Les Chemins croisés
25 pages
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Les Chemins croisés

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Description

Essomba Mvogo Freddy Stallone est un jeune écrivain prometteur, qui a déjà écrit plus d’une oeuvre dont les chemins croisés est son dernier titre. une oeuvre qui était prévue d’être écrit en Anglais avec la coopération d’une écrivaine chinoise mais qui a finalement vu le jour sous la plume précieuse de Essomba et dont la plupart des textes sont écrit en Français, c’est une oeuvre unique, venant d’une main d’écriture unique loin des écritures classiques. Aussi remarqué par son contenu riche en pensées et d’une histoire unique cachant derrière ses lignes un grand secret. Essomba a toujours souhaité que chaque homme puisse avoir une vie qu’il ne regrettera guère car sa pensée est toujours tourné vers cette vie éphémère alors il écrit sans cesse pour les hommes et leurs vies. Son premier roman « Moi, Mon regard » qui n’a pu eu un si grand succès est aussi le chef d’oeuvre d’un grand penseur. Il ne s’est jamais pris comme un écrivain mais comme quelqu’un dont les hommes ont besoins. Il vit en Chine et étudie le chinois. Les chemins croisés WAYS CROSSED TOME I ESSOMBA MVOGO FREDDY STALLONE Chapter I Les années 90, oh. Je me rappelle bien de ces dates, les années du rêve, du rêve américain, New York l’on ne peut pas la manquer, la ville lumière avec cette odeur de richesse planant sur les hauts buildings de Wall Street. Walll street dans son éclat, la plus connu de toute les mémoires, et ces chiffres qui empruntent nos rêves.

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Publié le 26 juillet 2014
Nombre de lectures 31
Langue Français

Extrait

Essomba Mvogo Freddy Stallone est un jeune écrivain prometteur, qui a déjà écrit plus d’une oeuvre dont les chemins croisés est son dernier titre. une oeuvre qui était prévue d’être écrit en Anglais avec la coopération d’une écrivaine chinoise mais qui a finalement vu le jour sous la plume précieuse de Essomba et dont la plupart des textes sont écrit en Français, c’est une oeuvre unique, venant d’une main d’écriture unique loin des écritures classiques. Aussi remarqué par son contenu riche en pensées et d’une histoire unique cachant derrière ses lignes un grand secret. Essomba a toujours souhaité que chaque homme puisse avoir une vie qu’il ne regrettera guère car sa pensée est toujours tourné vers cette vie éphémère alors il écrit sans cesse pour les hommes et leurs vies. Son premier roman « Moi, Mon regard » qui n’a pu eu un si grand succès est aussi le chef d’oeuvre d’un grand penseur. Il ne s’est jamais pris comme un écrivain mais comme quelqu’un dont les hommes ont besoins. Il vit en Chine et étudie le chinois.
Les chemins croisés
WAYS CROSSED TOME I ESSOMBA MVOGO FREDDY STALLONE
Chapter I
Les années 90, oh.Je me rappelle bien de ces dates, les années du rêve, du rêve américain, New York l’on ne peut pas la manquer, la ville lumière avec cette odeur de richesse planant sur les hauts buildings deWall Street. Walll street dansson éclat, la plus connu de toute les mémoires, et ces chiffres qui empruntent nos rêves. Les rêves de ces gens qui la peuplent, certains parmi, que l’on aimerait bien voir une fois dans notre vie, avec leurs regards épanoius, épanouis de richesse et de connaissances, un regard qui semble donner un peu d’espoir, un peu d’inspiration. A l’autre bout se trouvait ceux-là dont la sueur s’est déjà emparé de cette odeur naturelle de la vie, que même ce goût du souffle de vie n’avait plus rien d’étrange pour eux.Et à ce temps il y avait bien évidemment des clubs, des clubs qui ne voyaient qu’augmenter leurs chiffres d’affaires autour de ces tables de casino, entouré bien évidemment de ces Hommes, des Hommes qui ont toujours été très spéciale à mon égard,un cigar à la bouche, une bague dont la beauté volel’attention de tous, je me suis toujours demandé « A quoi ceux-ci peuvent-ils bien penser ? », une pensée de riche, un regard de richesse. Certainement une pensée m’a traversé l’esprit, à un