LES PORTES DE LA GRÂCE - TOME 2

GS BLÉKA

Description

Les luttes identitaires sont, depuis la conscience de l’existence humaine, la source de tous les maux. Le monde spirituel n’en échappe pas. C’est même à ce niveau que les combats sont gagnés ou perdus d’avance. Pour nous, croyants des impacts directs des influences surnaturelles, il n’y a que la grâce du Dieu créateur qui nous satisfasse à tout point de vue. Cette poésie est l’expression de la vision claire et bienfaisante d’une femme de foi, qui croit que l’amour est l’accomplissement de la loi divine. Oui l’amour divin est la principale clé. Chaque poème transpire l’authenticité de son auteure. Avec joie et humour, mais quelque fois les oracles peuvent être tranchants. Toutefois, tout dépend de chacun. Avez-vous les clés de vos portes ? Nous, nous avons les clés !

Sujets

• Religion
• FOI

Informations

• Publié par: Les Editions Clés de Silas
• Date de parution: 13 juin 2023
• Nombre de lectures: 2
• EAN13: 9782493889126
• Langue: Français
• Poids de l'ouvrage: 1 Mo

Extrait

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L es portes de la Grâce- 2

Bléka G.S.

Les portes de la Grâce Tome 2 Poésie

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© Les Éditions Clé de Silas, 2022 ISBN : 978-2-493889-12-6

LE COUCHER DU SOLEIL MONDAIN

Références bibliques ; Jérémie chap. 3 verset 19 A 22 - P saumes chap. 143 verset 6 ; Se plaire aux prostitutions, se délecter de faire mal, voilà ce qu’est l’iniquité. Dieu abhorre l’iniquité. Que les prestations du péché cessent dans nos vies, que l’étalage de la mécréance prenne fin. Tout bien pesé, que notre âme soupire après Dieu, qu’elle ait soif de lui, qu’elle soupire et languisse après les parvis de l’éternel.Ainsi notre cœur et notre chair pousseront des appels vers le Dieu vivant ! Levons nos mains vers le ciel pour toutes nos terres desséchées . Soupirons !

O uf ! Enfin le soleil se couche Ses derniers rayons éphémères Projettent une lueur fade, que mouche ! C’en est fait des plaisirs amers.

Aussi, l’azur enceinte laisse-t-il éclore, Au beau matin de printemps, Un nouveau soleil plus précieux que l’or, L’or pur d’Éden, ma Terre d’antan.

Aux saintes extases de l’amour céleste, Baisers, oh différents, du jour anticipé,

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