&& •': "4 LÏBRARY TORONTO >v^ BYSEEN PR ON DATE. LA CLASSICISMEDUFIN ET L'ANTIQUERETOUR ALE COULOMMIERS Imprimerie Paul Brocard. LA FIN DU CLASSICISME LE RETOUR L'ANTIQUEA eDANS LA SECONDE MOITIE XVIII SIECLEDU eET LES PREMIÈRES ANNÉES DU XIX EN FRANCE , Louis BERTRAND Professeur de rhétorique au lycée d'Alçrer AKlS i0HACHETTELIBRAIRIE ET G 79. BOL'LF.VARD SAINT-GERMAIN, ~,'J 189 7 tDroit! île traduction et do reprodu. MONSIEUR GEORGE PERROT DIKECTEIR DE l'ÉCOLE NORMALE MEMBRE E l' I N ST 1 TUT HOMMAGE RESPECTUEUX ET RECONNAISSANT L. B. INTRODUCTION On se propose d'étudier ici ce mouvement de moitiéretour à l'antique qui, à partir de la seconde edu xvm siècle, s'est propagé dans la littérature et dans l'art jusqu'aux approches du romantisme, bien loin de s'être limité à quelques petits groupes isolés et à quelques œuvres particulières. Ce mouvement est conforme à l'essence même du classicisme, dont le principe fondamental est limitation. Il a été favorisé chez nous par diverses circonstances histo- riques que nous étudierons, mais c'est surtout dans le paganisme croissant des mœurs et dans la dispa- qu'ilrition ou l'affaiblissement de l'idée religieuse faut en chercher le principe. Il a échoué pour diverses raisons, mais spécialement parce que les Français d'alors ne surent pas ou ne voulurent pas m' dégager de la discipline classique, telle qu'elle s'était constituée au xvn° siècle.
v^ BYSEEN PR ON DATE. LA CLASSICISMEDUFIN ET L'ANTIQUERETOUR ALE COULOMMIERS Imprimerie Paul Brocard. LA FIN DU CLASSICISME LE RETOUR L'ANTIQUEA eDANS LA SECONDE MOITIE XVIII SIECLEDU eET LES PREMIÈRES ANNÉES DU XIX EN FRANCE , Louis BERTRAND Professeur de rhétorique au lycée d'Alçrer AKlS i0HACHETTELIBRAIRIE ET G 79. BOL'LF.VARD SAINT-GERMAIN, ~,'J 189 7 tDroit! île traduction et do reprodu. MONSIEUR GEORGE PERROT DIKECTEIR DE l'ÉCOLE NORMALE MEMBRE E l' I N ST 1 TUT HOMMAGE RESPECTUEUX ET RECONNAISSANT L. B. INTRODUCTION On se propose d'étudier ici ce mouvement de moitiéretour à l'antique qui, à partir de la seconde edu xvm siècle, s'est propagé dans la littérature et dans l'art jusqu'aux approches du romantisme, bien loin de s'être limité à quelques petits groupes isolés et à quelques œuvres particulières. Ce mouvement est conforme à l'essence même du classicisme, dont le principe fondamental est limitation. Il a été favorisé chez nous par diverses circonstances histo- riques que nous étudierons, mais c'est surtout dans le paganisme croissant des mœurs et dans la dispa- qu'ilrition ou l'affaiblissement de l'idée religieuse faut en chercher le principe. Il a échoué pour diverses raisons, mais spécialement parce que les Français d'alors ne surent pas ou ne voulurent pas m' dégager de la discipline classique, telle qu'elle s'était constituée au xvn° siècle." />
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