moment, ce moment où mes nerfs volaient progressivement et plus intensivement ce parfum, un parfum qui semblait donner vie. Je me suis donc posé cette question, une question connue vraisemblablement de tous, mais donc l’usage n’est reservé qu’à certains, la question «Comment dépenser et devenir encore et un plus riche ? »et pendant que ma pensée s’en allait aussi loin que je ne peux m’en souvenir, certainement pour chercher cette réponse, ce sentiment qu’ils semblaient tant ressentir, je me suis retrouvé auprés d’eux, sur une table qui a certainement volé et vue les empreintes des billets de banque, que je ne connaîtrais certainement jamais durant mon existence et alors que mapensée semblait me revenir,revenir à son état médiocre et habituel. Et assis au milieu de visages qui se demandaient sans doute le nombre de zéro demon chiffre de banque. Dans la sérénité la plus confortable que j’ai pu trouvé j’ai dit « Bonsoir ». C’était bien évidemment un club, un club au milieu d’une troupe de clubs, dont la seule chose qui planait dans l’environnement était une odeur de richesse, une odeur dont je ne suis pas certainement le seul qui est attiré par... Une odeur qui semble certainement, tous, nous faire ignorer cette odeur d’un goût différent pour dire de « pauvreté » à l’autre bout de la rue. Un club vraisemblablement très connu du public, avec ces femmes à l’entrée dont la beauté illuminait sans doute ce regard noir de la vie, certaines qui semblaient se battre avec leurs propres corps, d’autres qui semblaient en trouver du plaisir et d’autres qui semblaient vouloir oublier ce mari se battant avec la puissance des roches dans une mine très éloigné d’ici, je les regardais très attentivement, sans vraiment savoir
« Pourquoi » bien que je me suis rendu compte que celles-cisemblaient que bien toutes s’amuser etau fond de leurs regards il y avait cette lueur qui semblait attendre avec espoir ce jour où l’une de ces stars de cinéma, ou l’un de ces Hommes spéciales puissent leurs tendre la main. Il semblait que c’était la première fois que j’y mette mes pieds dans ce club. Mais vraisemblablement, il ne me paraissait pas très étrange que ça, très inconnu que ce village, ce paradis perdu que l’on découvre de nouveau à chaque vacances d’été. Je semblais connaître l’endroit, les rues et même l’entourage mais j’étais persuadé que c’était la première fois que je mettais les pieds dans ce club, ce club pour Homme spéciale. Aprés avoir traversé l’entrée, ooh, quel sentiment !!! Un club, que chacun aimerait certainement y mettre les pieds, j’épaulais des stars de cinéma, des Hommes dont le chiffre d’affaire, ouuff, mieux vaut ne pas connaître. Et je m’excusais à chaque fois sans vraiment savoir pourquoi mais à chaque fois toute aussi bien c’etait un visage qui se tournait et me regardait,pour un moment et semblait sans doute dire « Mais qui est celui-ci ? » et au bout d’un moment et tout un coup, j’ai eu cette impression-là que nous ne partagions pas la même morale, mais ce sentiment de croiser de près le regard de l’une de ces stars était un peu trop fort pour laisser paraître ce visage d’inquiètude. La beauté d’une table de bronze à l’horizon, dont l’achitecture était sans doute venu de la maison d’un dominus au temps des gladiateurs vola mon attention,qui s’évadait elle peu à peu,dans ce monde de chiffres et d’inquiétudes. Et soudain sous un ton réellement différent du mien, laissantclairement paraîtreces murmures de vie de « bien »,des voix me disèrent: «Le Bonsoir à vous aussi Monsieur». j’étais assis sur cette table et certainement je l’avais déjà dit ce « bonsoir ». Il y’avait cet homme en face de moi, cet homme noir pour dire de race noire sans doute le joker, avec sa noeud de papillon, aussi serré que l’on dirait qu’il voulait emprisonner ses propres problèmes, sa chemise d’un blanc éclatant que je ne pouvais m’empêcher de me demander d’où celui-ci pouvait bien venir, d’imaginer une image de la vie de celui-ci, avec ses mains qui ne semble connaitre qu’une chose « partager des cartes », des mains qui aimeraient bien être à la place