Corrigé du baccalauréat S Antilles–Guyane juin
4 pages
Français

Corrigé du baccalauréat S Antilles–Guyane juin

Le téléchargement nécessite un accès à la bibliothèque YouScribe
Tout savoir sur nos offres
4 pages
Français
Le téléchargement nécessite un accès à la bibliothèque YouScribe
Tout savoir sur nos offres

Description

Niveau: Secondaire, Lycée
[ Corrigé du baccalauréat S Antilles–Guyane \ juin 2005 EXERCICE 1 5 points Candidats n'ayant pas suivi l'enseignement de spécialité 1. a. L'affixe de E ? est ?1 e?i pi 3 . Mais ?1= e?ipi. Donc E ? a pour affixe e?ipi?ei pi 3 = e? 2pi 3 i. On sait que cos ( ? 2pi 3 ) =? 1 2 et sin ( ? 2pi 3 ) =? p 3 2 ,donc l'affixe de E ? sous forme algébrique est ? 1 2 ? i p 3 2 . b. C1 est l'ensemble des points M d'affixe ei? , ? ?]?pi ; pi[. L'image M ? de M par F a pour affixe ?1 e?i? =?ei? . Le point M ? est donc le symétrique de M autour de O. Conclusion : l'image de C1 est le cercle C1. 2. a. L'affixe de K ? est ?1 2e?i 5pi 6 = ? 1 2 ei 5pi 6 . Comme ci-dessus ?1 = e?ipi, donc l'affixe de K ? est 1 2 e?i pi 6 . b. K appartient à C2 qui est l'ensemble des points M d'affixe 2ei? , ? ?]? pi ; pi[.

  • triangle kml

  • point quelconque du plan

  • ??? or?

  • ?1 ≈

  • vecteur ???

  • affixe du vecteur ???

