J’aime assez l’idée d’être celle de l’ombre, celle que l’on ne voit jamais ou très rarement. Vous pourriez y voir un manque d’ambition ou une fuite à préférer l’obscurité à la lumière. Cependant, mes nuits ne sont pas tout à fait blanches et mes jours ne sont pas tout à fait noirs. A un « je » de couleurs, je préfère celle de cette noirceur charbonneuse qui parfume ma vie, qui encense mes sens et donnede l’éclat à mes désirs, à mes envies.
Au cœuroù la lueurmoi »la pénombre de mon « de s’éveille, le calme et la sérénité se diluent dans un silence mystérieux,par la porte entre-ouverte.
Là, tous les «possibles» s’y conjuguent aupassé, au présent, au futur.