de ceux,qui jouent ces cartes. C’étaitdonc le poker, un jeu de cartes,le jeu des riches. Et aussi loin que je m’en souvienne je n’avais aucunes expériences avec ce jeu mais savait tout au moins que « l’on perd ou gagne de l’argent ». Je semblais tout autant confident, que le visage de ces riches laissait paraître leurs inquiètudes à mon égard. Mais assis là au milieu d’eux me sentant différent mais confident, observant ce joker, « mon négro » je l’appellais,dont j’avais plutôt sans regret, relater un semblable de sa vie dans ma pensée,« cet homme-là né de rien, grandit dans rien et n’ayant qu’appris à manipuler les cartes pour vivre.», «Mon négro», je disais, nous partagait les cartes, je ne comprennais pas grande chose à ce qu’il faisait bien évidemment et lui semblait sans doute s’y connaître. Et au bout de quelques minutes de silence, mon négro dit « Quelles sont les mises ? ». « pource premier tour je commence avec 120000$, en espérant que nos mises augmenteront avec le jeu qui continue» retorqua de premier cet homme assis deux chaises de gauche après moi. J’ai été très choqué en entendant sa mise mais cela semblait n’avoir enfrein en rien ma confidence. Et le visage de cet homme,je ne sais vraiment pas pourquoi mais, me fixant avec un sourire laissant paraître un désir de compétivité,je répondais tout aussi bien à son regard et j’ai eu cette impression de l’avoir déjà vu une fois dans ma vie. Ce visage, ce sourire mettait très familier mais la memoire était encore
bien endormie. Et lorsque nos visages se dispachaient pour revenir à l’engourmant du jeu qu’il semblait avoir. Un homme l’approcha, un homme dont la corpulence et l’impression du visagene peut être oublié, un visage strict, une corpulence que je n’aurais sans doute jamais. Son garde de corps je supposai,l’approcha et tenait quelques mots avec lui.Je n’ai pu m’empêché de voler quelques mots de leurs conversations «Monsieur Brook, il semble qu’....soit arrivé, devons nous.... ?...»,juste ces quelques mots. Monsieur Brook était dont le nom de celui qui semblait devenir mon compétiteur, un nom de riche sans doute, mais ne me disait rien d’un nom entendu auparavant. Et perdu dans mes pensées, dans la soif de connaître plus mieux sur ce monsieur Brook, j’ai oublié que j’étais sur une table de poker où chacun lançait déja sa mise et soudain mon négro me dit d’un ton remplit de fatigue et de désespoir: « Monsieurrêvez-vous, c’est votre tour de miser? » Et bien avant que je ne puisse répondre, mon voisin de droite, d’une haute voix dit « quel est votre nom Monsieur ? Il semble que vous êtes nouveau ici. » « je suis monsieur James » j’ai dit, tout directement, un nom qui me semblait tout autant très étrange à ma connaissance mais familier à mon usage. « Ok..moi je suis monsieur Maxime, connu sous le nom Max. » il dit. « Heureux de faire votre connaissance Monsieur Maxime. » La discussion semblait très facile entre nous... « Mais quelle est votre histoire ? Monsieur James » Max dit. Un silence s’empara de moi et tout à coup, celui que l’on semblait appeller Monsieur Brook dit « Jouons-nous ou faisons nous connaissance ? ». « veuilleznous excuser Monsieur Brook pour nos mauvaises manières. » Retorqua Max d’un ton qui attira mon attention, un ton qui semblait être très étrange, « une soumission ou l’ex pression d’une excuse demandée ?» Mais ce qui me paraissait encore le plus étrange c’est ce sentiment-là que j’ai eu face à cette question que m’a posé Max, cette question sur mon histoire. Bien que ce n’est pas cela qui m’aurait donné une idée de quoi miser car certain que je n’avais rien pour le faire, juste ma vie,ma vie à miser. J’envoyai donc ma main dans mon pantalon et je sortit un porte-monnaie, clairement il ne semble pas être le mien, car ne semblait qu’être un de ces genres de porte-monnaie contenant beaucoup d’argent. Mais la question était simple «en était-il de même ? ».Et face à tout ce temps que je semblais prendre pour réfléchir mon négro me dit une seconde fois et d’un ton encore et un peu plus remplit de fatigue «c’est votre tour Monsieur James, nous