucher sur une prévention primaire. Le dépistage généraliséet organisépermet deréduire la mortalitédu cancer colorectal et, par la détection des adénomes, proba-blement son incidence. Selon les donnéeseuropéennes EUROCARE, la France a l'un des meilleurs taux de survie pour ces cancers. Cela témoigne de la qualitédu systèmede santéet de l'accès aux soins. Le pronostic des cancers colorectaux reste pourtant médiocre.
Le coût direct estimédes cancers digestifs est de 15 à 20 milliards de francs par an.
Les ulcères gastroduodénauxs 
Ils ont beaucoup diminué. Environ 96 000 ulcères gastro-duodénaux ont étéobservés en endoscopie en 1998, soit environ 5 foismoins que dans les années 1970-1980. L'origine infectieuse(Helicobacter pylori)explique cette dimi-nution de fréquence du fait del'amélioration des conditions d'hygiène et de l'éradication de la bactérie. Le recours à la chirurgie est devenu exceptionnel.L'incidence des complications (hémorragies digestives et perforations) reste encore élevée, en partie du fait de l'augmentation desulcères médicamenteux.
Les maladies inflammatoires chroniques de l'intestin 
Leur incidence est de 5,6 pour la maladie de Crohn et 3,5 pour la rectocolite hémorragique pour 100 000. Leur prévalence aaugmenté, car ces maladies sont observées tôt dans la vie et évoluent sur de longues années. Leur retentissement sur la viepersonnelle et sociale est souvent très important et leurs coûts directs sont élevés : 7 800 francs par an (passant à 72 000 francsen cas d'hospitalisation pour une maladie de Crohn, par exemple).
Les maladies du pancréas 
La pancréatite chronique est d'origine alcoolique dans 86 % des cas. Son incidence est de 4,7 pour 100 000. L'incidence de lapancréatite aiguë est de 22 pour 100 000. Ces deux pathologies induisent respectivement 8 000 et 16 000 hospitalisations par an.L'âge médian des malades est de 45 ans.
Les maladies à fort retentissement sur la qualité de vie
La lithiase biliaire Elle concerne 20 % de la population. Les complications surviennent dans 1 cas sur 5, soit 4 % de la population. En 1998, lediagnostic de lithiase biliaire a étéportéchez 103 186 malades hospitalisés ; 70 574 complications ont étérépertoriées, dontcertaines sévères, telle l'angiocholite (5 400 cas) et la pancréatite aiguë (4 500 cas). Le coût est liéà l'hospitalisation. Lestraitements coelioscopiques et endoscopiques constituent un progrès majeur. La lithiase biliaire verra pourtant sa morbiditéet samortalitéaugmenter avec le vieillissement (55 % des complications survien-nent après 70 ans).Le reflux gastro-œsophagien Cette pathologie est très fréquente : 15 à 20 % de la population ont des symptômes de reflux gastro-œsophagien au moins une foispar semaine, et4à7 % quotidiennement. Il s'agit 2 fois sur 3 d'une affection chronique dont les complications sont rares, mais quireprésente un facteur de risque reconnu d'adénocarcinome de l'œsophage et du cardia. Sa grande fréquence, son retentissementsur la qualitéde vie et son impact économique en font un réel problème de santé.Les troubles fonctionnels digestifs Leur prévalence est très élevée : 15 à 20 % de la population pour la dyspepsie fonctionnelle (avec une proportion élevée de recoursaux soins) et 20 % pour les troubles fonctionnels intestinaux (recours aux soins dans un quart des cas). Leur incidence augmente.Leur coût a étécalculédans les formes les plus symptomatiques (4 % de la popula-tion) : il est, par mois, de 471 francs pour lescoûts directs et de 99 francs pour les coûts indirects. De façon étonnante, alors que ces troubles fonctionnels sont réputés bénins,l'altération de