Rythmes scolaires : pour la libre application de la réforme
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Argumentaire UMP - Rythmes scolaires : pour la libre application de la réforme

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Publié le 28 avril 2014
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Langue Français

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ARGU FLASH
RYTHMES SCOLAIRES
POUR LA LIBRE APPLICATION DE LA RÉFORME
À RETENIR Nombre de candidats qui ont gagné lors des municipales ont fait campagne contre la réforme des rythmes scolaires. C’est l’une des raisons de la débâcle électorale de la gauche. Manuel Valls comme Benoît Hamon, nouveau ruatoPtn, ministre de l’Éducation, refusent d’entendre les inquiétudes qui se sont exprimées sur le terrain. srpaaparutnnnemeuveregouelqtnaTtempesleisconl’UMP revendications des élus, des professionnels et des parents, poursuivra son combat pour le libre choix pour les communes d’appliquer la réforme des rythmes scolaires.
CHIFFRE CLÉ 77 % C’est la proportion de communes qui ont appliqué la réforme Peillon dès la rentrée 2013 et rencontrent des difficultés pour la financer.
Malgré la débâcle électorale de la gauche, Manuel Valls refuse d’évoluer sur la réforme des rythmes scolaires
La gauche a perdu 177 communes de plus de 9 000 habitants. La débâcle électorale est sans précédent. De nombreux candidats avaient fait campagne contre le décret de Vincent Peillon instaurant la réforme des rythmes scolaires, arguant de difficultés d’organisation, du coût à la charge des mairies, et du peu de contenu éducatif… La logique aurait été d’entendre leurs revendications ainsi que celles des Français. Mais la première réac-tion de Benoît Hamon a été de fermer la porte sur le décret Peillon : « Ni retrait, ni report, ni libre choix. L’assouplissement vise à l’application pleine et entière du texte du 24 janvier2013 qui cadre la réforme des rythmes scolaires ». Manuel Valls a annoncé 10 milliards d’économies sur les collectivités territoriales, Pire, à l’heure même où bon nombre d’entre elles ont basculé à droite. En clair d’un côté, il réduit leurs ressources, et de l’autre il leur transfère des charges non financées, à savoir le coût des rythmes scolaires, ce qui est contraire à la constitution. C’est intenable sauf à augmenter les impôts locaux alors que les Français ont déjà tant été pressurés fiscalement ! Pour rappel tout transfert non financé de compétences de l’État aux communes ne respecte pas l’article 72-2 de la Constitution.
www.u-m-p.org
© Éditions de l’Union
11 avril 2014
ARGU FLASH
Pourtant un sondage commandé par l’Association des maires de France montre les difficultés des communes, pourtant volontaires, qui ont décidé d’appliquer la réforme dès 2013 : 40 % des communes testées ont eu des difficultés à trouver des animateurs,  dont75 % des villes de plus de 30000 habitants. Dans les villes de plus de 30000 habitants, 45 % des parents sont insatisfaits de la réforme. 50 % des communes ont dû mal à trouver des locaux  dont80 % des communes urbaines. Les petites communes se sont senties « isolées » dans la mise en œuvre de la réforme.  L’ensembledes communes font part de difficultés particulières à organiser les activités pourles maternelles. 77 % des communes ont eu du mal à financer la réforme.  Pourenviron 50 % des communes Pour 10 % d’entre elles il est le coût est supérieur aux 150 euros annoncés par le gouvernement. même supérieur à 300 euros. Près de 70 % des communes font part des relations difficiles avec la CAF pour le financement.
Le combat continue tant que le gouvernement fera la sourde oreille : les communes doivent avoir le choix d’appliquer ou non la réforme des rythmes scolaires !
Toutes ces difficultés relevées par les élus, les chefs d’établissements, les instituteurs, les parents ne peuvent que s’amplifier en 2014 quand un surcroît de communes devraappliquer la réforme et après 2014 quand le financement public s’arrêtera. Nous ne pouvons nous satisfaire de l’autisme du gouvernement qui feint de n’avoir pas compris le message sans appel des Français. La non-reconduction de Vincent Peillon dans la nouvelle équipe appeler au libre choix pour les communes gouvernementale ne suffit pas. L’UMP continue à d’appliquer ou non la réforme des rythmes scolaires.
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© Éditions de l’Union
11 avril 2014
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