vous attendons ». Il prononça ce qui semblait être mon nom, d’un ton que je ne peux dire que « d’envie ». Mon négro certainement exténué par son propre job, par sa propre source de vie,par ces cartes qu’il a sans doute manipulé toute sa vie, son regard, aussi sec que ces plaines d’Afrique du Nord semblant n’exprimer aucuns sentiments, tout du moins aucuns sentiments de plaisir me fixait sans aucune pudeur. Et moi, assis autour de ces gens avec un port-monnaie bien au chaud dans ma main dont j’ignorais tout à fait la provenance, la contenance, la panique sans s’empara de moi et le visage de mon négro qui me fixait d’envie et sans sentiment et tout aussi le regard de cet homme dont j’ai commencé à m’interresser« monsieurBrook »,comment pourrai-je décrire ce regard qui vous regarde mais qui semble ne pas le faire, juste « un regard qui vous regarde de rien». Une situation d’attente ne cachant en fait que la panique qui s’emparait de moi. L’idée de me lever et de touner le dos à ces hommes riches, ces
hommes spéciales m’a traversé l’esprit, prétendre un appel téléphonique sans doute savoir si je possèdais un téléphone sur moi car à ce temps-là, les téléphones ne semblaient guère être discrets. Je réfléchissais tout aussitôt à comment m’exprimer sans toutefois laisser paraître mon inquiètiude, ma panique. Alors, tout d’un coup j’ai dit à mon négro très lentement« jemiseeee...... », juste pour gagner du temps,pour retrouver de l’assurance, une confidence qui s’est en allé avant je ne puisse la rattraper. Un silence survola la table de jeu pour un instant et là je dis d’un ton rassuré «je mise 50000$», ceci est le genre de phrase que vous dites très rassuré mais sans toutefois y prendre connaissance. Dire juste en espérant qu’elle soit vraie car vous même n’y croyez pas l’avoir dit. Monsieur Brook souria tout en disant « Nous pouvons donc commencer », un sourire qui semblait exprimer une victoire avant compétition. Le jeu commença... Celui que j’appellais déjà mon ami, sans toutefois savoir si celui-ci s’intéressait vraiment à moi, semblait bien s’y prendre au jeu tout du moins semblait savoir ce qu’il faisait et moi assis à côté de lui, n’ayant aucunes notions mais semblant suivre le jeu, sans vraiment savoir comment ? Mais je suis certain que je le suivais. Et mon ami dit « bonne chance à toi Mister James ». James mon nom, le nom étrange. Tant dit notre jeu de riche continua.... Soudain un sentiment m’emporta, un sentiment que je peux dire de bien-être, une mélodie sonna dans ma tête, d’ou vient-elle? Il y avait bien évidemment cette vieille machine à musique, certainement une machine de luxe posée sur une table à côté de mon négro, se fondant dans le décor et relaxant nos dernières ombres de vie, jouant la romance de Mozart. Je me suis bien demandé « pourquoi je ne l’ai pas remarqué auparant ? » Peut-être mon négro était plus intéressant qu ‘elle à première vue ou à cause de mes pensées mais bon. Mais je sais juste que, peu à peu, après l’avoir remarqué je me laissais emporté par les notes de la mélodie, et même mes pensées , mes inquiétudes y trouvaient repos. Et cette pensée de mon histoire qui semblait toujours me tourmenter y touvait redemption dans ces dernières notes du «Grand Mozart»...un plaisir que j’aurais bien aimé ne jamais laissé s’en aller. Déjà emporté par la mélodie, je perdais peu à peu contact avec le réel, mais il y avait cette voix qui raisonna encore et encore, une voix qui m’était déjà familière. « James,James..., Monsieur James, Monsieur James, Monsieur James,...Dites quelque chose...Que devons nous faire ?...Votre avis, votre avis...Nous voulons savoir ce qui va se passer ensuite...Monsieur James »repéta la voix avec insistance à chaque fois que je me demandais bien où je me trouvais et ce qui se passait.... Où était bien mon négro ? Celui-là que j’appellais mon ami ? Ce monsieur Brook ? Et les autres ? La musique semblait s’arrêter avec le temps. Je semblais ouvir mes yeux, les ouvrir?? Alors je me suis dit « Que c’est étrange ! », ouvrir des yeux qui ne semblent jamais avoir été fermé, mais j’ai belle et bien vu ce coup de poing que je recevais sans toutefois l’avoir demandé. J’ai toute suite reconnu cette main, qui s’approchait de moi sans frein, une main remplit que de souffrances et de douleurs de l’âme, une main qui n’a fait que travailler sans
