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Les paupières des fleurs
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L'expiation (VII)
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Les Têtes du sérail
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Le soutien des empires
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Lettre - J'ai mal dormi
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Le spectre que parfois je rencontre riait
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Lettre (I)
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L'expiation (I)
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L'exilé satisfait
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Le voile
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Le Te Deum du 1er janvier 1852
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Le vieil esprit de nuit
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L'espace est noir
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Le soir calme et profond
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L'été à Coutances
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Lettre
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Le cheval
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L'église (I)
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Les bleuets
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Les autres en tout sens
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Les étoiles filantes (II)
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Le sacre
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Les Grands Corps de l'État
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Les évangélistes
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Les bonzes
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Les bonnes intentions de Rosa
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Les commissions mixtes
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Le progrès calme et fort, et toujours innocent
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Les étoiles filantes
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Les étoiles filantes (III)
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Le nid
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Le rétablissement de la statue de Henri IV
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Le revenant
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Le poète au calife
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L'Empereur s'amuse
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L'église (III)
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Le Danube en colère
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L'église (IV)
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Le grand siècle
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Le parti du crime
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Le Derviche
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Le Mausolée est beau
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Le feu du ciel
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Le Mont-aux-pendus (Jersey)
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L'épanouissement
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L'enfant, voyant l'aïeule
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Le maître d'études
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Le plus haut attentat que puisse faire un homme
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L'enfant avril est le frère
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L'église (II)
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Le lendemain
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Le monde et le siècle
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L'enfant (Hugo)
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Le chêne du parc détruit (VIII)
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Le grand homme vaincu
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L'égout de Rome
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Le baptême du duc de Bordeaux
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Le bout de l'oreille
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Le chêne du parc détruit (II)
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La prière pour tous (IX)
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La prière pour tous (VIII)
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La prière pour tous (III)
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Le chêne du parc détruit (VII)
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La société est sauvée
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La statue (II)
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La prière pour tous (V)
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L'avenir
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Le chasseur noir
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Le chêne du parc détruit (IV)
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La satire à présent, chant où se mêle un cri
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Le chêne du parc détruit (V)
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Le chêne du parc détruit (VI)
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Le chêne du parc détruit (III)
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La prière pour tous (VII)
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Le chant de ceux qui s'en vont sur mer
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Le bord de la mer
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La prière pour tous (VI)
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Le château-fort
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La prière pour tous (II)
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Le calife a puni les gens de la montagne
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Le chêne du parc détruit
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La prière pour tous (X)
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L'autre président
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La prière pour tous (IV)
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La reculade
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Le 7 août 1829
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L'ascension humaine
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La prière pour tous
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La femme
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La peau de tigre
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Laissez. Tous ces enfants sont bien là
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La pauvre fleur
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La bataille commença
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La chouette
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La face de la bête est terrible
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La clarté du dehors
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La bataille perdue
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La mort du duc de Berry
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La nuit
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La caravane
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La naissance du duc de Bordeaux
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Je lisais. Que lisais-je ?
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Interruption à une lecture de Platon
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Invocation du mage contre les deux rois
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J'ai vu pendant trois jours de haine
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Jeanne chante
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J'eus toujours de l'amour pour les choses ailées
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Inscription
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Jeune fille, la grâce emplit tes dix-sept ans
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Intérieur
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Je me fais paysan comme eux
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Insomnie
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Jeanne endormie (II)
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Je ne demande pas autre chose aux forêts
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Joyeuse vie
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Il n'avait pas vingt ans
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Grenade
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Il lui disait : Vois-tu..
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Hier, la nuit d'été
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Idylles
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Hugo Dundas
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Heureux l'homme
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Il est des jours abjects où, séduits par la joie
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Hilaritas
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Inde Irae
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Idolâtries et Philosophies
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Grand âge et bas âge mêlés
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Hymne des transportés
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Fuyez au mont inabordable
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Fable ou histoire
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Fiat voluntas
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Fuis l'éden des anges déchus
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Force des choses
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Gare !
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Genio libri
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Floréal
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Et les voilà mentant, inventant, misérables
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Fantômes
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Espoir en dieu
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Fêtes de village en plein air
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Fonction du poète (I)
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Ère des Césars
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Épitaphe
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Fonction du poète (II)
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Écrit sur la plinthe d'un bas-relief antique
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En écoutant les oiseaux
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Elle prend un miroir
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En plein midi
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En sortant du collège (I)
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En sortant du collège (II)
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Envoi des feuilles d'automne à madame ***
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En passant dans la place Louis XV
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Elle passa, je crois qu'elle m'avait souri
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Encore Dieu, mais avec des restrictions
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Églogue
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Elle est gaie et pensive
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Égalité
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Écrit le 17 juillet 1851
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Écrit sur la première page d'un livre de Joseph de Maistre
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Écrit sur la première page d'un Pétrarque
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Écrit sur un livre du jeune Michel Ney
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Écrit sur le tombeau d'un petit enfant au bord de la mer
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Écrit au bas d'un portrait de Madame la Duchesse d'Orléans
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Écrit sur un exemplaire de la « Divina Commedia »
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Écrit sur le mur de Versailles
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Dieu qui sourit et qui donne
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Éclipse
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Éblouissements
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Dizain de femmes
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Déjà nommé
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Dieu
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Du songe universel
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Dénonciation de l'esprit des bois
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Duel en juin
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Dédain
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De la femme au ciel
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Dans le cimetière de ***
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David, le marbre est saint
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Célébration du 14 juillet dans la forêt
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Choses écrites à Créteil
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Comédie dans les feuilles
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C'est l'hiver
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C'est à coups de canon
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Dans les ruines d'une abbaye
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Contempler dans son bain sans voiles
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Comme leurs yeux troublés
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Confiance
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Dans l'église de ***
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Conseil
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Confrontations
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Dans cette ville où rien ne rit
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Carte d'Europe
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Baraques de la foire
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C'est la nuit ; la nuit noire
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Bounaberdi
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Bourgeois parlant de Jésus-Christ
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Bas à l'oreille du lecteur
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Chose vue un jour de printemps
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Cette nuit-là
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Chanson (Les châtiments, I)
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Chelles
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Chanson
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Ayant vu le massacre immense
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Batailles
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Ce que le poète se disait en 1848
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Chanson (Les châtiments, II)
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Chanson (Les châtiments, IV)
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Chanson (Les châtiments, III)
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C'était en juin, j'étais à Bruxelles
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Chanson (Les châtiments, V)
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C'est parce qu'elle se taisait
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Cette nuit, il pleuvait, la marée était haute
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C'est une émotion étrange
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Chacun choisit un homme
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Certes, une telle mort, ignorée ou connue
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Ce serait une erreur de croire que ces choses
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Cent mille hommes
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Buonaparte
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C'est bien ; puisqu'au sénat, puisqu'à la pourriture
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Cæruleum mare
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Billet du matin
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Au peuple (II)
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Au statuaire David
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Aux prêtres
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Aux femmes
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À un riche
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À un voyageur
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À un visiteur parisien
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Avant que mes chansons aimées
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À un martyr
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À un qui veut se détacher
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Au roi Louis-Philippe
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À un écrivain
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À une jeune femme
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À un homme fini
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À un ami
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Au moment de rentrer en France
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Après l'hiver (I)
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À propos de la loi Faider
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Approchez-vous. Ceci, c'est le tas des dévots
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À M. David, statuaire
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À M. de Lamartine
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À Rosita
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Aube
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Amour
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À quatre prisonniers
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Apothéose
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Anima vilis
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À quoi je songe
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Après avoir souffert
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Applaudissement
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Apportez vos chaudrons, sorcières de Shakespeare
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À monsieur Fontaney
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À Madame Marie M
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Anacréon, poète
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À l'obéissance passive (VIII)
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À mademoiselle J
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Ami Z
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À l'obéissance passive (VII)
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À Louis B
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Ami, j'ai quitté vos fêtes
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À l'obéissance passive (VI)
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À mes amis L. B. et S.-B
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À mes amis S.-B. et L.B
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À M. le D. De ***
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À Alphonse Rabbe
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Ad majorem dei gloriam
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À l'obéissance passive (I)
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À l'homme qui a livré une femme
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À G... Y
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À l'obéissance passive (III)
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À Jeanne (I)
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À Juvénal
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À l'obéissance passive (IV)
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À l'obéissance passive (V)
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À l'obéissance passive (II)
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À dos d'éléphant
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À. L
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À Laure, duchesse d'A
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À Canaris
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À des journalistes de robe courte
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Les trois amoureux
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À ****
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À la Vendée
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À cette terre, où l'on ploie
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Ainsi les plus abjects, les plus vils
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Dieu
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À Georges
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À ceux qui dorment
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Ah ! vous voulez la lune
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À ***, trappiste à La Meilleraye
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À Albert Dürer
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À ceux qui font de petites fautes
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Le chemin de la vie
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Saules pleureurs
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Aux poètes
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Soupir
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L'échelle de soie
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De la terre au ciel
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La fontaine
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Ceux qui aiment toujours
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L'aumône
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Le premier givre
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Aline
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Ceux qui n'aiment plus
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Je retrouve là-bas le taureau qui rumine
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N'avez-vous pas vu, drapée en chlamyde
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Adieu aux bois
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Complaincte d'une Dame surprinse nouvellement d'amour
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D'un renard et d'un bouc
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Le variable discours de la vie humaine (fragment)
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La parfaite amie
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Adieu à Paris
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Vers adressés à Diane de Poitiers
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Sonnets spirituels (IX)
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Charme-du-jour
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Sérénade printanière
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Stances chrétiennes
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M'amie à soi non aux autres ressemble
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Cantique XI
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Cache-toi, beau Soleil...
