LES CORPORATIONS L'INDUSTRIE ET LE COMMERCE CHARTRES GENEVIEVE ACLOCOUE AUCHIMSTIC-I'AI.KOCHAI'HI-: LES CORPOIIATIONS ETL'INDUSTRIE LE CO.\rMI']nCI., G 3705. 4. V. ch. précédent. 5. Chez les selliers les œuvres saisies à l'instigation des jurés étaient générale des (St., chez les bourrelierssoumises à l'assemblée maîtres 1591) ; deux trois voisins examinaient les harnais défectueux et décidaient, d'ac-ou lieu de sévir (St.,cord avec la commission de contrôle, s'il avait 7580).y Sentence de police du 2 juin 1701. A. c. Chartres, J-Ll''"".6. —PARTIE CHAPITRE IIIPREMIÈRE68 trente-et-un maîtres s'élevèrent contre les jurésainsi 1733,(lu'en lieutenantqui avaient présenté au général de policesavetiers à la maîtrise sans attache familiale avec leaspirants(luehpies '.n'ayant fait leur apprentissage à Chartresmétier et i)as de débats animés,lieu d'être une occasion les assem-Au réunir qu'un petit nombre de membres. Auxblées pouvaient ne centralisation monarchique n'avait pas encoreépoques où la royaume,tous les éléments du la corporation, petitediscipliné personnalité dans l'association urbaine,commune conservant sa une individualité puissante, turbulente même; àavait montré du XVI" siècle, elle ne vivait plus que d'une existence enla fin et les maîtres tendaientà se désintéresserquelque sorte officielle administration. En 1591, les statuts des selliers rendirentde son d'assemblerobligatoire de répondre à l'avis et de tenir qu'il serait nécessaire.