jamais désirer, une main qui ne savait faire qu’une chose «partager des cartes», une main de joker, une main de négro, mon négro... Quelle surprise pour moi !! je supposai que cette voix que j’ai entendu plutôt n’était que la voix de celui qui s’est donné la permission de donner une autre image à mon visage, la voix de mon négro. Mais la question « pourquoi ? », « Pourquoi mon négro s’est permit de donner une autre utilité à sa main qui n’a jusqu’ici connu que des cartes ? Et s’en prendre à moi. » Et après que mon cher négro me rectifia le portrait, je n’ai pas eu droit à une explication. Mais tout est allé si vite que même la memoire est encore floue. Je me suis retrouvé dans un salle, dont je ne pouvais guère situer l’emplacement et la contenance. J’étais encore beaucoup trop faible pour ouvrir mes yeux, cette fois-ci, les ouvrir de vrai. Mais même cet homme qui est au bord de la mort peut reconnaître sans aucun doute la beauté des chaises dorées, mais je n’étais pas assis sur l’une d’elle, mais sur le plancher comme elles. Mais tout du moins je savais que j’étais dans une salle pas comme les autres. Une salle de riche. Me voilà dans un univers que je ne connais guère, dans une salle dont la seule chose que j'ai pris connaissance c'est la richesse de celle-ci, couché là, abattu juste par un coup de poing, le coup de poing de mon negro, avec milles et une question en tête, avec un désir de savoir, d'avoir une explication à ce qui m'arrive. Mais j'étais tout du moins certain que quelqu'un viendra me dire ce qui se passe, quelqu'un viendra m'expliquer « pourquoi est-ce qu'en plein jeu, le joker, mon negro a décidé de me défigurer ? ». Les heures passaient, peu à peu je reprenais mes forces et je semblais bien m'attendre avec le décor, un décor de riche, la pièce était parfumée de richesse et moi admirait cela couché-là, au sol en oubliant que je suis dans une « merde ». Et lorsque j'ai commencé à y penser, je ne parvenais même plus à me rappeler ce qui s'est passé bien avant le coup que j'ai reçu, je n'ai que cette mémoire de cette voix et cette musique de fond. Une musique dont la pensée semblait me rassurer. Admirer l'environnement de richesse semblait déjà m'ennuyer avec les heures qui s'écoulaient. Alors, j'ai décidé de me relever et de lutter comme tout homme après une chute, après un échec, lutter pour trouver une solution. Mais cela n'était qu'une pensée après avoir remarqué que j'étais bien attaché au sol, pas moyens de bouger mes membres, juste la tête qui admirait plutôt les objets de collection de luxe. Juste une solution semblait être possible « attendre la solution bien au froid sur le plancher ». Tellement de choses que nous loupons, lorsque nous ne prenons pas connaissances avec notre réel, apparemment cette salle, cette salle de riche ne possédait qu'une entrée et sortie pour dire aucune fenêtre pour voir l'extérieur du monde. Cloué là sur le plancher en explorant toutes les possibilités de la cause de cette situation dans laquelle je semblais me trouver, j'ai même cru rêver à un moment de pensées. Là penser à une ou deux choses, penser à un moyen pour fuir cet enfer de patience. La notion du temps, je l'avais perdu depuis un bon moment. Je ne faisais que prendre une sieste, penser et souffrir. Souffrir de patience, souffrir de penser. Au bout d'un moment j'étais fatigué de penser, fatigué de répéter les mêmes actions avec le temps qui s'en va. Toujours le poing d'interrogation sur mon histoire ? Le même point sur le pourquoi « mon negro » m'a frappé. La fatigue de se poser les mêmes questions tout au long sans réponse probable, d'admirer cette richesse avec l'envie de l'avoir qui se dissipe avec le temps qui passe. « Ooh Mon Dieu !!! dans quelle merde je me trouve » je dis, en laissant paraître les murmures d'une âme blessée de l'intérieur.
