La société de l abbaye de Saint-Germain des Prés au dixhuitième siècle. Bernard de Montfaucon et les Bernardins, 1715-1750
348 pages
Français

La société de l'abbaye de Saint-Germain des Prés au dixhuitième siècle. Bernard de Montfaucon et les Bernardins, 1715-1750

Le téléchargement nécessite un accès à la bibliothèque YouScribe
Tout savoir sur nos offres
348 pages
Français
Le téléchargement nécessite un accès à la bibliothèque YouScribe
Tout savoir sur nos offres

Description

^?(7^ DE MONTFAUCONBERNARD ET LES BERNARDINS de tra-L'auteur et les éditeurs déclarent réserver leurs droits l'étranger.duction et de reproduction à Cet ouvrage a été déposé au ministère de l'intérieur (section de la librairie) en juin 4891. GARANCIKRK,PARIS. TYPOGRAPHIE DK K. PI.O>, NOURRIT KT c''', RUK 8. (IlHEcF B. LA SOCIÉTÉ DE L'ABBAYE DE SAINT-GERMAIN DES PRÉS AU DIX-HUITIÈME SIÈCLE BERMRD DE MONTFAUCON ET LES BERNARDINS 1715-1750 EMMANUEL DE BROGLIE TOME SECOND 54G5gl PARIS LIBRAIRIE PLON E. PLON, NOURRIT et G-, IMPRIMEURS-ÉDITEURS RUE CARANCIÈRE, 10 1891 Tous droits réservés BERNARD DE MONTFAUCON ET LES BERNARDINS CHAPITRE VII DE PROVINCE.LES ÉRUDITS — —Les lettres de province. Le président Bouhier. Le président — marquis de Valbonnais.— M. de La Tourette.— LeBoisot. Le — —marquis de Cauinont. Le marquis d'Aubais. Joseph de La —— —Bastie. Le président Bon. Le président d'Aifjrefeuille. de Montpellier. — Les Bernardins de province. — DomL'évèque — —Maur Audren de Kerdrel. Le maire de Nantes. Le capitaine de vaisseau Bcauharnais. Il trois et quatre fois heureux ceux qui, comme « vous, avec un génie propre aux plus grandes choses, « pouvoir s'y donner tout entiers,ont l'avantage de « incommode, et nesans aucune distraction sont épou- « Tout ce puis fairevantés d'aucun travail! que je est '.

Sujets

Informations

Publié par
Nombre de lectures 24
Licence :
Langue Français
Poids de l'ouvrage 14 Mo

Extrait

^?(7^
DE MONTFAUCONBERNARD
ET LES BERNARDINSde tra-L'auteur et les éditeurs déclarent réserver leurs droits
l'étranger.duction et de reproduction à
Cet ouvrage a été déposé au ministère de l'intérieur (section
de la librairie) en juin 4891.
GARANCIKRK,PARIS. TYPOGRAPHIE DK K. PI.O>, NOURRIT KT c''', RUK 8.(IlHEcF
B.
LA SOCIÉTÉ DE L'ABBAYE
DE SAINT-GERMAIN DES PRÉS
AU DIX-HUITIÈME SIÈCLE
BERMRD DE MONTFAUCON
ET LES BERNARDINS
1715-1750
EMMANUEL DE BROGLIE
TOME SECOND
54G5gl
PARIS
LIBRAIRIE PLON
E. PLON, NOURRIT et G-, IMPRIMEURS-ÉDITEURS
RUE CARANCIÈRE, 10
1891
Tous droits réservésBERNARD DE MONTFAUCON
ET LES BERNARDINS
CHAPITRE VII
DE PROVINCE.LES ÉRUDITS
— —Les lettres de province. Le président Bouhier. Le président
— marquis de Valbonnais.— M. de La Tourette.— LeBoisot. Le
— —marquis de Cauinont. Le marquis d'Aubais. Joseph de La
—— —Bastie. Le président Bon. Le président d'Aifjrefeuille.
de Montpellier. — Les Bernardins de province. — DomL'évèque
— —Maur Audren de Kerdrel. Le maire de Nantes. Le capitaine de
vaisseau Bcauharnais.
Il trois et quatre fois heureux ceux qui, comme
« vous, avec un génie propre aux plus grandes choses,
« pouvoir s'y donner tout entiers,ont l'avantage de
« incommode, et nesans aucune distraction sont épou-
« Tout ce puis fairevantés d'aucun travail! que je est
'.« situation » Ces lignes,d'envier cette heureuse que
écritenous relevons à 1^ fin d'une lettre à Montfaucon
font faire, sans aucunepar le président Bouhier, nous
' Montfaucon, Bibliothèque nationale, fonds français, 17703, f° 180.
n. 1LA SOCIETE DE L'AIHÎAYE.2
l'un des plus aimablespréparation, connaissance avec
siècle.érudits du dix-huitième
était, en effet, sans contestation, àJean Bouhier
poli, le moinsle plus lettré, le pluscette époque
mortier de Francepédant de tous les présidents à
qui ne l'empêchait pas d'être unde Navarre, ceet
qui luttait de science avec lestravailleur acharné,
profession. Ce Parisien de province, à quisavants de
française avait ouvert ses portes, en le dis-l'Académie
de la résidence à Paris, privilège sans précé-pensant
compagnie, qui nedent dans les annales de la docte et
dont il était la gloire etvoulut jamais quitter Dijon,
méritait bien d'ouvrir la série des corres-l'ornement,
province de dom Bernard. Il a tous lespondants de y
non seulement parce qu'il est un homme dudroits,
monde accompli et un magistrat intègre, mais parce
qu'il est un érudit de premier ordre, l'émule même de
su faire leMontfaucon sur quelques points, et qu'il a se
littéraires quicentre d'une de ces correspondances
l'autre.vont d'un bout de l'Europe à
vieilles familles parlementaires deIssu d'une de ces
province qui alliaient tant de fortes vertus à une cul-
ture intellectuelle si développée, Jean Bouhier, fils et
petit-fils de conseiller au parlement de Dijon, avait
reçu l'éducation littéraire la plus soignée et témoigné
Aprèsdès sa jeunesse d'un esprit distingué et actif.
avoir trente etun ans,voyagéquelquetemps, il devint, à
président il ne quitta plus queà mortier, et dès lors

  • Univers Univers
  • Ebooks Ebooks
  • Livres audio Livres audio
  • Presse Presse
  • Podcasts Podcasts
  • BD BD
  • Documents Documents