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À Trianon
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Cantique XXX
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Derniers propos d'un jeune homme
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Cantique LII
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C'est un oiseau du bois sauvage
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Épitaphe de Marguerite de Navarre
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Coeur prisonnier, je vous le disais bien
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D'un corbeau et d'un renard
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Que des sombres Enfers les tremblantes horreurs
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Le pourtraict
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Ah ! que je suis fâché ! maudit soit le réveil
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Chinoiserie
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Sisyphe malheureux, Ixion et Tantale
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Sur la sombre minuit qu'une liqueur miellée
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Viens, ma belle Florelle, où l'ombre noir tremblote
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J'ai cette nuit goûté les plus douces douceurs
-
Dieu ! que je suis heureux quand je baise à loisir
-
Je te dois bien aimer, ô déesse Inconstance
-
Je suis si transporté d'aise et d'étonnement
-
Souvent, le front posé sur tes genoux...
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Quelle horreur, quel effroi, quel brouillard, quelle nuit
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Mon dieu ! que de plaisir il y a de songer !
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Tu sommeilles ; je vois tes yeux sourire encor
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J'avais longtemps erré par les sombres déserts
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L'on ne voit rien que feux, l'air est tout enflammé
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Quand le clair Apollon tire son char des eaux
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Du coq et du renard
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Sois pure comme la rosée
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Vous qui sur mon front, toute en larmes
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Nuit fille de la terre, amène tes flambeaux
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Celui ne suis-je point, divine chasseresse
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Ton image en tous lieux peuple ma solitude
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Ton coeur est fatigué des voyages...
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Un soir, au temps du sombre équinoxe d'automne
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Ah ! ne me baisez plus, ah ! mon coeur, je me meurs
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Cheveux crêpes et longs où mon coeur se désire
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Une flûte au son pur...
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Ôtez la rouille et il se formera un vase très pur
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Amour m'a découvert une beauté si belle
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Cantique du mois de mai
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A l'ombre des myrtes verts
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A la merci des vents, des flots, et de l'orage
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Saison fidèle aux coeurs qu'importune la joie
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Tu rangeais en chantant pour le repas du soir
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Ô jeunesse, fervent et clair foyer d'amour
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Requiem d'automne
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Ne mêle pas l'esprit aux choses de la chair
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Pour couronner la blonde enfant aux yeux d'azur
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Ma fenêtre était large ouverte sur la nuit
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Parfois, sur les confins du sommeil qui s'achève
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Ô poète inquiet du monde
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Ma douce enfant, ma pauvre enfant...
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Le tiède après-midi paisible de septembre
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Le vent est doux comme une main de femme
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Qu'on ouvre la fenêtre au large...
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Ce soir je reprendrai mon chemin solitaire
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Mélodie païenne
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Conseils au solitaire
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Il a plu. Soir de juin. Ecoute
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La chanson de la bien-aimée
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Le soir léger, avec sa brume claire et bleue
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Le lait des chats
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Je te vois anxieuse et belle de pâleur
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La pensée est une eau sans cesse jaillissante
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Le rosaire des cloches
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Je vais sur la pelouse humide de rosée
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La voix du soir
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La maison serait blanche et le jardin sonore
-
Le temps n'a point pâli ta souveraine image
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L'ambre, le seigle mûr, le miel plein de lumière
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J'ai croisé sur la route où je vais dans la vie
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La maison dort
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L'amour nous fait trembler comme un jeune feuillage
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Dernières paroles du poète
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Ce soir, sur le chemin sonore du coteau
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Il est si tard...
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Eté des vieilles joies
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J'écris ; entre mon rêve et toi la lampe chante
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Ah ! ce bruit affreux de la vie !
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Entrerai-je, ce soir, Seigneur, dans ta maison
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Ce soir après la pluie est doux...
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Encore un peu ta bouche en pleurs...
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J'étais couché dans l'ombre au seuil de la forêt
-
Epitaphe pour lui-même
-
Avant que mon désir douloureux soit comblé
-
Ce coeur plaintif, ce coeur d'automne
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Je t'apporte, buisson de roses funéraires
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Goûte, me dit le Soir de juin avec douceur
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Ah ! Seigneur, Dieu des coeurs robustes, répondez
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Blason de la noble ville et cité de Paris
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Cry du Prince des Sots
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De la vertu de Miséricorde
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Contre les taverniers qui brouillent les vins
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Description de la noble ville et cité d'Auxerre
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Plus je suis tourmenté...
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Chant royal
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Tout passe par leurs mains, rien ne se fait sans eux
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Hymne à la Vierge
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Villanesque
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Considérez que gens vindicatifs
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Sa flame est morte et la mienne a pris vie...
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Souffle dans moy, Seigneur ...
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Pensive suis, frappée d'ung subtil dart
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Le ris de ma maistresse est un Printemps de roses...
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L'automne suit l'Esté et la belle verdure ...
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Délivre-moi, Seigneur, de cette mer profonde
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L'esprit divin, dont l'immortelle essence
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Ce n'est plus moy que veult faire ...
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Ces beaux cheveux crêpés
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Fata libelli
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Ô mal non mal qui doucement m'oppresses !
