Similitudes et différences : une exception française ? Des décideurs publics et des hauts-fonctionnaires en ministères ou en autorités administratives ont été interrogés dans chaque pays.
Similitudes et différences : uneexception française ?
5 JUIN 2013
PENN SCHOEN BERLAND
Méthodologie
•Des décideurs publics et des hauts-fonctionnaires en ministères ou en autoritésadministratives ont été interrogés dans chaque pays.Les équipes locales de Burson-Marsteller ont fourni les échantillons à interroger.•Les interviews ont été menées par PSB et ses partenaires online, par téléphone ou enface-à-face.TNS Sofres a conduit 42interviews en France.•Les interviews ont été réalisées entre le 21 janvier et le 12 avril 2013.•Elles étaient réparties entre 20 pays, selon le découpage ci-dessous.•Tous les chiffres mentionnés sont des pourcentages, sauf mention contraire.
MarketEU BE CZ DK ES FI FR DE GR HU IT LA LI NL NO PO PT RO ES SE UK
•En partenariat avec TNS Sofres, 42 interviews ont été réalisées en France entre le 11février et le 6 mars 2013.•Les interviews se sont déroulées par téléphone, selon la méthode CATI (ComputerAssisted Telephone Interview).•L’échantillon était réparti de la manière suivante :17% d’élus locaux19% d’élus régionaux21% de parlementaires nationaux5% de députés européens24% de hauts fonctionnaires et membres de cabinet en ministères14% de hauts fonctionnaires en autorités administratives
•En France, des questions supplémentaires ont été posées par TNS Sofres afin de mieuxcomprendre la spécificité du lobbying à la française.
« On a un programme politique, on l’appliqueet les lobbies nous aident à être vigilants et àaffiner nos propositions. »
« En voyant tous les lobbyistes et encherchant les autres qui ne se seraient pasmanifestés. »
« En gardant une totale liberté par rapport àl’objectif de ma consultation, c’est-à-dire pourque la réponse au choix que j’aurais à fairesoit exclusivement dictée par le bien public. »
« On ne peut pas le savoir. Il y a des retoursd’information. On le voit à l’usage si lesdécisions ne sont pas bonnes, le public vous lefait savoir. »
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Le lobbying : un moyen d’éclairer la décision et d’y associer ladiversité des acteurs…
Q. Dans la liste suivante, quels sont d’après vous les aspects les plus positifs du lobbying?
Deux tiers des décideurs français interrogés (et neufeuropéens sur 10) estiment qu’un lobbying éthique ettransparent est un outil d’aide à la décision publique
Q. Dans quelle mesure êtes-vous en accord avec l’idée qu’un lobbying éthique et transparent aide au développement de nouvellespolitiques ?
En France, ceux que l’on met derrière le mot lobbyiste (principalementles cabinets spécialisés en affaires publiques, les organisationsprofessionnelles, les entreprises et les cabinets d’avocats)…Q. Selon votre expérience, parmi les profils suivants, lesquels pourraient être considérés comme correspondant à la descriptiond’un « lobbyiste » ?2e3e58 57
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