  • image de c1

  • points commun


Informations

Publié par
Publié le 01 juin 2005
Nombre de lectures 48
Langue Français

Extrait

[Corrigé du baccalauréat S Antilles–Guyane\ juin 2005
EX E R C IC Epoints1 5 Candidats n’ayant pas suivi l’enseignement de spécialité 1π ′ −iπ′ −iπi 1. a.L’affixe deEestπ. Mais1=Donce .Ea pour affixe e×e= 3 i e 3 2π i e . 3 p µ ¶µ ¶ 2π1 2π3 On sait que cos− =et sin− =,donc l’affixe deEsous 3 23 2 1 3 forme algébrique est− −i . 2 2 iθb.C1est l’ensemble des pointsM,d’affixe eθ]π;π[. L’imageMde 1 iθMparFa pour affixe= −e .Le pointMest donc le symétrique de iθ e Mautour de O. Conclusion : l’image deC1est le cercleC1. 1 1 5π iiπ 6 2. a.L’affixe deKest= −Comme cidessuse .1=e ,donc 5π 62 i 2e 1π ′ −i l’affixe deKest e. 6 2 iθ b.K appartient àC2qui est l’ensemble des pointsM,d’affixe 2eθ]1 1 iθ π;π[. L’imageMdeMparFsoita pour affixeLe pointe . iθ 2e 2 Mest donc comme l’image deMdans l’homothétie de centre O et de 1 rapport. Conclusion : l’image deC2est le cercle de centre O et de 4 1 rayon . 2 1z1 3. a.On az+1= +1=. z z iθ 1+e1 iθiθ Ceci entraîne que|r+1| =. Or 1+e=1+e , ¯iθ¯ 1+e iθiθ e|e|11 |r+1| == = =. ¯ ¯ ¯iθ¯iθiθiθ 1+e|1+e| |1+e|1+e 1 D’après la définition deFl’affixe de l’image du point d’affixe, est iθ 1+e iθ′ ′ 1+e .Conclusion :|r+1| = |r|. ′ ′′ ′ b.r+1 est l’affixe du vecteur BRetrcelle du vecteur OR. La relation ′ ′′ ′ |r+1| = |r|établie ena.signifie que°BR°=°OR°donc que l’image ′ ′ RdeRest équidistante des points d’affixes1 et 0 :Rappartient par conséquent à la médiatrice de [OB].
EX E R C IC E1 Candidats ayant suivi l’enseignement de spécialité
5 points
1 2 3 1. a.77 (9)774 (9)1 (9). 4 5 Donc 777 (9)4 (9) ... n n Donc sin1 (3) alors 77 (9), sin2 (3) alors 74 (9) et sin0 (3) n alors 71 (9).
Baccalauréat S
2005 2005 b.20057 (9) donc (2005)7 (9). 2005 2005 Or 20051 (3) donc 77 (9) donc (2005)7 (9). 2. a.Démontrons par récurrence que pour tout entier naturel non nuln: n (10)1 (9). 1 Sin=1, alors 101 (9). p Supposons que pour un certain entierpnon nul, (10)1 (9). Alors p p+1 (10)×1010 (9) donc (10)1 (9). La propriété est vraie pourn=1, elle est héréditaire, donc elle est vraie pour tout entiernnon nul. b.Soitan;an1; . . . ;a1;a0les chiffres de l’entier naturelNécrit en base dix, avecN=anan1. . .a1a0. n n1 N=an×10+an1×10+ ∙ ∙ ∙ +a1×10+a0. doncNan×1+an1×1+∙ ∙ ∙ +a1×1+a0an+an1+∙ ∙ ∙+a1+a0S(9). c.Nest divisible par 9N0 (9)S0 (9)Sest divisible par 9. 3. a.D’après la question 2 (b),AB(9),BC(9),CD(9). Par transitivité de la relation d’équivalence,AD(9). 2005 2005 4×8 0202 005 b.2005<10 000 donc 2005<donc10 000A<10 soitA<10 . Ceci prouve que queAs’écrit en numération décimale avec au plus 8 020 chiffres. Si chacun des chiffres deAétait 9,Bvaudrait 9×8 020=72 180.Donc B672 180. c.CommeB672 180,alorsBs’écrit en numération décimale avec au plus 5 chiffres. Si chacun des chiffres deBétait 9,Cvaudrait 9×5=45. DoncC645. d.Parmis tous les entiers inférieurs ou égaux à 45, celui qui a la plus grande somme de ses chiffres est 39. DoncD612. e.CommeAD(9) d’après la question 3 (a) etA7 (9) d’après la question 1. b., alorsD7 (9). Comme 0<D612, alorsD=7.
EX E R C IC E2 Commun à tous les candidats
6 points
1 1.Pour toutndeNet pour toutx1] on ade [0;x+n[n;n+1]. Doncx+n · ¸ 1 1 ; . n+1n Z µ1h i 1 1n+1 2. a.dx=ln(x+n)=ln(1+n)lnn=ln . 0 0x+n n b.D’après1. Z Z Z 1 1 1 1 11 dx6dx6dx. 0n+10x+n0n Z Z 1 1 1 11 1 Or dx=et dx=. Soit, d’aprèsa., 0n+1n+10n n µ ¶ 1n+1 1 6ln6ln . n+1n n
