comment fonctionne la desinfection
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Concept AQUASURE Le concept consiste en une pastille bi couche permettant de potabiliser l’eau par le moyen d’une double action. La coagulation / floculation, dans un premier temps, puis la chloration dans un deuxième temps. Une fois la pastille introduite dans l’eau souillée, la couche contenant les agents coagulants et floculants se délite instantanément ; il suffit d’agiter le liquide pour répartir les agents coagulants et floculants de façon homogène. Grâce aux coagulants et floculants, les particules en suspension, chargées négativement dans l’eau turbide à clarifier, sont neutralisées (par le système coagulant cationique) et s’agrègent (grâce au système floculant anionique) pour former des flocs qui deviennent plus cohésifs, plus volumineux et plus denses que l’eau assurant une décantation rapide au fond du récipient. Une fois la phase de décantation terminée (eau devenue claire), la couche contenant l’agent chloré se délite progressivement et libère le chlore « libre », également appelé «actif », dans l’eau et réalise la désinfection. Cette couche contenant l’agent désinfectant a la particularité de flotter en surface, lui permettant de ne pas être recouverte par les flocs, évitant ainsi le développement éventuel de dérivés chlorés (THM) dangereux pour la santé humaine. Le taux de chlore résiduel libre varie généralement dans l’eau traitée entre 0,5 et 0,8 mg/L Principe de fonctionnement de la désinfection avec ...

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Langue Français

Extrait

1
Concept AQUASURE
Le concept consiste en une pastille bi couche
permettant de potabiliser l’eau par le moyen d’une
double action. La coagulation / floculation, dans un premier temps, puis la chloration dans un
deuxième temps.
Une fois la pastille introduite dans l’eau souillée, la couche contenant les agents coagulants et
floculants se délite instantanément ; il suffit d’agiter le liquide pour répartir les agents coagulants et
floculants de façon homogène. Grâce aux coagulants et floculants, les particules en suspension,
chargées négativement dans l’eau turbide à clarifier, sont neutralisées (par le système coagulant
cationique) et s’agrègent (grâce au système floculant anionique) pour former des flocs qui
deviennent plus cohésifs, plus volumineux et plus denses que l’eau assurant une décantation
rapide
au fond du récipient.
Une fois la phase de décantation terminée (eau devenue claire), la couche contenant l’agent chloré se
délite progressivement et libère le chlore « libre », également appelé «actif », dans l’eau et réalise la
désinfection. Cette couche contenant l’agent désinfectant a la particularité de flotter en surface, lui
permettant de ne pas être recouverte par les flocs, évitant ainsi le développement éventuel de dérivés
chlorés (THM) dangereux pour la santé humaine.
Le taux de chlore résiduel libre varie généralement dans l’eau traitée entre 0,5 et 0,8 mg/L
Principe de fonctionnement de la désinfection avec AQUASURE
La désinfection est possible grâce au dichloroisocyanurate de sodium (DCCNa) qui, réagissant au
contact de l’eau, libère du chlore « actif » (acide hypochloreux (HC lO
-
) et hypochlorite de sodium
(Na
+
ClO
-
) suivant le pH de l’eau), qui est l’agent biocide et de l’isocyanurate de sodium (non
toxique).
Le DCCNa, 2H
2
O titre 27,7% en élément Chlore. Le chlore « libre » ou « actif » correspond au
chlore dont le degré d’oxydation est +1 (HC lO et C lO
-
). Comme les deux atomes de chlore du
DCCNa sont au degré d’oxydation +1, le taux de chlore libre libérable par le DCCNa, 2H
2
O
est
de 55,4%. Lors de l’hydrolyse du DCCNa, et compte tenu des équilibres des espèces hydrolysables
ci-dessous, le DCCNa relargue en quelques secondes de l’acide hypochloreux en équilibre avec les
isocyanurates chlorés. Le DCCNa joue, en quelque sorte, le rôle de réservoir de chlore actif
disponible, et le relargue au fur et à mesure de la consommation de HC lO. La concentration
stationnaire en chlore libre varie en fonction du taux de chlore actif relarguable et de la demande
en chlore du milieu traité :
2
Dichloroisocyanurate Na
Monochloroisocyanurate Na
Isocyanurate Na
Na
+
Cl
2
cy
-
+
H2O (excès)
HC lO
+
Na
+
HC lcy
-
+ H2O (excès)
HC lO
+
Na
+
H
2
cy
-
Les deux réaction
successives A
B + D et B
C + D sont équilibrées mais très rapides (la 1
ère
étant encore plus rapide que la seconde).
