La lecture à portée de main
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Publié par | les_archives_du_savoir |
Nombre de lectures | 8 |
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Langue | Français |
Poids de l'ouvrage | 16 Mo |
Extrait
PREVOST-PARADOL— IMPIUMERIE LAIIURE27325. PA MIS,
(le Fleurus, 9.9, RueOCTAVE GRÉARD
DE L'ACADÉMIE FRANÇAISE
PREVOST-PARADOL
ETUDE
D'UISr CHOIX DE LETTRE!
PARIS
ET G'LIBRAIRIE HACHETTE
79, BOLLEVARD SAINT-GERMAIN, 79
1894
Droils <Ie traduction et de reproduction réservés.T>0
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AVERTISSEMENT
dansCette Élude a déjà paru en partie le volume
Débats^ pourpublié par le Journal des en 1889, célé-
centenaire fondation. En la reprenantbrer le de sa
nous l'avonsici, complétée.
Les Lettres qui la suivent sont inédites. Elles se
rapportent pour le plus grand nombre à la jeunesse
de Prevost-Paradol. Cependant il n'est pas d'année
soit représentée ;de sa trop courte carrière qui n'y
pas vingt ans, quand ilPrevost-Paradol n'avait
écrivait la première; la dernière est datée de Was-
hington, cinq jours avant sa mort.
C'est à des amis intimes qu'elles sont presque
comprises, ellestoutes adressées et, pour être
;
préparation de celles aux-n'ont besoin, ni de la
ni du complément desquelles elles répondaient,
provoquaient. A ses autres cor-réponses qu'elles
ses maîtres, nous avons empruntérespondants, à
inter-quelques billets, dont la discrétion ne nous
contribuer,disait pas d'user, et qui pouvaient
soit à expliquer unsoit à éclaircir ses sentiments,
incident de sa vie.AVEUTISSEMENTiVI
que la critique anglaiseSuivant la méthode a
faveur, nous aurions pu rattachermise en toutes
Lettres à VÈlude^ et les fondre par extraits,les y
pour ainsi dire. Après avoir lu, dans sa suite inté-
grale, le choix que nous donnons, on nous saura
d'avoirgré, je Tespèrc, laissé Prevost-Paradol s'y
l'honime,peindre lui-même : dans la droiture et
la fougue charmante de sa nature passionnée, l'écri-
vain, dans la spirituelle et merveilleuse souplesse
talent.de son
Remercierons M. Halévy-nous Ludovic du con-
cours qu'il nous a prêté pour rassembler cette
correspondance? Nous ne saurions le faire plus
—selon notre cœur qu'en disant et les Lettres le
—diront mieux encore que c'est une publication
commune sur un ami commun.