1 1 3.U(n+1)U(n)= +lnnln(n+1)= −[ln(n+1)lnn]. n+1n+1 µ ¶ 1n+1 SoitU(n+1)U(n)= −ln . n+1n On en déduit d’après2. b.queU(n+1)U(n)60 : la suiteUest décroissante.
Antilles–Guyane
2
juin 2005
Baccalauréat S
1 1 4.V(n+1)V(n)= +ln(n+1)ln(n+2)= −[ln(n+2)ln(n+1)]. n+1n+1 µ ¶ 1n+2 SoitV(n+1)V(n)= −ln . n+1n+1 µ ¶ n+2 1 Or il résulte de2. b.en remplaçantnparn+1 que ln6. n+1n+1 DoncV(n+1)V(n)>0 : la suiteVest croissante. µ ¶ n+1 5.U(n)V(n)=ln(n+1)lnn=ln . n µ ¶ n+1n+1 Mais lim=lim ln1 donc=0. Par suitelim (U(n)V(n))= n→+∞n→+∞n→+∞ n n 0. Les suitesUetVsont respectivement décroissante et croissante et lim (U(n)V(n))=0 : elles sont donc adjacentes, par conséquent elles convergent n→+∞ et ont la même limiteγ. µ ¶ n+1 22 |U(n)V(n)|6et seulement si ln10 si6soit si et seulement10 , n n+1 0,01 si6e . n n+11 1 2 0,01 Or=1+. Donc|U(n)V(n)|610 ssi6e1 et par suite si et n nn 1 seulement sin>. 0,01 e1 1 La calculatrice donne99, 5008.... 0,01 e1 2 En prenantn>100 on est sûr que|U(n)V(n)|610 . La calculatrice donneU100et0, 582V100De l’encadrement :0, 573.
on en déduit que
EX E R C IC E3 Commun à tous les candidats
1. b 2. c 3. c 4. c 5. b 6. a
0, 5726γ60, 583
2 γ=0, 58prèsà 10
3 points
EX E R C IC E4 6points Commun à tous les candidats A.] SoitMun point quelconque du plan médiateur de [KL]. I est milieu du segment [KL] donc(MI) est médiane relative au côté [KL] dans le tri angle KML. La droite (MI), droite du plan perpendiculaire à la droite (KL) en I est donc perpen diculaire à (KL). Donc (MI) est médiatrice du côté [KL] du triangle KML. Dans le triangle KML, (MI) est médiane et médiatrice : ce triangle est donc isocèle de sommetM. Par suiteMK =ML. Le plan médiateur de [KL] apparaît donc bien comme l’ensemble des points de l’es pace équidistants de K et L. Autre méthode 2 22 2 MK=ML⇐⇒MK=ML⇐⇒MKML=0⇐⇒ ³ ´³ ´ MK+MLMKML=0⇐⇒2MILK=0.
Antilles–Guyane
3
juin 2005
Baccalauréat S
DoncMest équidistant de K et de L si et seulement si les vecteursMI etLK sont orthogonaux, c’estàdire siMappartient au plan médiateur de [KL].
B. 1.Soit I le milieu de [AB]. Le pointMappartient au plan médiateur de [AB] si et seulement si IMAB . µ ¶ 1Comme I3 ;1 ;, AB(5) et M(2 ; 2 ;x;y;z), une équation cartésienne 2 µ ¶ 1 du plan médiateur de [AB] est donc :2(x3)+2(y1)+5z+ =0⇐⇒ 2 13 2x+2y+5z+ =0⇐⇒4x4y10z13=0. 2 2.Les coordonnées du point commun aux trois plans doivent constituer l’unique solution du système : 4x4y10z13=0 (1) (S) 2x10y6z7=0 (2) 3x3y+2z5=0 (3) On ajoute à l’équation (1) multipliée par 3 l’équation (3) multipliée par4, pour obtenir : 1 12x12y30z3912x+12y8z+20=0⇐⇒ −19=38z⇐⇒z= −. 2 En remplaçantzpar cette valeur dans les équations (1) et (2), on obtient le système 2×2 suivant ( ( 4x4y=8xy=2 ⇐⇒ 2x10y=4x5y=2 qui donne aussitôty=0 par différence, puisx=2. µ ¶ 1 Conclusion : les coordonnées de E sont :2 ;0 ;. 2 3.D’après la partie A : – EA= EB puisque E appartient au plan médiateur de [AB] ; – EB= EC puisque E appartient au plan médiateur de [BC] ; – EC= ED puisque E appartient au plan médiateur de [CD] ; Donc EA = EB = EC = ED. Les points A, B, C et D appartiennent à une même sphère de centre E. µ ¶ −→415 25 2 Or EA2 ;0 ;, donc EA=4+ =. 2 44 41 Le rayon de la sphère est donc égal à. 2
Antilles–Guyane
4
juin 2005
  • Univers Univers
  • Ebooks Ebooks
  • Livres audio Livres audio
  • Presse Presse
  • Podcasts Podcasts
  • BD BD
  • Documents Documents