Les constantes d’hydrolyse (kh) sont respectivement de 3,1.10
-5
M.L
-1
et
2,3.10
-6
M.L
-1
La constante de vitesse pour la réaction B -- > C + D est k
1
=0,17 s
-1
et celle de la réaction inverse
C + D -- > B est k
-1
= 7,4.10
4
M
-1
L s
-1
Le temps de demi réaction dans le sens direct (B -- > C + D) est = Ln2/k
1
= 4,08 s
Le temps de demi réaction dans le sens inverse (C + D -- > B) est = 1/ (k
-1
.B
0
) = 2,08 s pour une
concentration en DCCNa = 2.10
-5
M.L
-1
caractéristique de Aquasure. Ces temps caractéristiques
sont du même ordre de grandeur et les équilibres sont atteints en quelques secondes.
A partir des constantes d’hydrolyse de ces deux réactions successives, le calcul de la composition
de la solution lorsque l’équilibre est atteint, est reporté ci-dessous :
DCCNa, réservoir de Chlore actif
0,0
10,0
20,0
30,0
40,0
50,0
60,0
70,0
80,0
90,0
0
0,5
1
1,5
2
2,5
3
3,5
4
4,5
5
[DCCNa,2H2O] introduit (mg/L)
% massique eq. Cl
HClO + ClO-
Cl2cy-
HClcy-
Ces réactions successives montrent l’existence d’un équilibre de concentration en
chloroisocyanurates tant que la demande en chlore actif ne consomme pas celui qui est libéré par
l’hydrolyse du DCCNa, suivant la loi d’action de masse appliquée aux deux équilibres
A
B + D
et
B
C + D :
Cela signifie, par exemple, qu’en partant d’une concentration initiale de 2.10
- 5
M L
-
1 de Cl
2
cy-
(correspondant à 5 mg/L de DCCNa, 2H2O), la fraction réagie exprimée en chlore actif libre ne
dépassera pas 46 % tant que la demande en HC lO + C lO
-
sera nulle. Les 54 % de chlore actif
disponible mais non libéré se répartissent entre le dichloroisocyanurate (31%) et le
monochloroisocyanurate (23%).
Si l’on considère un taux de chlore actif disponible de 1 mg/L (correspondant à 1,8mg/L de DCCNa,
2H2O), le chlore actif
libre représentera environ 61% et
les 39% de chlore actif non libéré se
répartiront entre le dichloroisocyanurate (16%) et le monochloroisocyanurate (23% ).
Au-delà de ce seuil, le DCCNa s’hydrolysera progressivement pour rétablir l’équilibre, jusqu’à
épuisement total du DCCNa introduit dans le milieu réactif. Le DCCNa ne libère en quelque sorte du
chlore actif qu’à la demande, mais très rapidement.
3
Cette cinétique montre également que l’effet de « réservoir » de chlore augmente en valeurs absolues
et relatives avec le taux de DCCNa introduit.
L’acide hypochloreux provoque l’hydrolyse des chaînes peptidiques des membranes cellulaires des
micro-organismes.
Or le taux de HC lO présent dans une solution aqueuse d’hypochlorite est fonction du pH,
conformément à l’équilibre suivant :
HC lO
H
+
+
C lO
-
K = ([H
+
][C lO
-
])/[HC lO] = 2,9 .10
-8
pK =
7,54
La fraction présente de HC lO dans la solution est :
[HC lO]/ ([HC lO] + [C lO
-
]) = 1 / (1 + [C lO
-
])/ [HC lO]) = 1 / (1 +10
(pH-pK)
)
(a)
Cela signifie qu’à pH = pK, l’acide hypochloreux représente 50% du taux de chlore libre total dosé.