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Sur la route de Charenton
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Prélude de l'Elkovan
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Lors que la brune nuict charge sa robbe noire
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Un jeune Icare englouti dans la mer
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Un peu devant le jour quand l'Aube bigarrée
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Qui contera le sable de la mer
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Sur la conversion de saint Paul
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Invitation
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Sur les miracles arrivés à la mort de Notre Seigneur
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Vous qui voulez savoir que c'est que de l'amour
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La ronde du remords
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Sur la résurrection de Notre Seigneur
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La puissance de l'amour
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Chanson (3)
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Chanson (1)
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Mièvre sonnet
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Voyez au vif le portrait d'un amant
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Sur les longues veilles
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Chanson (2)
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Voici le jour, voici l'heure venue
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Tu disais vrai, ô divin Pythagore
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Un peu devant que l'aube amenât la journée
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Tantôt pour vous trouver entrant en votre salle
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Ô somme doux, somme ami de nature
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Que j'aurais les esprits contents
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Ô jour heureux, heure, temps, et moment
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Muette Nuit qui de robe embrunie
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Mère des Dieux, brune chasse-lumière
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Le ciel est bien cruel de faire les uns naître
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Peintre excellent, dont le pinceau subtil
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Quand je vois ma Lucresselette
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Je voudrais être ainsi comme un Penthée
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Les champs enfarinés de neige éparpillée
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Noire poison, tu ne fais demeurance
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Le Soleil de l'Âme
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Les bohémiens
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Rondel
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Pantoum
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Feux déliens, ainsi qu'il, vous plaira
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En dormant cette nuit, je songeai que ma dame
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Hier après dîner, trois heures environ
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Je ne sais à quoi vous pensez
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Amour, si de tout temps tu m'as trouvé fidèle
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Je me répute heureux, pour avoir emporté
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Comme Flore tapissoit
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Circé
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L'Aigle
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Le retour
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La Terrasse Frontenac
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Epitaphe
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L'éternel fardeau
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La patrie
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Vive la Canadienne
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Feuille d'automne et jeune artiste
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Premier amour
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Les chercheurs d'or
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Patrie
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L'amant désespéré
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A Victor Hugo
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Fantaisie
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Sonnet
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Le dix-huitième siècle
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Aurore
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Ode imitée de plusieurs psaumes
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Hymne de guerre
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Les herseurs - sous la lune
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L'univers est un temple...
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La capitale
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Symbole
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La ville au loin...
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Le mauvais jardinier
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Le poète malheureux
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Nuit aux terrasses
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Lieu de lauriers
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Les yeux de l'aïeule
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En m'en venant au tard de nuit
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Les Néréides
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Symphonie en blanc majeur
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L'horloge
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L'obélisque de Luxor
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Vieux de la vieille
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Berceuse de l'après-midi
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L'éternelle chanson
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Sur le Carnaval de Venise I - Dans la rue
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Le roi solitaire
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Sur le Carnaval de Venise IV - Clair de lune sentimental
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Le souper des armures
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Soleil couchant
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Tristesse en mer
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Aux temps des dieux
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Dies irae
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Plaintive tourterelle
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Sur le Carnaval de Venise III - Carnaval
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Sérénade
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Une âme
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Les yeux bleus de la montagne
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Dire du mieux
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Sur le Carnaval de Venise II - Sur les lagunes
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Premier sourire du printemps
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Pluie
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Séguidille
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Rondalla
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Odelette anacréontique
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Perspective
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Me voilà revenu de ce voyage sombre
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Pendant la tempête
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L'Escurial
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Noël
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Lied
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L'obélisque de Paris
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Les colombes
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Ne me sois pas marâtre, ô nature chérie
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Le spectre de la rose
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Les joujoux de la morte
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Le pot de fleurs
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Le poète et la foule
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La source
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Le pin des Landes
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La petite fleur rose
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Le laurier du Generalife
-
Le merle
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Le château du Souvenir
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Le poëme de la femme
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La rose-thé
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L'aveugle
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La montre
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La spirale sans fin dans le vide s'enfonce
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Le monde est méchant
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L'art
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La mort est multiforme...
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Le chasseur
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La fleur qui fait le printemps
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La mansarde
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La nue
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La lune
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La caravane
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La fontaine du cimetière
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La fellah
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Lamento
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La chimère
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La bonne soirée
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Contralto
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Camélia et Pâquerette
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Fumée
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In deserto
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Consolation
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Dans la Sierra
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J'étais monté plus haut...
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J'ai laissé de mon sein de neige
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Carmen
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Fantaisies d'hiver
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Ce que disent les hirondelles
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En allant à la Chartreuse de Miraflorès
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Coquetterie posthume
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Étoiles, qui d'en haut voyez valser les mondes
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Caerulei oculi
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Bûchers et tombeaux
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A une robe rose
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A travers les soupirs, les plaintes et le râle
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Baiser rose, baiser bleu
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Albertus, XLIX
-
Albertus, XLIV
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Au bord de la mer
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Albertus, VII
-
Après le feuilleton
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Albertus, LXXII
-
Apollonie
-
Albertus, VIII
-
Me voilà revenu de ce voyage
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Les souhaits
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Moyen-âge
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Albertus, I
-
Albertus, II
-
Albertus, LX
-
Les accroche cœurs
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Albertus, IV
-
Ô nature chérie
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A deux beaux yeux
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Le marais
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Sur le Carnaval de Venise IV
-
Le Luxembourg
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Affinités secrètes
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Paysage
-
Sur le Carnaval de Venise II
-
Tes yeux si beaux
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Promenade nocturne
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La mort
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Sur le Carnaval de Venise I
-
Adieux à la poésie
-
Sur le Carnaval de Venise III
-
Albertus, CXI
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Le sentier
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Albertus, CXII
-
Les deux âges
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Méditation
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Albertus, CX
-
La spirale sans fin
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La Jeune Baigneuse
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Cauchemar
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Albertus (XLI)
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La jeune fille
-
Cher ange, vous êtes belle
-
Je l'aime d'amour profond
-
Diamant du cœur
-
Étoiles
-
J'ai dans mon cœur
-
Dernier vœu
-
La demoiselle
-
La nuit de Noël
-
Spencer wood
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Elégie sur la mort de Ronsard
-
A mes hirondelles
-
Les rêves du passé
-
Chanson Québec
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Le Voltigeur. Souvenir de Châteauguay (1831)
-
Tristesse
-
Septembre
-
Poète fol
-
Devant la grille du cimetière
-
Croquis
-
Novembre
-
Le Niagara
-
Noces de diamant
-
Le cap Trinité
-
Le Bois de la Roche
-
Le Montmorency
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Le lac de Beauport
-
Le Saguenay
-
Le rêve de la vie
-
Le Printemps
-
Les Mille-Iles
-
Longefont
-
Les "marches naturelles"
-
Minuit
-
La Nymphe de la fontaine
-
Le dernier drapeau blanc
-
Le rapide
-
Montebello
-
Le lac de Beloeil
-
Mars
-
Octobre
-
La forêt
-
Mai
-
Le cap Tourmenté
-
Août
-
Cinquième anniversaire de mariage
-
Février
-
Caughnawaga
-
A Pamphile Le May
-
A Miss Winnie Howels
-
Juillet
-
La forêt canadienne
-
A mon ami Alphonse Leduc
-
Janvier
-
A M. et Mme R. D...
-
A Mme Eliza Frank
-
Décembre
-
A M. de Siarit
-
Amitié
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Avril
-
A M. Louis Herbette
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Celle qui fut de beauté si louable
-
Triste penser, en prison trop obscure
-
Étant seulet auprès d'une fenêtre
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Plus j'ai de bien, plus ma douleur augmente
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Le refus
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Ô triste départir
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A Lucien
-
Les sapins
-
Les cerfs
-
Théra
-
Sur une signature de Marie Stuart
-
Malgré moi vis, et en vivant je meurs
-
Les arbres
-
Le chêne abandonné
-
La part de Madeleine
-
Le désir
-
La vision des ruines
-
Le mauvais ouvrier
-
A la lumière
-
Marine
-
Le captif
-
La mort d'une libellule
-
Vénus, étoile du soir
-
La mort
-
Les affinités
-
A Théophile Gautier
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Les choses de l'amour
-
L'autographe
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La perdrix
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Elle (1)
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Fatras
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De l'amour
-
La sagesse des griffons
-
De la richesse et de la pauvreté dans le mariage
-
A son ami
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Sur les présents
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A Hacques Pelletier, poète venu en Languedoc
-
La mort du singe
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Quelles obscuritez, quels importuns nuages
-
Elle (2)
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Elle a des yeux d'acier
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Dédicace
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Ce n'est pas sans raison, que l'homme on accompare
-
Sur la lyre tissant mes douces mélodies
-
Âmes obscures
-
Un pauvre honteux
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Terre de France
-
Chant sur la naissance de Jean, second fils de l'auteur
-
Voix éteinte
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De Oluire, médecin, et Cacus, ancien voleur
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Un en deux
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De Chéril
-
Elégie sur le trépas de René, cinquième enfant de l'auteur
-
De la vraie sagesse
-
Pourquoi, Seigneur, les hirondelles
-
Le Phenix ja chargé de chair, et de vieillesse
-
Les tombeaux
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Il estoit bien seant que ce corps veritable
-
Ô nuict, heureuse nuict, plus blanche que l'aurore
-
Il pleut, il pleut, bergère
-
Le laboureur soldat
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Soulagement
-
Au Collège
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Mais musique alors ...