la qualitéde vie est comparable à celle des états dépressifs et plus importante que celle du diabète et même del'infarctus du myocarde.La proctologie La pathologie hémorroïdaire a une prévalence de 13 à 14 %. Les autres atteintes rectales (fissures, suppurations, troubles de lastatique pelvienne, prolapsus, rectites) sont à l'origine d'une symptomatologie douloureuse plus ou moins chronique. L'incontinencefécale est un handicap fréquent chez les personnes âgées, en institution particuliè-rement. Les services rendus en proctologie sontimportants au plan du confort et de l'éducation du malade.Les diarrhées aiguës Chaque année, un Français sur 20 consulte un médecin généraliste pour cette raison. Les diarrhées aiguës sont le plus souventd'origine infectieuse et entraînent des coûts indirects importants en raison des arrêts de travail : 30 % des malades qui consultentont un arrêt de travail d'une durée moyenne de 3 jours.Trois pôles d'activité majeurs en épidémiologie hospitalièreL'alcoologie Cinq à 6 millions de Français sont des consommateurs d'alcool à risque et 1,5 à 2 millions sont des sujets alcoolo-dépendants. Sur85 287 décès avant 65 ans, 42 963 sont liés à l'alcool. Le nombre des consommateurs à risque est largement sous-diagnostiqué, ycompris en milieu hospitalier.L'hépato-gastroentérologue hospitalier est en première ligne en alcoologie car l'hospitalisation des sujets alcooliques se faitdavantage en médecine qu'en psychiatrie et de façon prédominante dans les services d'hépato-gastroentérologie. De nombreusespathologies digestives et hépatiques sont dues à, ou aggravées par, l'alcool : cirrhoses, pancréatites, hépatites et cancers.L'alcoolisme est aussi une cause fréquente d'hospitalisation en hépato-gastroentérologie dans les hôpitaux publics (ivresse,sevrage, troubles neuro-psychiatriques aigus).Les actions de prévention sont encore insuffisamment développées. L'identification des consommateurs à risque doit être plussystématique dans les consultations libérales ou hospitalières, et le suivi développéen relation avec le médecin généraliste. Il estdémontréque le simple conseil peut efficacement réduire une consommation excessive. Les malades alcoolo-dépendants devraientêtre pris en charge par des équipes d'alcoologie de liaison, en renforçant l'action des hépato-gastroentérologues hospitaliers, et enrendant vraiment opérationnels les réseaux de soins ville-hôpital. Ces réseaux sont indispensables à une prise en charge globaledans le concept plus général des addictologies. Un effort de formation doit accompagner les actions mises en place ces dernièresannées.
juteses tnd maemantédes ant s ayuailimaf stnedéclocor cean cdex ed samalertcla ,ints de des atteop( l rurricesohe ag cdudée stpi. Chr anertaez cusejni sr sistà enbie qui,inéf dvérp al s noitneecondaire est asusér eap rnud pétais igeivndueidI .l's ltigaton 
Les cancers digestifs et les cancers du foie 
Les urgences 
La dénutrition 
Prévention et dépistage
Les hépatites virales
 a.dirac ud te egahporialulled uo ,)emenociarocatép hp raahegul xr feobra'endesopchyop( n ruod elsipéstga-œrophsoieagraiconemd  e'lsœtage de l'adénoc(CLAN), récemmentel  aunrttioi ndronà e  punblrorc t sééruoppér  desmentités Com eoftel noencnitmeli'a ln ioatntiail ed ruop nosgiseitevegcnsed Les uruerb.sestnosmon iqats ueets ép hlggi ténmenealgrrès re tencoème  .siaçnarf xutapihôs les anédétneelar te la'lenimtita ponenarétarel; i sli tnerviennent aussihcet seld seuqintaisss'atrnue ncnnletioietllel ,a nues lion tritgulo jesenrorotélôr éd eneuonu tt dans lterminan nlpca e aimese diins urles an d tse lI .snoitac queurel