Les pensées se succédèrent, la peur et la souffrance avaient atteint un poing d'accumulation qu'elles devenaient juste un sentiment de « rien ». je me suis donc mis à compter les secondes, pour distraire un peu mes pensées, mais je vous assure que dans ces moments-là, « la minute c'est une éternité sans fin ». je comptais le temps sans vraiment savoir si j'étais dans les normes, mais cela n'avait pas vraiment d'importance, juste la distraction d'un esprit blessé. Je comptais ce temps intérieurement pour préserver cette salive qui me restait pour étancher ma soif, ma faim. Des heures de famine, de soif où ? « Dans une salle de riche. »
Chapter II
Je comptais, seconde après seconde. Je continuais à compter encore et encore, mais le seul fait c'est que, cette notion du temps même je l'avais déjà perdu depuis un bon moment. Je continuais à compter, comptais sans toutefois le savoir, comptais comme une machine. Lorsque je pense encore à ces heures dans cette salle, je me demande bien « pourquoi la pensée d'une famille n'a pas traversé mon esprit ? » Je n'étais certainement pas né de rien et sans rien. Mais alors pourquoi ne pas y penser ? Là dans cette salle, autour de toute cette richesse pouvant me nourrit pendant plusieurs vies et certainement plusieurs de ces familles qui crépissent dans la misère sans l'avoir demandé. Mon corps lui s'était déjà adapté à la fraicheur du plancher, mes pensées n'avaient plus rien à y penser certainement fatigué de le faire. Soudainement des chuchotements, de l'autre côté de la porte, l'autre côté de mon calvaire réveilla ma mémoire présente et endormie. Je me roulais alors sur-moi comme un enfant ne pouvant utiliser ses membres,avec les dernières forces que je pouvais avoir pour atteindre la porte. Je souriais déjà de l'intérieur, mon coeur s'apaisait peu à peu. Ahh, lespremiers mouvements à l'extérieur après que j'ai été emmené dans cette salle. Je ne me souciais pas vraiment de qui pouvait être à l'extérieur « ma libération ou ma
destruction ». Peu importait à ce moment, juste atteindre la porte et prendre contact avec le monde extérieur. Fatigué, exténué, je parvins tout du moins à la porte. Les chuchotements étaient bien évidemment devenu des voix que j'entendais clairement sans toutefois comprendre leur sujet de conversations. Mais certainement deux personnes, deux voix différentes, des voix qui me sont étrangères. Certainement pas celles que j'avais entendu il y a plusieurs heures sur cette table de poker. Alors, qui peuvent-ils bien être, ces deux individus de l'autre revers de la porte. Mais, sans toutefois trop réfléchir et au moment où je cherchais toutes mes forces pour demander, de l'aide j'ai clairement entendu ceux-ci parler d'un nom, un nom, que je connaissais certainement, la fatigue m'empêchait de suivre clairement leur conversation, mais ce nom-là je ne pouvais pas le louper. « Il paraît.......Monsieur James, James..... » l'un deux dit. « ahhahh...James....salaud.. » l'autre rétorqua. Alors, c'est ce nom-ci qu'ils prononcèrent, « James », mon nom, le nom étrange. Vraisemblablement, ceux-ci semblaient me connaître, me connaître mais « comment ? », connaissaient-ils juste le James qui s'est fait défigurer par le joker, mon negro, ou savaient-ils plus sur moi que j'en savais moi-même. J'étais quand même, leur sujet de conversation depuis un bon bout de temps certainement ceux-ci savaient quelque chose sur moi. Mais leurs tons laissaient sans doute paraître une haine dans la voix, un mépris de la personne. "Mais, est-ce, moi qu'il semblait mépriser dans leurs langages ? " la question que je me posais. Après donc des minutes à les entendre sans vraiment le faire j'ai fait ce que tout le monde ferai dans la même situation je me suis mis à crier. « Alerte, alerte, au secours, aidez-moi, je ne sais pas ce que je fais ici, l'on m'a séquestré, alerte, aidez-moi.... » je dis sans relâche juste qu'à ce que la voix se vide en moi. Je n'ai prononcé guère ce qui semblait être mon nom, pour ne réveiller aucun soupçon et certainement augmenter mes chances de survie. Les voix de l'autre côté s'étaient fondus dans le silence et après un doux silence. J'entendis des bruits de l'autre côté, une clé qui cherchait à déverrouiller une serrure. J'étais déjà soulagé 'entendre le bruit de cette serrure qui s'enfonce et se défonce pour s'ouvrir et ceux qui manipulaient la clé des gens, encore animés par le feu du désir « d'aider son prochain ». Un bien étrange soulagement. Je me voyais déjà sortis de cet enfer, quelque part autre qu'ici que je ne connais guère. Et enfin la porte s'ouvrit, comme un ange je voyais une silhouette s'approcher de moi, mais les anges eux tendent toujours la main et ne traîne sans doute pas avec eux une odeur de pauvreté et d'ignorance. Et le dernier ange que j'avais vu n'était certainement pas noir, avec des mains abîmés de travail. Des mains que j'aurai pu reconnaître de loin, des mains qui m'ont frappé, les mains du joker, les mains de mon negro. C'était donc mon negro qui était, face à moi et m'observait. Je n'avais plus vraiment de force pour discuter avec celui-ci, pour demander ce qui se passe et s'est passé. Lui continuait juste à me regarder avec ce regard qu'il a jadis plutôt porter à mon égard. Ce regard d'envie. Mais comment peut-on envier un homme qui frôle la mort ? Faim, soif souffrance étaient les mots qui me caractérisaient à cet instant. Et à un moment mon negro s'est mis à me parler en langue étrangère.