-
Puis rue qui s'en va ...
-
Or qu'il soit de vivre ...
-
Les Cloches de la Basilique
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Mais odeur ici ...
-
Or Août qui apporte
-
Ma libellule
-
Berger d'abeilles
-
Savoir vieillir
-
Ma maison
-
Paris aux réverbères
-
Paysanne de guerre
-
Paroisse du vent ...
-
Or bleu disant l'août ...
-
Tour d'ivoire
-
L'oiseau
-
Le navire
-
Mais lors en son temps ...
-
Mais lors dans le vent ...
-
Le matin
-
Le déboire
-
Ici, c'est un vieil homme de cent ans
-
Le consul anglais
-
Horloge admirable
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La femme
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La vie
-
Et tout au fond du domaine loin
-
Étoile de la mer
-
Et maintenant nuit ...
-
Et voile à nul souffle bercée
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L'ange
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Et je m'en reviens de mer
-
Chanson
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De visitation
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Et c'est Lui, comme un matelot
-
A mon père
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Qu'il connaît qu'on feint de l'aimer
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Villanelle d'Amidor reprochant une légèreté
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Sonnet d'Alcippe
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A ma mère
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D'anciennement transposé (II)
-
A ma soeur Marie
-
D'anciennement transposé (I)
-
C'est ta rue Saint-Paul ...
-
Stances de l'absence
-
Ode
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Je voudrais bien être vent quelquefois
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J'ai passé maintes nuits à me plaire en ces larmes
-
Mes pleurs qui sur mon teint distillez si souvent
-
Ombres qui dans l'horreur de vos nuits éternelles
-
Dieux, que le songe fait de travaux ressentir
-
Laissez couler, mes yeux, laissez couler vos pleurs
-
Sonnet
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Stances à l'Inconstance
-
Chanson de l'inconstant Hylas
-
Stances sur des fleurs
-
Ô bois qui du soleil accusez l'impuissance
-
Pourquoi pour mon malheur eus-je l'oeil si léger
-
Voici des vers mourants et des plaintes de cygne
-
Geler dedans les feux, et brûler dans la glace
-
Les boeufs
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Heureuse solitude
-
Sur une ancienne estampe
-
Sur la première page de l'Imitation
-
Ode triomphale à la gloire des muses romanes
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Saint Sébastien
-
Sur la mort de Florian
-
Posthuma
-
Les feuilles tombent
-
L'élégie du sang des colombes
-
Ulysse au coeur ruiné
-
L'argent
-
La chanson d'un soir de tempête
-
La mort de don Quichotte
-
La galère
-
L'amour
-
Cette nuit...
-
Si quand il faut tirer le rideau de la vie
-
La nuit qui tombe et le train qui passe
-
L'Hellade
-
Traitres yeux mis au guet de ma haute eschauguette
-
Satire XI
-
Sans connaissance aucune en mon Printemps j'étais
-
Soit que par égale puissance
-
Sais-tu pourquoi de te voir j'eus envie
-
Si je n'ai pu comme voulois
-
Un seul je hais, qui deux me fait aimer
-
Si j'aime cil, que je devrais haïr
-
Parfaite amitié
-
Qui dira ma robe fourrée
-
L'une vous aime, et si ne peut savoir
-
Le grand désir du plaisir admirable
-
Le haut pouvoir des Astres a permis
-
Le Corps ravi, l'Âme s'en émerveille
-
Par ce dizain clairement je m'accuse
-
Pour une anatomie
-
Point ne se faut sur Amour excuser
-
Ô vraie amour, dont je suis prise
-
Mômerie des cinq postes d'Amour
-
Or qui en a, ou en veut avoir deux
-
Prenez le cas que, comme je suis vôtre
-
Quand vous voyez, que l'étincelle
-
Dames, s'il est permis
-
La fortune envieuse
-
Coq-à-l'âne
-
Je ne crois point ce que vous dites
-
Heureuse est la peine
-
Je suis tant bien que je ne le puis dire
-
Comme le corps ne permet point de voir
-
Je suis la Journée
-
Désespoir
-
C'est un grand mal se sentir offensé
-
La nuit était pour moi si très-obscure
-
Combien de fois ai-je en moi souhaité
-
Jà n'est besoin que plus je me soucie
-
Je te promis au soir que...
-
C'est une ardeur d'autant plus violente
-
J'ai été par un long temps déçue
-
Une louve je vis sous l'antre d'un rocher
-
A un sot rimeur, qui trop l'importunait d'aimer
-
Celle clarté mouvante sans ombrage
-
Tout le parfait dont le ciel nous honore
-
Tout ce qu'Egypte en pointe façonna
-
Tout effrayé de ce monstre nocturne
-
Tu t'abuses, Belleau, si pour être savant
-
Aucuns ont dit la Théorique
-
La Nuit des nuits
-
Vivons, Gordes, vivons, vivons, et pour le bruit
-
Le Miroir du Destin
-
À qui plus est un Amant obligé
-
Vu le soin ménager dont travaillé je suis
-
Voyant l'ambition, l'envie, et l'avarice
-
Tu ne crains la fureur de ma plume animée
-
Villanelle
-
Le Jour des jours
-
Tu ne me vois jamais, Pierre, que tu ne die
-
Un plus savant que moi, Paschal, ira songer
-
Veux-tu savoir, Duthier, quelle chose c'est Rome
-
Tu sois la bienvenue, ô bienheureuse trêve !
-
Toi qui de Rome émerveillé contemples
-
Tels que l'on vit jadis les enfants de la Terre
-
Tant que l'oiseau de Jupiter vola
-
Si tu ne sais, Morel, ce que je fais ici
-
Tu dis que Du Bellay tient réputation
-
Sur la croupe d'un mont je vis une fabrique
-
Si tu veux sûrement en cour te maintenir
-
Sur un chapelet de roses du Bembe
-
Telle que dans son char la Bérécynthienne
-
Sur la rive d'un fleuve une nymphe éplorée
-
Ô trois et quatre fois malheureuse la terre
-
Plus riche assez que ne se montrait celle
-
Quand je voudrai sonner de mon grand Avanson
-
Si tu m'en crois, Baïf, tu changeras Parnasse
-
Quel est celui qui veut faire croire de soi
-
Si par peine et sueur et par fidélité
-
Sire, celui qui est a formé toute essence
-
Si pour avoir passé sans crime sa jeunesse
-
Si mes écrits, Ronsard, sont semés de ton los
-
Si onques de pitié ton âme fut atteinte
-
Si nostre vie est moins qu'une journée...
