II. Fonctionnement du système international de contrôle des drogues
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II. Fonctionnement du système international de contrôle des drogues

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E/INCB/2000/1II.Fonctionnement du système international de contrôle des droguesA.État des adhésions aux traitésConvention de 1971 sur les substancesinternationaux relatifs au contrôle despsychotropesdrogues54.À la date du 1er novembre 2000, 164 États étaientparties à la Convention de 1971. Depuis la publication duConvention unique sur les stupéfiants de 1961rapport de l’Organe pour 1999, les Comores, l’Iran50.À la date du 1er novembre 2000, les États parties à la(République islamique d’), le Kenya, le Liechtenstein et laConvention unique sur les stupéfiants de 1961, ou à cetteMongolie sont devenus parties à la Convention de 1971.convention telle que modifiée par le Protocole de 1972,2455.Sur les 27 États qui ne sont pas encore parties à laétaient au nombre de 172, dont 161 étaient parties à laConvention de 1971, 8 se trouvent en Afrique, 5 dans lesConvention sous sa forme modifiée. Depuis la publicationro et 6 en Océanie.du rapport de l’Organe pour 19992,5 les Comores, laCAemrtéariinqsu eds,’ e5n terne  eAusxi,e , à3  saevn oiEr ul’pAendorre, le Belize, leGéorgie, les Maldives et Saint-Marin sont devenus partiesBhoutan, Haïti, le Honduras, le Népal, la République-Unieà la Convention de 1961 telle que modifiée par lede Tanzanie, Sainte-Lucie et Saint-Vincent-et-lesProtocole de 1972, et le Liechtenstein et le Pakistan sontGrenadines, sont déjà parties à la Convention de 1988.devenus parties au Protocole de 1972.Leurs gouvernements respectifs devraient tenir compte du51.Sur les 19 États qui ne sont pas encore parties à lafdai t 19q8u8e  plaas sreé apliasr atli’oan ppdleisc atoibojne cdtiefss  ddisep olas itiCoonns veetn tdieo nlaConvention de 1961, ou à cette convention telle queCeonvention de 1961 et de la Convention de 1971modifiée par le Protocole de 1972, 6 se trouvent en.Afrique, 3 dans les Amériques, 3 en Asie, 2 en Europe etsL’’ilOsr gnae nle’ doentm paansd ed éujnà ef afiot,i sd e’nacpoprlei qauuexr  lÉetsa tds iscpoonsciteironnés,d5 en Océanie. Avec l’adhésion, récemment, de la Géorgies eà la Convention de 1961 telle que modifiée par lela Convention de 1971 et de devenir parties à laProtocole de 1972, tous les États membres de laConvention dans les meilleurs délais.Communauté d’États indépendants (CEI) sont désormaisConvention des Nations Unies contre le traficparties à la Convention de 1961.illicite de stupéfiants et de substances52.Le Belize, le Bhoutan, le Guyana et Saint-Vincent-psychotropes de 1988et-les Grenadines ne sont pas encore parties à la56.Depuis la publication du rapport de l’Organe pourConvention de 1961, bien qu’ils soient devenus parties au1999, les Cres, l’Estonie, les Maldives et Saint-Marintraité international relatif au contrôle des drogues le plusomorécent, à savoir la Convention des Nations Unies contre leo1enrt  naodvehémrbé reà  2l0a 00C, on1v5e7n tÉitoant s daeu  1t9o8ta8l.,  sÀo ilt a 8d3at%e  ddeutrafic illicite de stupéfiants et de substances psychotropes de 1988.26 L’Organe espère que ces États adhérerontl’ensemble des pays du monde, et la Communautébientôt à la Convention de 1961, afin qu’ainsi leseuropéenne28 étaient parties à la Convention de 1988.dispositions des traités internationaux relatifs au contrôle57.L’Organe se félicite de ce qu’un nombre croissantdes drogues puissent être appliquées intégralement.d’États aient entrepris de mettre en place les mécanismes53.D’autres États, à savoir l’Afghanistan, l’Algérie, lenCéocnevsesnatiiroens  deà  1l98’8a petp ldic’aatidohné redr eàs  cedt iisnpsotrsiutimoennst . Sduer  lelasBélarus, l’Iran (République islamique d’), le Maroc, le34 États qui ne sont pas encore parties à la CotiMyanmar, le Nicaragua, la République démocratiquenvenonpopulaire lao, le Tchad, la Turquie et l’Ukraine, sontedte  1109 e8n8 , O1c3é saen iter.o uLv’eOntr gean nAe fdrieqmuaen, d7  edne  Ansoiue,v e4a eu nà  Etouruos pleesparties à la Convention de 1961, mais pas au Protocoleede 1972. L’Organe prie instamment tous les ÉtatsÉtats qui ne l’ont pas encore fait d’adopter, à titreconcernés d’examiner de près cette question et de prendrepà rliao riCtoainrve,e tnotiuotne sd lee s1 9m8e8s udraesn sn léecse smsaeiirleles uerns  vduéle adis’.adhérerrapidement des mesures pour adhérer au Protocolede  1972 portant amendement de la Convention58.L’Organe constate avec préoccupation quede 196127ou pour le ratifier sans plus tarder.l’application territoriale de la Convention de 1988 n’a pas12