La courbe ci-dessous traduit l’équation
(a)
:
fraction HC lO libéré / total HC lO + C LO -)
0,000
0,100
0,200
0,300
0,400
0,500
0,600
0,700
0,800
0,900
1,000
5
6
7
8
9
10
pH
fraction HCLO
Comme le pouvoir biocide (*) de HC lO est environ 100 fois plus important
que celui de l’eau de Javel (C lO
-
+ Cl
-
), laquelle n’agit que par son action
oxydante de ClO
-
, cette courbe traduit –à un facteur 100 près -, en fonction du
pH de l’eau, le pouvoir biocide du DCCNa comparé à celui de l’eau de Javel.
A pH 6,5 par exemple, une solution aqueuse contenant du DCCNa présente
une activité biocide environ 90 fois plus active que celle d’une solution
d’hypochlorite, à même concentration.
La capacité biocide de la solution varie et diminue lorsque le pH augmente. A
pH > 9 la solution aqueuse n’a pratiquement plus de supériorité par rapport à
l’eau de Javel. Mais le pH de l’eau destinée à la boisson est en général compris
entre 6 et 8, ce qui justifie d’autant plus l’emploi de DCCNa en tant que
précurseur biocide.
4
La désinfection par chloration simple implique un dosage de 2 à 3 mg de chlore libre /L pour
produire une concentration en chlore libre convenable, avec un temps de contact préconisé
de 30
min, mais ceci n’est qu’une valeur indicative : la quantité de chlore à utiliser dépend de la qualité de
l’eau à traiter. Il faut une concentration en chlore libre
0,5 mg/L, après au moins 30 min de contact
à un pH
8, pour une désinfection efficace.
Le DCCNa ne libère, lorsque le taux de chlore libre est d’environ 1 mg/L dans les solutions
aqueuses, qu’environ 60% de chlore libre (sous forme de HC lO et C lO
-
) par rapport au chlore total
libérable, et cet équilibre demeure jusqu’à ce que la présence de micro-organismes, de matières
organiques ou azotées exigent du chlore. Ce relarguage de chlore latent offre de plus grandes
capacités désinfectantes au DCCNa comparativement aux hypochlorites inorganiques.
(*) Costigan, S.M. Co mparison of the Germic idal Effic iency of Hypochlorites of High and Low A lka linity J. of
Bacteriol. 1937, 34, 1-7.
Pourquoi
le DCCNa ?
Dans les années 50, la chloramine T (sel de sodium de la N-chloro-4-méthylbenzène sulfonamide) a
été la seule molécule facile d’emploi permettant de purifier par voie chimique les eaux destinées à la
boisson des troupes en campagne. Ce produit est un désinfectant lent dont l’efficacité est grandement
affectée par la présence de matières organiques et s’est avéré nettement moins performant que
l’hypochlorite de sodium. Le chlore libéré se trouve sous forme combinée, relativement peu actif.
Les comprimés de chloramine T sont lents à se dissoudre et nécessitent d’être fragmentés. C’est
pourquoi ce produit a été remplacé par le dichloroisocyanurate de sodium (DCCNa), beaucoup plus
actif, dans les années 90 par certaines armées étrangères et organismes internationaux (Croix Rouge,
UNICEF...).
L’OMS a remplacé l’hypochlorite de sodium par le DCCNa dans la liste des médicaments essentiels,
publiée en 1998.
Le DCCNa a obtenu en F rance l’homologation du M inistère de la Santé pour son emploi dans la
désinfection de l’eau de boisson destinée à la consommation humaine
sous la marque Aquatabs
®
(références des homologations N° 980119 du 03 mai 1999 pour le traitement de 1 litre d’eau
d’alimentation et N° 010014 du 17 octobre 2001 pour le traitement de 10 litres).