-
Si les larmes servaient de remède au malheur
-
Si l'aveugle fureur, qui cause les batailles
-
Scève, je me trouvai comme le fils dAnchise
-
Ronsard, j'ai vu l'orgueil des colosses antiques
-
Si la vertu, qui est de nature immortelle
-
Si je monte au Palais, je n'y trouve qu'orgueil
-
Seigneur, je ne saurais regarder d'un bon oeil
-
Si la perte des tiens, si les pleurs de ta mère
-
Si fruits, raisins et blés, et autres telles choses
-
Sacrés coteaux, et vous saintes ruines
-
Si après quarante ans de fidèle service
-
Si celui qui s'apprête à faire un long voyage
-
Que dirons-nous, Melin, de cette cour romaine
-
Que ferai-je, Morel ? Dis-moi, si tu l'entends
-
Qui voudrait figurer la romaine grandeur
-
Que n'ai-je encor la harpe thracienne
-
Qui voudra voir tout ce qu'ont pu nature
-
Qui niera, Gillebert, s'il ne veut résister
-
Quand cette belle fleur premièrement je vis
-
Quand le Soleil lave sa tête blonde
-
Quand ce brave séjour, honneur du nom Latin
-
Puis m'apparut une pointe aiguisée
-
Pâles esprits, et vous ombres poudreuses
-
Qu'heureux tu es, Baïf, heureux, et plus qu'heureux
-
Qui a vu quelquefois un grand chêne asséché
-
Panjas, veux-tu savoir quels sont mes passe-temps
-
Quand je te dis adieu, pour m'en venir ici
-
Par armes et vaisseaux Rome dompta le monde
-
Plus qu'aux bords Aetëans le brave fils d'Eson
-
Quand je vois ces messieurs, desquels l'autorité
-
Prélat, à qui les cieux ce bonheur ont donné
-
Quiconque, mon Bailleul, fait longuement séjour
-
Ores, plus que jamais, me plaît d'aimer la Muse
-
Ô que tu es heureux, si tu connais ton heur
-
Ô qu'heureux est celui qui peut passer son âge
-
N'étant de mes ennuis la fortune assouvie
-
Ô que celui était cautement sage
-
Ô combien est heureux qui n'est contraint de feindre
-
On donne les degrés au savant écolier
-
Ne t'ébahis, Ronsard, la moitié de mon âme
-
N'étant, comme je suis, encore exercité
-
Nous ne faisons la cour aux filles de Mémoire
-
Ô marâtre nature (et marâtre es-tu bien
-
Ne lira-t-on jamais que ce dieu rigoureux
-
Ô beaux cheveux d'argent mignonnement retors
-
Non autrement qu'on voit la pluvieuse nue
-
Ne pense pas, Bouju, que les nymphes latines
-
Nouveau venu, qui cherches Rome en Rome
-
Ny par les bois les Driades courantes
-
Morel, quand quelquefois je perds le temps à lire
-
Ni la fureur de la flamme enragée
-
Muse, qui autrefois chantas la verte Olive
-
Non pour ce qu'un grand roi ait été votre père
-
Maudit soit mille fois le Borgne de Libye
-
La grecque poésie orgueilleuse se vante
-
L'olive
-
Je ne découvre ici les mystères sacrés
-
Maintenant je pardonne à la douce fureur
-
Je ne veux feuilleter les exemplaires Grecs
-
Je vis un fier torrent, dont les flots écumeux
-
Malheureux l'an, le mois, le jour, l'heure et le point
-
Mars, vergogneux d'avoir donné tant d'heur
-
La nef qui longuement a voyagé, Dillier
-
Marcher d'un grave pas, et d'un grave sourcil
-
Maraud, qui n'es maraud que de nom seulement
-
Je ne te conterai de Bologne et Venise
-
La jeunesse, Du Val, jadis me fit écrire
-
Je ne suis pas de ceux qui robent la louange
-
Loyre fameux, qui ta petite Source
-
Je vis l'oiseau qui le soleil contemple
-
La terre y est fertile, amples les édifices
-
Je vis sourdre d'un roc une vive fontaine
-
Le grand flambeau gouverneur de l'année
-
Magny, je ne puis voir un prodigue d'honneur
-
Les Boys fueilluz, et les herbeuses Ryves
-
Le Breton est savant et sait fort bien écrire
-
Las où est maintenant ce mespris de Fortune
-
La Complaînte du désespéré
-
J'aime la liberté, et languis en service
-
Le Babylonien ses hauts murs vantera
-
Je ne commis jamais fraude ni maléfice
-
Je vis haut élevé sur colonnes d'ivoire
-
Je n'escris point d'amour, n'estant point amoureux
-
Je ne veux point fouiller au sein de la nature
-
Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage
-
Je me ferai savant en la philosophie
-
Je n'ai jamais pensé que cette voûte ronde
-
Je hais du Florentin l'usurière avarice
-
Je hais plus que la mort un jeune casanier
-
Il fait bon voir, Paschal, un conclave serré
-
Je fus jadis Hercule, or Pasquin je me nomme
-
Heureux, de qui la mort de sa gloire est suivie
-
Gordes, j'ai en horreur un vieillard vicieux
-
Ici de mille fards la traïson se déguise
-
Gordes, que Du Bellay aime plus que ses yeux
-
France, mère des arts, des armes et des lois
-
Heureux celui qui peut longtemps suivre la guerre
-
Fuyons, Dilliers, fuyons cette cruelle terre
-
Gordes, à m'est avis que je suis éveillé
-
Flatter un créditeur, pour son terme allonger
-
Digne fils de Henri, notre Hercule gaulois
-
Finalement sur le point que Morphée
-
Déjà la nuit en son parc amassait
-
Et puis je vis l'arbre dodonien
-
D'un vanneur de blé aux vents
-
Et je pensais aussi ce que pensait Ulysse
-
Dedans le ventre obscur, où jadis fut enclos
-
De votre Dianet (de votre nom j'appelle
-
Esprit royal, qui prends de lumière éternelle
-
Divins esprits, dont la poudreuse cendre
-
Espérez-vous que la postérité
-
En mille crespillons les cheveux se friser
-
Doulcin, quand quelquefois je vois ces pauvres filles
-
Encore que l'on eût heureusement compris
-
Dans l'enfer de son corps mon esprit attaché
-
De ce royal palais que bâtiront mes doigts
-
De voir mignon du roi un courtisan honnête
-
Dessus un mont une flamme allumée
-
Dessous ce grand François, dont le bel astre luit
-
Depuis que j'ai laissé mon naturel séjour
-
De ce qu'on ne voit plus qu'une vague campagne
-
Cependant que tu suis le lièvre par la plaine
-
De quelque autre sujet que j'écrive, Jodelle
-
C'était ores, c'était qu'à moi je devais vivre
-
Comme un qui veut curer quelque cloaque immonde
-
Comme le champ semé en verdure foisonne
-
Comme le marinier, que le cruel orage
-
Comme on passe en été le torrent sans danger
-
Ceux qui sont amoureux, leurs amours chanteront
-
Cousin, parle toujours des vices en commun
-
C'était alors que le présent des dieux
-
Chant du désespéré
-
Ces grands monceaux pierreux, ces vieux murs que tu vois
-
Comte, qui ne fis onc compte de la grandeur
-
C'est ores, mon Vineus, mon cher Vineus, c'est ore
-
Comme jadis l'ame de l'univers
-
Combien que ton Magny ait la plume si bonne
-
Comme l'on voit de loin sur la mer courroucée
-
Au fleuve de Loire
-
Astres cruels, et vous dieux inhumains
-
Voici le carnaval, menons chacun la sienne
-
Celle qui de son chef les étoiles passait
-
Ce n'est l'ambition, ni le soin d'acquérir
-
Brusquet à son retour vous racontera, Sire
-
Baif, qui, comme moi, prouves l'adversité
-
Cependant que Magny ...