E/INCB/2000/1été encore étendue à certains territoires nonComores, Gabon, Gambie, Libéria et Somalie. L’Organemétropolitains. Il invite tous les gouvernementsest préoccupé par le fait que la plupart des États n’ont pasmétropolitains qui ne l’ont pas encore fait à étendreété en mesure de communiquer les données pertinentesl’application territoriale de la Convention de 1988, le casdans les délais fixés, ce qui ne lui a pas permis d’analyseréchéant, à leurs territoires non métropolitains. De même,à temps ces données et d’intervenir à temps, si nécessaire.l’Organe encourage les gouvernements des territoires nonL’Organe demande instamment aux États concernés demétropolitains à arrêter toutes les mesures pratiquesprendre les mesures voulues pour s’acquitter à temps desnécessaires à la mise en œuvre des dispositions deobligations qui leur incombent en la matière.l’article 12 de cette convention.62.Le mouvement des stupéfiants, d’un pays à l’tre ouauà l’intérieur d’un même pays, est suivi en permanence deB.Coopération avec les gouvernementsmanière à pouvoir détecter toute défaillance éventuelle desmécanismes de contrôle et, en particulier, toutRapports à l’Organedétournement des circuits licites vers les circuits illicites.L’Organe est préoccupé par le fait que de nombreuxRapports sur les stupéfiants et les substancesgouvernements, qui avaient été contactés parce que leurspsychotropesrapports laissaient apparaître des disparités et des écarts,n’ont fourni aucune explication. Il demande instamment59.Dans l’exercice des fonctions qui lui incombent ens de se eher vertu des Conventions de 1961 et de 1971, l’Organesaiutux atgioonu vdearnnse lmeeunrtss  pcayosn rceesrpneéctifs, etenp pnacrticulsieurr  scuer tltee maintient un dialogue permanent avec les gouvernements.orts suivLes données statistiques et les autres informations qu’ilséytastbèlimese,  dd’e émtaabnliièsrsee mà ecnet  qduees  troauptpes les doni npéaers  lreesq fuiirsmesesreçoit de ceux-ci lui servent à procéder à des analyses deen vertu de la Convention de 1961 puissent êtrela fabrication et du commerce licites des stupéfiants et desrassemblées en vue de renforcer le système de contrôle dessubstances psychotropes dans le monde et à déterminerdroueainsi si les gouvernements respectent scrupuleusement lesgs.dispositions des conventions leur faisant obligation de63.Au 1er novembre 2000, 156 États et territoires aulimiter aux seules fins médicales et scientifiques latotal, soit 75 % des 209 États et territoires concernés,fabrication, le commerce, la distribution et l’utilisationavaient communiqué à l’Organe des rapports statistiqueslicites de ces substances.annuels sur les substances psychotropes pour 1999,conformément aux dispositions de l’article 16 de la6C0o.nveCntoinofno rmdée me1n9t 6a1u,x  d1is7p6o sÉittaitosn s edte lt’earrritticolier e2s 0 doen tlaConvention de 1971. Le nombre total des rapports reçuscommuniqué des statistiques commercia les tistriellespour 1999 est légèrement supérieur à celui des rapportsrmereçus pour 1998 à la même époque. On compte quepdoounrn é1e9s9 9p,a rmtiaeilsl e4s6.  dE’n eonutrter ee, u3x3  nɒtoatnst  ecto tmermriutnoiiqreusé  nqu’eo dntescertains États présenteront leurs rapports statistiquesannuels ultérieurement. Ces dernières années, le nombrefSo’uirln ie astu cvuranie  qduoen nléese  sitnaftoisrtmiqautieo cnosmmermciualie qpuoéuers  1p9a9r 9.ledes États et territoires ayant soumis des rapportsBhoutan, le Cameroun, le Rwanda, l a cSoiemrra Lneone, Tuvalustatistiques annuels à l’Organe s’élevait à enviro1n 70.et Vanuatu ces deux dernières années sont plus complètes,64.S’il est vrai que la majorité des États parties et nonen revanche la Bosnie-Herzégovine, le Libéria et laparties aux Conventions de 1961 et de 1971 ontSomalie n’ont soumis aucun rapport depuis cinq ans.régulièrement présenté des rapports annuels, lacoopération de certains laisse à désirer. Le nombre d’États6av1.aienAt uc o1mer munnoivqeumé bdrees  s2t0at0is0t,i q1u3e4s  aÉntnautesl leest  ptoeurrri t1o9i9re9s,qui n’ont pas communiqué leurs statistiques régulièrementdont 59 seulement en temps voulu. CiÉtats n’ont fournia été très élevé en Afrique et en Océanie. Ces dernièresdes statistiques annuelles que sur lesn qs aisies. Malgré lesannées, plus d’un tiers des États de ces régions n’ont pasrappel qui leur ont été envoyés, 75 États et territoiresprésenté de rapports statistiques annuels. L’Organe,sagissant en étroite coopération avec le Programme desn’ont fourni aucune statistique pour 1999. Les ÉtatsNations Unies pour le contrôle international des droguestsuoiivsa natsn sn: ’oAnftg phaasn ifsotuarnn, i dBee slitzatei,s tiqBuoessn iaen-nHueerlzléegs odveipnuei,s(PNUCID), s’est efforcé de leur fournir une assistance. Ilrconstate avec satisfaction que certains États d’Afrique,13
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