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Publié par | temis-developpement-durable |
Publié le | 04 janvier 2006 |
Nombre de lectures | 3 |
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Langue | Français |
Extrait
DIRECTION DES ÉTUDES ÉCONOMIQUES ET DE LÉ'VALUATION ENVIRONNEMENTALE
Num é ro 02
AVRIL 2006
LA REELTT D USERVICE D E LARE C H E R C H E E T D E LAPEVROSPECTI D E LAD 4E
La recherche environnementael censurée ?
Plusie urs voix s’ snoèlétnevxua atÉ Utss ni eetAun tsaril eoprud néoncer les pressi
exercées par el gouvernement sur els chercheurs des agences nationaels. Face aux
poiltiques conservatrices, els scientifiques éprouvent des dif discuteiculét s ø ilbre r m e nt
de la poréte des résutlats de elurs travaux sur el changement cilmatique.
annue el de’aineérictèie rd sAlicosoitamA n’im m igration pour’ltsuAilar.e
C’EST ü L’O CCA SIO N de con la éf re nce’s ndeu SnuadmEst et leurs réperculsssAieoi
pour l’'Ds i'uqsetèneqniueecse msvaAuntarsteiSf itcnide ns,ceenci il sdut en
dont i lest el président, que David Baltimore, ce du CSIRO dans el débat pubilc sur els
éminent biologiste et prix Nobe lde médequestions environnementaels et pointent du
cine, a lancé un appe lø tous els scientifiques doigt 'linsécuriét financière des personnesl,
pour q u’uanlj et.n eecs er us ttbat enrmfeenems lu pes lntmeamotmo nclsi
de elurs résultats de recherche.
Le ph é nom è ne n'e st pas e ntiè re m e nt
nouveau mais la poiltique conduite par 'ladmi
nistration Bush sur els changements cilmati
q ue s a e xace rbé la situation.
En ef re rniè dee t, ce s m aine s, plusie urs se s
ch e rch e urs ont afltsurés des atimr eel éuq
elurs travaux sur el réchaufe m e nt c ilm atiq ue ,
’ ou lle au’ nsuré ét ce s ou, rgieé ne nt é avaie
au moins, déformés. Le cas el puls récent est
ce lui de Jam e s H anse n, spé cia ilste du c ilm at
de’nIltits prdr ou GutdaodaudÉts letipa SesIm age provide d by Space Scie nce
els (GISS, qui fait partie de la NASA) qui, en Wand Engine e ring Ce nte r, U. adison isconsin M
janvier dernier, a accusé la NASA de vouloir
l’ ch e r de m pê’esCcc atasusnoitno noc duit dea nronmobur ejuexsl rap éweivretniêrt e
ilstes sur el thème des poiltiques de réduction chercheurs américains et austrailens, dont els
de s é m issions de gaz ø ef,sci sdnlbup eesrr.eted aux trav finsont sapnaéc sof red
En octobre 2004, un ch argé de com m u ø s’r ger suntiroerecd na selrup al le débat
nication de la NA SA afpublic.irotua slitnoS ueiqunmmcoø s séie rmru s relof éetriovaté r
ment encouragé par sa hiérarchie ø laisser résutlats scientifiques et ø que ltitre ? Sontisl
passe r’isedtneieérp noitceléll avant d’op ruel ? eétréb ddoresg adee tratbierl
nise r une con éf re nce de pre sse sur l’ d'autant nt ave c pose se ue stions q s Ce tozone e
la polution de l’ e s m ntifiq ue s scie s ce ê m d'acui ét q ueair. plus
D e s scie ntifiq ue s de’ s re conduire de ch e rch e s inistration Natio sontlA dm s ø e ncouragé
nael Océanique et Atmosphérique (NOAA) permettant d'éclairer els poiltiques pubilques.
ont prote sté contre la prise de position D ans ce s de ux pay s, q ui re fuse nt toujours
oficie elotoce prde Kole ,aloyottnèif or eelettsc noq iueanrc eeld'Agl d er eifitil s sne re
entre els cyclones et el réchaufats scientifique su erentom cnimuitacd noeére mettnldu s
cilmat. L’ dA ge a nce’ai elenmmcerés mit sruuqitilop al rus nmeneeruvgoe tec moemtniaer
ø jour son site Internet pour reconnaître que tael est puls que jamais dif...r t ø ecarcilei
certains chercheurs voyaient une relation
entre els deux.irPec séf renéripncesal:
D. KENNEDY, ä The New Gag Ruels ö,
En A ustra ile , c’ ancie ne st un ch e rch e ur Scie nceurra y02,F be17 9., 061,31
reconnu du CSIRO, el puls grand organisme IEL,RUMFG. B NIA dnaAM .WLIC C
de re ch e rch e scie ntifiq ue du pay s, q ui astf tnsicseiU S ä ,ö gnildde malicitol phtig
ét m oigné dans une é m ission de té élvision Nature06, 439, 896897,F beurra y02.