natdoncagtsta-oh pél seesrédus josée  dacifingiel ,evit, deraiton s façitnotuirnieud micoré dcelae én desir ne rahcp egathologies. La prbuees suartsep  tnesirtîam slI s.ueogolérntoetrg-saapot séh reluépat jol esntralôr ec eserènU .pioslitant i-hracitaoisnedc molp nombre ur et le'dnuen sunrt eédn quitiouveni soatipsoh rp sésilntteenésig ses lrPsèd  e50 % des malades maiues,atiq hépn mo àedss i suadilamax aue due te sevitsegid se La dénuisation.eptuê rtrttioi nenavpet s't gragpsohlatinadn'l t prétionrvenintenu e e àrGcâes .e giurircha  l àsruocer el ,ecocgie dige hémorracésèp ratel sed Le. dés  rusesard tnnevevitsos eeuc tnq ed seh zne scès enneurvimiétidibetnatrops delamaor-mcoà epsrnoen sgâeé.s, notamment les gid itse sevugiaes Lém hraoresginu'd esuac al tnorém hes drsie tueesclréseu arigpie osco'ends. Ll ,eegraru'dcnegquti eéentmera pd na sel nrFnaec de soins unitésinntcos deu  ousi snios sfisnetnrmet, pediag un cir onts,eu padi pneserin  earcha egtpade eéed ts gestes endoscoipuqsed h'mésoaticar œes lx, vesdouduanésag -ort ulcèressont lesrrgaei s s'déhomicéd musig aesèrclu sel te elatrn ponsioerte hypp rannsegaeioshp ser nonrétsidïotiannf-immlaoiattnc ue xûd sua xamenteux notammered sec os sreinblai f à :sedoe ipir'lsaêmemen ,(AINens t à S) eahtusee seitev s 000 parst de 65ecnesed i'L dicnesgiig dém hraorsoipseh ladasem ères(ulcsés talius % 52 tnod na  dezcht ennniervincipalement pries snec ahgr eapig a).uses Cém harroseignos rp tlogitéroes pe. Lpilaircnuaessec ses ler  desicrv-otapéh'neortsagite C do l'hépatrpniicaptiê rt eurssarépmele antniceég ssel dém appoar rée pccinalitopupl  atrà e.néciac von noned egatsipéd eL no sédymlénisinates (scléroses elp neuqad )s sna plaulopioatvan seo tédunoiftnc 'absrmél d'aencetatnemgur ud noid'e quistic-feafe seod torétugolstgaenroép ho-atsueiru sénse .lPre vacciivent êtsetsilarénég sniecéd mes lar pesl se ltevaia urtns ddecis mé, lee  lruvides 'h li'd cefnnoitrap t être identifiépétati e Bodvineoi snen res pat av al euoitaniccnes rsonsqueà risreébmuo sep .eL eIl. ieémnd'e dq elbatterger tses vsonn per lesapsye  naetnyogaciacesnés ée vetelaptnemrp ,icni A doivehépatitedineitiftnê rt eLosrep se r àesnnd'e quisuo ecéd oisied nor se.ti iv slcniqieu ,xeamen endoscopiqurua  sopgiëusea inalbdomrs auleuod sed tnaved séiticllsot enuvsolamene ts no tgérologuesstroentétapéag-oL .sh seséi revèt enssaupoteont llemntieet.sh uases E lldis ieagesivstgeed ellecrroméh stimée à 15 % de rfqéeucn ese tses lurera Ls.r eub sëessaos sp tnivitosit5 à é(1,ed s 2 % ,apac)scoe unr ieopsclopéd eL .o egatsirganiséselon cetets rttagéeip rettmeitra'é dtevi 3 r 000ècédap srehcerhc e àistsmentignen saer uel snad etlucco e  lar pesllses couctlI ettsH melisétousIâ , réae snus tsel a 2 s ca pdei,ivn  erecnac uceroloc ép dler  dgetaisénar négeh zelc en ptal atioopul 05 47 àsna 21( s lerspeneondes çnia)s .lEelc no millions de fraan sesqurilocas troppa ,semugél gulie résiquéphyvitia tcèc,s sxeirdaese  sononecvérpitne.erè aL ement paioritairneét erp terrpsépupotila :onon cmmosoita'd nocla sous la forme d eocsnieslà l  auo qontineenditiiurf ed ed te stt deol eac m tabeé ,dorémoamocsnLabiréua.xre stel   tiod sfitsegid rdbo'a dreai fserpmioi nevtnp ércers can desaire iedrvia tesr péitement. Ce suiv el viusud iart ueiqt  esuasntreseh olugatilsoipgastato-téroroenertne ,rpéh sel  àr,tiarnive'a lllement nt actue srpneenrélogoeutrasntoepahé-gto .se seLaréntsilhron C ctitehépanu e s'dietna ttesadal meséditorjam al egrahc ne
  • Univers Univers
  • Ebooks Ebooks
  • Livres audio Livres audio
  • Presse Presse
  • Podcasts Podcasts
  • BD BD
  • Documents Documents