-
A Madame Marguerite, d'écrire en sa langue
-
Cependant qu'au palais de procès tu devises
-
Ayant tant de malheurs gémi profondément
-
Cependant que la Cour mes ouvrages lisait
-
Ce n'est pas sans propos qu'en vous le ciel a mis
-
Cent fois plus qu'à louer on se plaît à médire
-
A Vénus
-
Cependant que tu dis ta Cassandre divine
-
Celle que Pyrrhe et le Mars de Libye
-
Sortons, Dilliers, sortons, faisons place à l'envie
-
Autant comme l'on peut en un autre langage
-
Ce n'est le fleuve tusque au superbe rivage
-
A l'ambitieux et avare ennemi des bonnes lettres
-
Après avoir longtemps erré sur le rivage
-
Au Roi
-
A son livre
-
Un peu de mer tenait le grand Dulichien
-
A monsieur d'Avanson
-
Si Pirithois ne fût aux enfers descendu
-
Ursin, quand j'oy nommer de ces vieux noms romains
-
Où que je tourne l'œil, soit vers le Capitole
-
On ne fait de tout bois l'image de Mercure
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Qui choisira pour moi la racine d'Ulysse
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Seigneur, ne pensez pas d'ouïr chanter ici
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Si l'importunité d'un créditeur me fâche
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Se fâcher tout le jour d'une fâcheuse chasse
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Qui est ami du cœur est ami de la bourse
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Ne pense, Robertet, que cette Rome-ci
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Quand je vois ces seigneurs qui l'épée et la lance
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Nous ne sommes fâchés que la trêve se fasse
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Quand mon Caraciol de leur prison desserre
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Nature est aux bâtards volontiers favorable
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Ô que tu es heureux, si tu connais ton heure
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Ô Déesse qui peut aux princes égaler
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Pourquoi me grondes-tu, vieux matin affamé
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Ne t'émerveille point que chacun il méprise
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Quand je vais par la rue, où tant de peuple abonde
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Montigné (car tu es aux procès usité)
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Mauny, prenons en gré la mauvaise fortune
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Je n'écris point d'amour, n'étant point amoureux
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Le roi (disent ici ces bannis de Florence)
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D'où vient que nous voyons à Rome si souvent
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Ici de mille fards la trahison se déguise
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Ce rusé Calabrais tout vice, quel qu'il soit
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Las où est maintenant ce mépris de Fortune
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Gordes, il m'est avis que je suis éveillé
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Je vois, Dilliers, je vois seréner la tempête
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Cependant que Magny suit son grand Avanson
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Douce mère d'amour, gaillarde Cyprienne
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D'où vient cela, Mauny, que tant plus on s'efforce
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Bien que par le pesché, dont nostre premier pere
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Éloge à la lune
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Le sylphe
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Sur le passage de la Mer Rouge
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Avoir vu dévaler une triple montagne
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Ce brave qui se croit pour un jaque de maille
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La Nuit
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Bien qu'aux arts d'Apollon le vulgaire n'aspire
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La terre se couvre de fleurs et de fruits
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Ce n'est pas de mon gré, Carle, que mon navire
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Celui vraiment était et sage et bien appris
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Les eaux se retirent
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Hymne à la terre
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A la France
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Sur les éléments
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Sur les vents
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L'inconnue
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N'est-elle de tous biens garnie
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Qui a toutes ses hontes
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Quelque chose que je dis d'amour
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Premier chagrin
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Sur l'or
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Sur les pierres précieuses
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Bergeronnette
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Sur la mort - Remède
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Le lendemain du premier jour de mai
-
Sur l'erreur
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De Fontainebleau
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Que nous en faisons de telles manières
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Votre bouche dit : Baisez-moi
-
Sur la gloire du Paradis
-
Sur la mort - Assurance
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Sur l'Enfer
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Petit mercier, petit panier
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Sur l'homme - Petit monde
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Pourquoi m'as tu vendu, Jeunesse
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Un soir de mai
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Qui ? quoi ? comment ? a qui ? pourquoi
-
Mon cœur m'a fait commandement
-
Jeunes amoureux nouveaux
-
Ma seule amour que tant désire
-
Le temps a laissé son manteau
-
Le beau soleil, le jour saint Valentin
-
J'aime qui m'aime
-
La complainte de France
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Mon cœur, estouppe tes oreilles
-
Laissez-moi penser à mon aise
-
Les fourriers d'Amours m'ont logé
-
Hiver, vous n'êtes qu'un vilain
-
Fiez-vous-y
-
En verrai-je jamais la fin
-
Dedans mon Livre de Pensée
-
Ma seule amour...
-
En hiver, du feu, du feu
-
Qui ? quoy ? comment ? a qui ? pourquoy ?
-
En songe, souhait et pensée
-
Mon cuer, estouppe tes oreilles
-
Pourquoy m'as tu vendu, Jeunesse
-
Vostre bouche dit...
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Ou puis parfont de ma merencolie
-
Le premier jour du mois de may
-
Les fourriers d'Eté sont venus
-
Puis ça, puis la...
-
Qui a toutes ses hontes beues
-
Ne hurtez plus a l'uis de ma pensee
-
Yver, vous n'estes qu'un villain
-
Mon cueur m'a fait commandement
-
Le temps a laissié son manteau
-
Quant vint a la prochaine feste
-
Que me conseillez-vous, mon coeur ?
-
Las ! Mort, qui t'a fait si hardie
-
En yver, du feu, du feu !
-
En regardant vers le païs de France
-
Je meurs de soif en couste la fontaine
-
Le beau souleil, le jour saint Valentin