dif vrie 13 fé elusé e ue q ué ilq e xp Ila r de rnie r. ar offe D ENNIS, äCulture C. igns re
els commanditaires d’ sur elun rapport ch anan rralirch esea uAtsa t ,ö balNature,
ge m e nt c ilm atiq ue avaie nt insisté pour q u’il978. 9,4396 8arrueb F, 0620y
modère ses propos concernant els consé
q ue nce s d’ e rs m s de au nive du ausseune hC ontact H NICH: M ath ie u JA
sur els mouvements de populations dans frv.ou.gmathieu.celogoeiajnhci@h
1 2 3 4
La re ch e rch e s elsLutte contre ce e spè ntde paraî tre :Pe rce ption du bruit: Vie
environnementael e nvah issante saspe cts psy ch ologiq ue s ,EDC emulovI
ce nsuré e ?e tbiodive rsitée tsocioé m e Program iq ue s conom UA L IM EQ PR
DIRECTION DES ÉTUDES ÉCONOMIQUES ET DE L'ÉVALUATION ENVIRONNEMENTALE
Lutcèsee pshasie vne co lesntresiertéib tvidotnase se
Les espèces envahissantes sont très souvent mentionnées parmi els principaels causes de perte de la
biodive rsi ét’ e elé chlee :esîls les an dattnpmrotni eremulièrtict pae es omdniale. Le problèmls ne
ø
re pré se nte nt q ue 3 % de s surface s te rre stre s é m e rgé e s m ais abrite nt 45 % de s e spè ce s d’oise aux, de
plantes et de reptiels. La lutte contre els espèces envahissantes progresse, notamment grâce ø l’usage
de techniques paramiiltaires, mais eelsou èlve de s q ue stions d’e euqifi.larom tdrorntiesce
GUILLEONER TA UR EA U, é visse cre e cel com nards re t rats e ss de
de Louisiane, tortue de muns. Pulôtt que l’ assif,abattage m
Floride, jussie, ambroisie…cont la sentconip érisl uo noitpecar
sont cé èlbre s parce q u’e elav snexs. adueitm aennem aclpsl dIé el
hissent certaines régions de France raelntissent els campagnes d’é radi
métropoiltaine et posent des procation en saccageant els pièges,
bèlmes écologiques, économiques coupant els côltures…
voire de santé pubilque.
La ultte contre els espèces inva
sive s re vê t une im portance particu
ièlre dans els îels du fait de la
rich e sse e t de la vulné rabi ilté de
elurs écosysètmes. Eel nts abrite
be aucoup d'e spè ce s e ndé m iq ue s
q ui n’ontpas dé ve loppé m de e oy ns
de défense contre els animaux et
els plantes que l’ m e transporH om Dà IR ue vê q Lé C.
te, volontairement ou non, avec uli.
D’Pour lesc ehcrehru,sl al eidertcue raprès B. Treshy,siannoc
d'Island Conse rvation, association sance scie ntifiq ue e t l’ irétuaot
cailfornienne spéciailsée dans 'élradimorael ne doivent pas être confon
cation, 9 0 % de s e spè ce s d’sne ttxnitcoiaesio xud seu ler eesob: rvse
et de reptiels et 50 % des espèces décider des actions ø mener sont
de mammièfres et d’ éIgs .vtenécts pone esslèsctépaue xsiitsed d
taels éteintes dans el monde depuis convaincus qu’el li est indispensab
el début du XVIe pre ndre com ie ux m m e nt comsiè c de ntinsu taie el é
laires. Les rats, par exempel, sont els espèces interagissent avant de
m ainte nant pré se nts sur 80 % de s dé cide r ce els q u’ s né ceilse rait
îels et s’ d saire s, plante auxattaq ue nt’adérqieu.r
inse cte s, oise aux e t pe tits m am m i C’ u se ce q ns danse st’a é ét
fères : isl sont impilqués dans la construit el programme de recher
disparition de prè s de la m oitié de s ch e s ä Invasions biologiq ue s ö du
e spè ce s d’. ilesreptDD. LME ed te xuaesio’appe lø propositions de
re ch e rch e lancé e n 2000 s’articulait
autour de 3 voelts : els mécanismes
qui soustendent els invasions, la
pe rce ption socioé conom iq ue de s
invasions et els moyens de contrôel
et de lutte. Un coloq ue de re sti
tution des principaux résutlats des
30 proje ts de re ch e rch e financé s
dans ce cadre se tie ndra e n
octobre 2006.
à IR D F. Sodte r
Principael référence:
Pendant longtemps, els écolo K . K R A JICK , äW ar W inning th e
giste s pe nsaie nt q u’ilé tait im pos A gainstIsland Invade rs ö,Scie n