« You son of bitch, you know that you gonna die and nobody gonna help cuz you deserve...son of bitch » dit mon negro sans explication. « Why ? » je rétorquai avec un dernier souffle qui me plongea dans un état d'inconscience. « 04............95.........214 » dit mon negro Je n'ai pas prêté attention à ce qu'il disait bien qu'il semblait s'adresser à moi, beaucoup trop fatigué pour donner attention à tout ce qui se passait autour. Des heures passèrent encore une fois de plus. Je reprenais peu à peu mes esprits encore une fois de plus après des heures d'inconscience,je n'ai que la mémoire de « mon negro » passé me rendre visite plutôt sans me rappeler, ce de quoi nous avons parlé. Alors, je me dis dans ce genre de situation, « n'aimerions pas tous être bien au chaud sur le lit de nos parents ? N'aimerions nous pas dire un dernier au-revoir si c'est la mort qui nous attend de l'autre côté de la porte ? », bien évidemment c'est le cas, mais qui sait ? Ma famille, le vide. Je pensais déjà à la prochaine fois que je vais me plongé dans l'inconscience encore une fois et alors j'ai remarqué quelque chose de différent dans la salle,j'ai remarqué quelque chose de nouveau dans cet univers, cet univers qui était devenu le mien, depuis certainement quelques jours. Un verre et un plateau certainement de l'eau, de l'eau pour moi. Je me suis donc saisit du verre qui semblait contenir la boisson de vie et après une gorgée, j'ai aussitôt remis la contenance dans le contenu. « des déchets humains, l'urine, mais pourquoi, mais pourquoi.. ? » je me suis exclamé d'un ton qui changea la douleur et laissa place à la colère. Vous voyez c'est ce genre de moments de vie, donc vous êtes victime sans vraiment savoir pourquoi vous l'êtes et ce peu importe ce que vous avez fait, l'on ne cherche qu'à savoir, qu'à découvrir la vérité et savoir ce qui s'est passé mais l'on dirait que la vérité elle-même s'échappe de vous. Mon negro, je ne le connaissais plus juste de peau,de corps,de visage,mais j'avais sa contenance en moi, son urine, l'urine de mon negro, l'urine d'un negro. Je n'avais plus vraiment grande chose à quoi y penser que je me rabattais sur des sujets du genre préliminaire. Alors,je me suis posé une question « what a man who certainly gonna die can think about ? », vous voyez des questions qui sont vraiment très étrange, mais qui relatait vraisemblablement ma situation. Je savais que j'allais mourir dans cette salle, des jours sans avoir mangé ni boire un verre d'eau, c'était la mort certainement. So I just started to ask myself a lot of questions, a lot of questions about myself, a lot of questions about what I was thinking about and gonna do at that time. Et bien évidemment, je sombrais déjà dans l'hallucination, mais au moins satisfait que « ma mort ne blessera personne », n'est-ce pas tout ce qu'un homme qui va certainement mourir souhaite ? Mourir sans laisser de blessures. Encore un autre réveil après un état d'inconscience. Et encore un plateau devant moi. Mais qu'est ce qui se passe enfin, suis-je finalement qu'en train de rêver, le plateau, qui semblait n'être que le même et tout ce qu'il contenait. Je me suis donc mis à nettoyer ma face, pour une centaine de fois pour m'assurer que je ne rêvais guère, essuyer ma face de main assécher et de douleurs. Et alors je m'approche du plateau comme je l'ai certainement fait la dernière fois nourrissant l'espoir d'y trouver une « source de vie » mais, plus méfiant cette fois-ci, j'ai pris le verre, je l'ai senti pour éviter une autre mauvaise surprise, sans odeur particulière cette fois-ci juste cette odeur de richesse que l'on pouvait sans effort détecté, certainement