-
J'ayme qui m'ayme, autrement non
-
Je fu en fleur ou temps passé d'enfance
-
France, jadis on te soulait nommer
-
En la nef de bonne nouvelle
-
En verrai ge jamais la fin
-
Je n'ay plus soif, tairie est la fontaine
-
Le lendemain du premier jour de may
-
Fiés vous y !
-
Escollier de Merencolie
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J'ay fait l'obseque de ma dame
-
En la forêt de Longue Attente
-
Dedens mon Livre de Pensee
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En la forest d'Ennuyeuse Tristesse
-
En acquittant nostre temps vers jeunesse
-
Dieu, qu'il la fait bon regarder
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En faictes vous doubte
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Ce premier jour du mois de may
-
Sur l'oracle de Pan
-
Bien moustrez, Printemps gracieux
-
Les étoiles éteintes
-
Sur le nom de la Royne
-
Sur la louange de la Paix - Sonnet 6
-
Sur la louange de la Paix - Sonnet 9
-
Sur la louange de la Paix - Sonnet 4
-
Sur la louange de la Paix - Sonnet 8
-
Sur la louange de la Paix - Sonnet 7
-
Sur la louange de la Paix - Sonnet 5
-
Sur la louange de la Paix - Sonnet 3
-
Presage de J. Dorat, poëte du Roy
-
Sur la louange de la Paix - Sonnet 2
-
Le désir
-
L'étincelle
-
Sur la louange de la Paix - Sonnet 1
-
Les baisers comptés
-
Révolte
-
Soir d'octobre
-
La vision d'Ève
-
Le vieux solitaire
-
Le baiser du matin
-
Hymne au baiser
-
L'invisible lien
-
L'orgueil
-
Saisons brouillées
-
Cantique d'Étienne Dolet
-
Au Roy
-
Les rythmes
-
Prologue
-
Le remous
-
Les cygnes
-
L'oeil
-
A messieurs du Conseil
-
Les nuages
-
Salvator rosa
-
Le mancenillier
-
Obsession
-
Epithalame ou chant nuptial
-
Lazare
-
La convention
-
La réserve
-
La nuit de juin
-
La prière d'Adam
-
La prison
-
Sommeil, paisible fils de la Nuit solitaire
-
Vous n'aimez rien que vous, de vous-même maîtresse
-
A la Lousiane
-
L'amour en fraude
-
Zèbre
-
Flots des mers
-
Sur le pont d'Iéna
-
Puérilités
-
Au jardin
-
L'ambition de certains courtisans nouveaux venus
-
Journée d'hiver
-
The park
-
Vos yeux, belle Diane, ont autant de puissance
-
Détresse
-
Ce soir
-
En chemin
-
Sonnet spirituel (XVIII)
-
Sur les abysmes creux des fondements poser
-
Un ivoire vivant, une neige animée
-
Que vous m'allez tourmentant
-
Que servirait nier chose si reconnue
-
Quand quelquefois je pense à ma première vie
-
Rosette, pour un peu d'absence
-
Qu'on m'arrache le coeur, qu'on me fasse endurer
-
S'il est vrai que le ciel ait sa course éternelle
-
Si la vierge Erigone, Andromède, et Cythère
-
Si la foi plus certaine en une âme non feinte
-
Solitaire et pensif, dans un bois écarté
-
Si la loi des amours saintement nous assemble
-
Quand j'approche de vous, et que je prends l'audace
-
Ô Songe heureux et doux ! où fuis-tu si soudain
-
Quand je pouvais me plaindre en l'amoureux tourment
-
Ô bien heureux qui peut passer sa vie
-
Prière au sommeil
-
Nuict, mere des soucis, cruelle aux affligez
-
Ô mon coeur plein d'ennuis, que trop prompt j'arraché
-
Quand nous aurons passé l'Infernale rivière
-
Pourquoi si follement croyez-vous à un verre
-
Marchands, qui recherchez tout le rivage more
-
Misérables travaux, vagabonde pensée
-
Ma nef passe au destroit d'une mer courroucée
-
Hélas ! si tu prens garde aux erreurs que j'ay faites
-
Celui qui n'a point vu le printemps gracieux
-
Icare est chu ici, le jeune audacieux
-
Le tens leger s'enfuit sans m'en apercevoir
-
Las ! je ne verray plus ces soleils gracieux
-
Las ! que me sert de voir ces belles plaines
-
Je ressemble en aimant au valeureux Persée
-
Je ne refuse point qu'en si belle jeunesse
-
L'âpre fureur de mon mal véhément
-
Blessé d'une plaie inhumaine
-
Je l'aimais par dessein la connaissant volage
-
Je crois que tout mon lit de chardons est semé
-
C'était un jour d'été de rayons éclairci
-
J'ai longtemps voyagé, courant toujours fortune
-
Epouvantable Nuit, qui tes cheveux noircis
-
Éloignant vos beautés, je vous laisse en ma place
-
Chaste soeur d'Apollon dont je suis éclairé
-
Contre une nuit trop claire
-
De mes ans la fleur se déteint
-
Autour des corps, qu'une mort avancée
-
Enfin les dieux bénins ont exaucé mes cris
-
Enfin, l'Amour cruel à tel point m'a rangé
-
J'ai dit à mon désir : pense à te bien guider
-
Celui que l'Amour range à son commandement
-
D'une fontaine
-
Ceux qui liront ces vers qu'en pleurant j'ay chantez
-
Durant les grand's chaleurs, j'ai vu cent mille fois
-
Cependant que l'honnêteté
-
Chanson
-
Elle pleurait, toute pâle de crainte
-
Epigramme
-
Douce Liberté désirée
-
Aux mânes de Joseph Delorme
-
De la Mansuétude
-
Ballade
-
Trop tard
-
Une lettre de femme
-
Une ruelle de Flandre
-
De l'Humilité
-
De la Charité
-
Tu n'auras pas semé...
-
Un moment
-
Veillée
-
Un cri
-
Entre deux draps
-
Tristesse
-
Toi qui m'as tout repris...
-
Son retour
-
Arrête un peu, mon Coeur, où vas-tu si courant ?
-
Amour, tu es aveugle et d'esprit et de vue
-
Le tabac
-
Un billet de femme
-
A pas lents et tardifs tout seul je me promène
-
Amour en même instant m'aiguillonne et m'arrête
-
A Jeanne, princesse de Navarre
-
La fille du serrurier et son frère
-
Un arc de triomphe
-
Toi !
-
L'oreiller d'un enfant
-
Plus de chants
-
Pourquoi ?
-
Malheur à moi
-
Le souvenir
-
Renoncement
-
Regret
-
Rêve d'une femme
-
Son image
-
Qu'en avez-vous fait ?
-
Solitude
-
Quand le fil de ma vie...
-
Regarde-le
-
Sans l'oublier
-
Simple histoire
-
S'il l'avait su
-
Refuge
-
Soir d'été
-
L'innocence
-
Loin du monde
-
L'horloge arrêtée
-
Ma chambre
-
Ne fuis pas encore
-
Les roses de Saadi
-
Les éclairs
-
Le soir
-
Point d'adieu
-
Prière pour lui
-
L'imprudence
-
L'espoir
-
L'impossible
-
Le secret
-
Les roses
-
Le ver luisant
-
Les séparés (N'écris pas...)
-
Les cloches et les larmes
-
Les cloches du soir
-
L'esclave et l'oiseau
-
Le rossignol aveugle
-
Le papillon malade
-
L'église d'Arona
-
Le Luxembourg
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Le réveil
-
Le grillon
-
Le rendez-vous
-
L'églantine
-
Le pardon
-
L'enfant au miroir
-
Le premier amour
-
Le nid solitaire
-
Le portrait
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L'entrevue au ruisseau
-
Le bouquet sous la croix
-
Le dernier rendez-vous
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La rose flamande
-
La lune des fleurs
-
La ronce
-
La mère qui pleure
-
Le beau jour
-
L'amour
-
L'âme errante
-
L'ami d'enfance
-
La voix d'un ami
-
L'attente
-
Le coucher d'un petit garçon
-
La maison de ma mère
-
La jeune fille et le ramier
-
La sincère
-
Fleur d'enfance
-
Croyance
-
Crois-moi
-
A Rouen, rue Ancrière
-
La fidèle
-
Aux trois aimés
-
La jeune châtelaine
-
Fierté, pardonne-moi !
-
Je l'ai promis
-
Dors-tu ?
-
J'avais froid
-
Jour d'Orient
-
Hiver
-
Aveu d'une femme
-
Avant toi
-
Je ne sais plus, je ne veux plus
-
Inès
-
Cigale
-
Jeune homme irrité
-
Dors !
-
La couronne effeuillée
-
La fleur d'eau
-
Laisse-nous pleurer
-
Dernière entrevue
-
Au livre de Léopardi
-
Merci, mon Dieu
-
Allez en paix
-
Qui, toi, mon bien-aimé
-
Rêve intermittent d'une nuit triste
-
Moi, je le sais
-
Un présage
-
Pèlerinage
-
A l'amour
-
Ame et jeunesse
-
Pour endormir l'enfant
-
Ma fille
-
Amour, divin rôdeur
-
Une âme
-
Prière de femme
-
Le soleil des morts
-
L'inquiétude
-
L'indiscret
-
L'inconstance
-
L'insomnie
-
Le sommeil de Julien
-
L'oreiller d'une petite fille
-
Les trois heures du jour
-
Le soir (II)
-
Les fleurs
-
Le serment
-
L'isolement
-
Le printemps
-
L'exil
-
Le petit menteur
-
Les deux ramiers
-
La veillée du nègre
-
Détachement
-
Le concert
-
L'attente (II)
-
La promenade d'automne
-
L'aveu permis
-
La vallée
-
Le billet
-
Pleurant amèrement mon douloureux servage
-
À la poésie
-
Le mauvais jour
-
Bouche dont la douceur m'enchante doucement...