Le DCCNa est agréé par l’US EPA et est utilisé comme désinfectant par de nombreuses
municipalités aux Etats-Unis.
Le dichloroisocyanurate de sodium dihydrate (N° CAS 51580-86-0 et N° EC 220-767-7), mis en
oeuvre dans AQUASURE, a été notifié pour l’application P T5 dans le cadre de la directive Biocide
98/8/CE (Annexe II du Règlement 2032/2003)
.
Le large spectre d’action de la pastille AQUASURE permet de traiter de l’eau :
-à un pH compris entre 5 et 8,5
-pour des turbidités de 40 à 2000 NTU
-à une température variant de +2 à
>+35°C
-pour des salinités conduisant à des conductivités jusqu’à 2000 μS/cm
5
Efficacité du traitement
Les micro-organismes sont plus ou moins résistants à l’attaque du chlore. S uivant leur nature, la
demande en chlore pour les inactiver varie en conséquence.
Par ordre de résistances croissantes au chlore, les plus sensibles au chlore sont les virus (virus
hépatite A, poliovirus, rota virus), les bactéries (salmonelles, coliformes fécaux (E. Coli),
streptocoques fécaux), les protozoaires (kystes de Giardia Lamblia, oocystes de cryptosporidium) et
les plus résistants sont les kystes de cryptosporidium.
L’USEP A a introduit le concept
Ct
(exprimé en mg*min/L), où
C
représente la concentration en
chlore libre (mg/L) et
t
représente le temps de contact (minute) minimum
pour assurer la
désactivation d’un micro-organisme donné, dont le niveau d’abattement s’exprime en log, suivant le
modèle de C hick et Watson :
Ct = k* log (N
0
/N)/
λ
Où N
0
et N représentent respectivement la concentration initiale et finale après traitement en micro-
organisme :
Pour log (N
0
/N) =1
l’abattement est de 90%
Pour log (N
0
/N) =2
l’abattement est de 99%
Pour log (N
0
/N) =3
l’abattement est de 99,9%
Pour log (N
0
/N) =4
l’abattement est de 99,99%
Pour log (N
0
/N) =5
l’abattement est de 99,999%
k représente un paramètre correctif pour tenir compte du pH et du taux de chlore libre (C l) et
λ
traduit la sensibilité au chlore du micro-organisme considéré.
k = (a*pH+b)*C l+ c*pH+d avec
a =
0,0433
b = -0,1990
c = 0,2688
d = -1,1043
(valeurs obtenues par régression)
Exemples : k = 0,88 pour pH = 7 et C l = 1 mg/L
k = 1,12 pour pH = 8 et C l = 0,5 mg/L
Quelques valeurs de
λ
(données dans la littérature) :
Micro- organismes
λ
20°C
virus Hépatite A
5,6
Poliovirus
4,8
Rota virus
0,133
Escherichia Coli
0,133
kystes de Giardia Lamblia
0,05
Kystes de Cryptosporidium
0,0028
A l’exception des kystes de Cryptosporidium qui ne sont pratiquement pas inactivables par le chlore,
mais qui, en revanche, sont éliminés par la coagulation/floculation/décantation (à hauteur d’environ
2 log), on remarque qu’en appliquant un C t permettant un abattement donné des kystes de Giardia
Lamblia, on abattra davantage de micro-organismes ayant un
λ
supérieur à celui des kystes de
Giardia Lamblia (bactéries et virus). O n peut donc calculer les conditions de traitement à appliquer
sur la base de l’abattement recherché des kystes de Giardia Lamblia.