laissé par un de ces hommes spécials et encore une fois j'ai semblé oublier ce qui se passait autour de moi juste emporté par cette odeur, cette odeur de richesse que j'ai perdu il y a un moment, un verre de riche de miche, je ne savais pas bien à quoi je pensais, mais seulement ce sentiment encore et encore. Le contenu était tout du moins non coloré, les choses préliminaires qui caractérisent de « l'eau »... j'ai donc bu sans hésitation dans ce verre qui semblait montrer que ces derniers me traitaient encore de haut. Mais, quelle est la sensation d'un homme assoiffé lorsque celui-ci parvient à avaler un peu d'eau ? Je pense qu'il y a toujours une sensation, si je ne me trompe pas, mais pour moi, il n'y avait aucune sensation sans doute juste celle d'une soif encore plus intense. Et soudainement je reprenais mes esprits encore de nouveau. « cela est bien étrange. » je pensai. Et bien avant d'ouvrir mes yeux qui ne semblaient pas vraiment fermés, je voyais encore ce plateau-là, avec ce verre de riche posé là devant moi. Mais contrairement à ce que je mettais imaginé c'était plutôt une silhouette qui se tenait devant moi, à la place du plateau cette fois-ci, mais qui ? Il ne m'a pas fallu longtemps pour reconnaître ce personnage, avec ces vêtements qu'il portait, certainement remplit de sueur et de souffrance. Mon negro sans doute. "son of bitch, we are dreaming, your nightmare just started, you gonna suffer." Il dit. " wh...y you dooo....thisss...to mee ?" je demandais d'un ton très fatigué. Il ne se gêna sans doute, guère de me répondre. « 0........95.........214 » dit mon negro encore une fois après avoir regardé sa montre. Une suite de nombre dont je me demandais bien l'utilité, mais qui semblait sans doute s'adresser à moi, pour une deuxième fois. Tout devenait complètement flou, j'étais de plus en plus perdu, plus rien ne coïncidait. Mon negro avec sa demi-folie de suite de nombre, lui qui semblait ne jamais avoir quitté la salle, mais dont je ne me rappelais pas avoir vu quelques réveils plutôt. L'homme qui pouvait m'expliquer tout était devant moi. Et je n'arrivais plus à utiliser les mots, je ne pouvais plus rien dire, j'étais juste rongé de douleurs et celui-ci m'observait et parlait avec un arrêt qui semblait synchronisé. Cloué par la douleur sur le plancher, je ne pouvais que l'observer comme il le faisait. Mon negro. Il est vraiment difficile d'être en situation difficile et de tendre la main sans que celle-ci soit tenu par quelqu'un d'autre, quelqu'un qui peut certainement vous aidez, mais qui vous laisse, vous noyez dans votre chagrin sans bouger le doigt. Plongé dans l'inconscient encore une fois, tout était déjà pareille et je sentis encore une fois, une présence dans la salle, bien différente de celle de mon negro, bien différente de son odeur de rien car cette présence-ci fondait bien son odeur dans tout ce décor de richesse, chose que mon negro ne faisait guère, lui avec son odeur de rien, juste son odeur de pauvreté et d'envie. J'aurai bien aimé savoir qui était dans cette salle à ce moment, mais le temps qui passait ne jouait guère à mon avantage car, je semblais mourir peu à peu avec celui-ci qui s'en allait. Bien inattendu, j'ai senti une douce pomme de main sur mon visage, très agréable, une pomme de main qui semblait caresser mes douleurs... Le sentiment était vraiment très beau, très agréable. Avec une telle douceur j'aurai pu vivre dans cette salle, encore et encore un peu plus longtemps juste pour le sentiment procuré par celle-ci.
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