Le théâtre français au 16e et au 17e sìecle, ou choix des comédies les plus remarquables, antérieures a Molìere, avec une introduction et une notice sur chaque auteur
HANDBOUND AT THE UNivEJumr OF TORONTO PKFJCt -ii TIIKATRK FRANÇAIS1,K sièclexvirET AU\vr 'é>i TÉiiiK(;a»v \ MOI it I", I 'W. I Nf INTRODICTION M ' ^^ N"i M t Ml-, Il V,,, f ^| M. EDOUARD FOURKIER '**' PARIS \l'l.Ai;i., sv.NCHKZ ET C'% KDITEriiS. c(87if:, Fts- 7I8S05 NOTICE SUR ÉTIEN^T mill^ Il éuit de Paris,«ans qu'on sache aa Juste où, quand, et de qoi il T était né. On Verdier contenteae dédire, après avoir écrn aoa Bom : « Parisies, rieur da L^nnodin. Dobkaae,comme mots leÊuit-U de cea dernier» feraient sappoaer? C'est plus que dooteox le I lo; sem- :ble an fiefdes pays imaginairea, que la . JudcUe bibita toutaoMi midûment que eaprit.«m L'ige de qnirante ov'oo lai dbaoe à sa mort,aWt en IMS, lUt croireqall naquit en IMS, c'ett-à-diredaaa le pMn da règne de Fhuiçae et de leI* BwniJMence, dnni Ieekléea,teaieeaa cohede rantkiiiitéletlneeigrec- viTéea sootenuea paret en loi des étodes qulda- r» rapides et brillaotee, devinrentde bonneheure ' ion, ton iTreMe. (ide qai formait, il fut le plusle impétueax —'•--" '•'pins en avant, ce qui fltpreaqaf> ahef. Chacun s'enflammade cette I- génie, et qui n'en donne qn . Bair «'tait tout à l'admirai ;i la fleur » ^de son ftge. ' c du Rrare, doux et copif > '- létait plus qu'un pocte : c'>I' i. miaa hoclo et qu'un Ménandre. A l'en- Jca portes avait commencé : Coaidteavw la Tlrac«dic.
ahef. Chacun s'enflammade cette I- génie, et qui n'en donne qn . Bair «'tait tout à l'admirai ;i la fleur » ^de son ftge. ' c du Rrare, doux et copif > '- létait plus qu'un pocte : c'>I' i. miaa hoclo et qu'un Ménandre. A l'en- Jca portes avait commencé : Coaidteavw la Tlrac«dic." />
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