6
Le tableau ci-dessous, traitant l’inactivation des kystes de Giardia Lamblia par le chlore, rassemble
les valeurs de Ct, et de t pour différentes concentrations en chlore libre, à différents pH et à des
températures de traitement
comprises entre 10 et 25°C :
Inactivation des kystes de Gi ardia Lamblia par le chlore libre
pH 6
pH 7
log(N
0
/N)
log(N
0
/N)
10°C
Cl mg/L
1
2
3
4
1
2
3
4
1
0,5
22
44
66
88
34
68
101
136
46
Ct
1
23
46
70
92
36
72
108
144
49
1,5
24
49
73
98
38
76
114
152
52
(mg.min/L)
2
26
51
77
102
40
80
121
160
55
0,5
44
88
132
176
68
135
203
270
91
1
23
46
70
92
36
72
108
144
49
1,5
16
33
49
66
25
51
76
102
34
t (min)
2
13
26
39
52
20
40
60
80
27
Inactivation des kystes de Gi ardia Lamblia par le chlore libre
pH 6
pH 7
log(N
0
/N)
log(N
0
/N)
15°C
Cl mg/L
1
2
3
4
1
2
3
4
1
0,5
15
31
46
62
24
47
71
94
32
Ct
1
16
33
49
66
25
50
75
100
34
1,5
17
34
51
68
27
53
80
106
36
(mg.min/L)
2
18
36
54
72
28
56
84
112
38
0,5
31
62
92
124
47
95
142
190
64
1
16
33
49
66
25
50
75
100
34
1,5
11
23
34
46
18
36
53
72
24
t (min)
2
9
18
27
36
14
28
42
56
19
Inactivation des kystes de Gi ardia Lamblia par le chlore libre
pH 6
pH 7
log(N
0
/N)
log(N
0
/N)
20°C
Cl mg/L
1
2
3
4
1
2
3
4
1
0,5
11
22
32
44
17
33
50
66
22
Ct
1
11
23
34
46
18
35
53
70
24
1,5
12
24
36
48
19
37
56
74
25
(mg.min/L)
2
13
25
38
50
20
39
59
78
27
0,5
22
43
65
86
33
66
99
132
45
1
11
23
34
46
18
35
53
70
24
1,5
8
16
24
32
12
25
37
50
17
t (min)
2
6
13
19
26
10
20
30
40
13
7
Inactivation des kystes de Gi ardia Lamblia par le chlore libre
pH 6
pH 7
log(N
0
/N)
log(N
0
/N)
25°C
Cl mg/L
1
2
3
4
1
2
3
4
1
0,5
8
15
23
30
12
23
35
46
16
Ct
1
8
16
24
32
12
25
37
50
17
1,5
8
17
25
34
13
26
39
52
18
(mg.min/L)
2
9
18
26
36
14
28
41
56
19
0,5
15
30
45
60
23
46
70
92
31
1
8
16
24
32
12
25
37
50
17
1,5
6
11
17
22
9
17
26
34
12
t (min)
2
4
9
13
18
7
14
21
28
9
La température influe fortement sur la vitesse d’inactivation des micro-organismes par le chlore.
Cette influence est traduite par le paramètre
Ct
(exprimé en mg* min/L), où, par exemple, à 20°C,
à pH = 7 et pour un taux de chlore libre final de 0,5 mg/L, le taux d’inactivation de kystes de
Giardia Lamblia est respectivement de 99% (2 log) et 99,9% (3 log) pour Ct = 33
et 50 mg.min/L,
correspondant à un temps de contact de 1H et 1H30.
Le temps est doublé pour une diminution de 10°C de la température de traitement (et inversement
pour une augmentation de 10°C).
Les deux abaques ci-dessous sont établies sur la base d’un abattement de 4 log de Giardia Lamblia
pour un taux de chlore libre de 1 mg/L représentatif du taux de chlore libre moyen libéré par une
pastille Aquasure dans 200L d’eau..
A partir de caractéristiques immédiatement accessibles de l’eau à traiter (température et pH), ils
permettent de calculer le temps de contact à maintenir (pastille/eau) pour assurer une bonne
désinfection avec Aquasure.
8
Efficacité biocide Aquasure
10
12
14
16
18
20
22
24
26
28
30
6
6,25
6,5
6,75
7
7,25
7,5
7,75
8
pH
Température (°C)
1H
1,5H
2H
2,5H
3H
0,5H
0,75H
1,25H
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