-
L'enfant triste
-
La première heure de l'année
-
L'arbrisseau
-
Les plaisirs du dimanche
-
Le hameau
-
Croyance populaire
-
Le bouquet
-
L'ange et le rameau
-
Au sommeil
-
La piqûre
-
Ouvrez-moi, Sincero, de vos pensers la porte
-
La reconnaissance
-
Le berceau d'Hélène
-
La prière perdue
-
La nuit d'hiver
-
Jeune fille
-
Il va parler
-
L'écolier
-
Ô de mon bien futur le frêle fondement
-
L'accablement
-
La fleur renvoyée
-
L'atelier du peintre
-
L'ange gardien
-
L'absence
-
Au livre des consolations
-
La danse de nuit
-
Dors ma mère
-
Dormeuse
-
Dieu pleure avec les innocents
-
Il avait dit un jour
-
Conte d'enfant
-
Tableau de Paris (A cinq heures du soir)
-
Jamais adieu
-
À ma sœur Cécile
-
Antithèse du somme et de la mort
-
Sonnet
-
À celles qui pleurent
-
Tableau de Paris (A cinq heures du matin)
-
Sur le portrait de Mlle La Follote
-
Epitaphe de Diane Baudoire, sa femme
-
Cantique de la Vierge
-
L'avarice
-
Chanson
-
La vie est un songe
-
Entiere conoissance de la beauté, effet d'Amour
-
Des roses
-
Le déconforté
-
J'eusse été citoyen de quelque république
-
La Raison fait le malheur de l'homme
-
A la fontaine
-
La devise du poète
-
A Mathieu de Quatre de la Mastre
-
Sur l'affection de la vie
-
Du merveilleux effet de son amour
-
Les jardins
-
De sa juste amour et estrange peine
-
Cantique
-
A sa Sainte
-
Le coin du feu
-
Du nom de sa Sainte, imitation de Pétrarque
-
À un aimable goutteux
-
D'une faveur
-
De la persévérance de son amour
-
Vers faits dans le jardin de Mme De P***
-
De la bienfaisance et de la reconnaissance
-
Pour la fête de M. Charles M***
-
Du pouvoir merveilleux et estrange desir de son amour
-
De ses vers, à sa Sainte
-
De sa Sainte
-
Couplets sur la jeunesse
-
Le doux printemps revient...
-
Christophe Colomb
-
Ô Versaille !
-
Le café
-
À M. Turgot
-
À M. Charles De Lacretelle
-
À M. Le marquis d'Étampes
-
À M. Le comte Belozosky
-
À l'auteur des Amours épiques
-
À M. De C***., Polonais
-
Voici du seul Phénix pourtraite la figure
-
À Mme Lebrun
-
À M. L'Oillart-D'Avrigny
-
À Mme d'Houdetot
-
De ta lèvre mignarde un fin sucre courant
-
À Mme La comtesse de Potocka
-
Songeant la nuit, bien souvent je pense être
-
À Mlle Joséphine Sauvage
-
À M. Danloux, Peintre
-
À La princesse Jablonowska
-
À M. Le marquis d'Étampes (I)
-
Ô agréable Songe, où t'en vas-tu si vite ?
-
Gentil tertre élevé sur la blanche poitrine
-
Pour donner de ma foi les preuves manifestes
-
Trois jours de Christophe Colomb
-
À La princesse Augusta De Brunswick
-
Ha ! main qui doucement me déchirez le coeur
-
Oeil mon petit mignon, ma douce friandise
-
Ô Songe humain et divin tout ensemble
-
Cent et cent fois j'ai désiré pouvoir
-
L'esprit pur
-
Doucette voix qui confortes mon âme
-
Le trappiste
-
Daphné se vit en laurier convertie
-
Moïse
-
Les destinées
-
Le cor
-
Douce maîtresse et douces vos façons
-
Paris
-
Les amants de Montmorency
-
Le Mont des Oliviers
-
Le malheur
-
Étant au lit couché, au lieu de reposer
-
Symétha
-
L'esprit parisien
-
Le somnambule
-
Adriane, mon coeur, baise-moi, je te prie
-
Jouissance
-
Le bain d'une dame romaine
-
Le Déluge
-
Le bal
-
Quelque si doux espoir où ma raison s'appuie
-
Dolorida
-
La femme adultère
-
La neige
-
Un Corbeau devant moi croasse
-
Quand tu me vois baiser tes bras
-
Satire première
-
La Frégate La Sérieuse
-
La mort du loup
-
La maison du berger (II)
-
La maison du berger (III)
-
La maison du berger (I)
-
La colère de Samson
-
La fille de Jephté
-
La flûte
-
L'âge d'or de l'avenir
-
Sacrés murs du Soleil où j'adorai Philis
-
Proche de la saison où les plus vives fleurs
-
Pour une amante irritée
-
Chant de Suzanne au bain
-
Prière de Théophile aux Poètes de ce temps
-
Les Parques ont le teint plus gai que mon visage
-
Le matin
-
Les Nautoniers
-
Pour mademoiselle D. M.
-
Lettre à son frère
-
Ministre du repos, Sommeil père des songes
-
Perside, je me sens heureux
-
L'autre jour inspiré d'une divine flamme
-
La solitude
-
L'infidélité me déplaît
-
Je n'ai repos ni nuit ni jour
-
Je songeais que Philis des enfers revenue
-
Cruelle, à quel propos prolonges-tu ma peine
-
La frayeur de la mort ébranle le plus ferme
-
D'un sommeil plus tranquille à mes Amours rêvant
-
Chère Isis, tes beautés ont troublé la nature
-
J'ai fait ce que j'ai pu pour m'arracher de l'âme
-
Aussi souvent qu'Amour fait penser à mon âme
-
A Cloris
-
Élégie à une Dame
-
Contre l'hiver
-
Cloris, lorsque je songe, en te voyant si belle
-
Voulez-vous voir mon coeur, ouvrez-moi la poitrine
-
Un jour mon beau soleil miroit sa tresse blonde
-
Complainte
-
Mon sang est tout gelé, je n'ai plus dans le coeur
-
Je change de désirs, non pas de volonté
-
De feu, d'horreur, de mort, de peine, de ruine
-
Un jour reconnaissant que je suis incapable
-
Faut-il qu'incessamment passionné je traîne
-
Je ne suis plus celui qui respirait la vie
-
Perdez, froissez, tuez cette âme vagabonde
-
De mon sang exhalé toute l'humeur périe
-
A monsieur de L... sur la mort de son père
-
Mon âme languissait, et d'une longue haleine
-
Quand vous considérez en cette claire glace
-
Au milieu de Paris je me suis fait ermite
-
Puisse advenir que ma fiere Maistresse
-
Le Mai
-
De fureur, de souci, mon âme tourmentée
-
Ainsi qu'on voit plorer la chaste tourterelle
-
Au moins ai-je songé que je vous ai baisée
-
Je veux seul, écarté, ores dans un bocage
-
Voz yeux plus prompts qu'esclairs, plus subtils que la foudr
-
Qu'inférez-vous, menteurs, par vos beaux arguments
-
Quand près de toi le travail je repose
-
J'ai tant crié, ô douce Mort, renverse
-
Ores que je suis mort, je vai, je viens, je vire
-
Ô Dieu qui vois ceste rouë execrable
-
Muzain
-
Je m'embarque joyeux, et ma voile pompeuse
-
Puisque tu veux dompter les siècles tout-perdants
-
Quand le désir de ma haute pensée
-
Stances amoureuses de la Reine de Navarre
-
Le baiser en l'Amour est l'octave en Musique
-
Je chante et pleure, et veux faire et défaire
-
Ce n'est pas le trépas, c'est un très doux sommeil
-
Quand elle vit à la Mort déployer
-
Sonnet
-
Puisque je vois que mes afflictions
-
O calme nuit , qui doucement compose ...
-
Père du doux repos, Sommeil, père du Songe
-
Pourrai-je bien sans toi, ma chère guide
-
Pere divin, sapience eternelle ...
-
L'ardent désir, qui d'espérer m'abuse
-
Après qu'Amour par trop mortelle atteinte
-
Fortune enfin piteuse à mon tourment
-
Bien que Fortune en haut degré te range
-
Disgrâce
-
Je mesurais pas à pas, et la plaine
-
Oeil éloigné du Jour, qui te recrée
-
En contemplation de Dame Louise Labé
-
Des yeux auxquels ainsi, qu'en un Trophée
-
A cet anneau parfait en forme ronde
-
Stances
-
Ô calme nuit, qui doucement composes
-
Si j'avais comme vous, mignardes colombelles
-
Tandis que dedans l'air un autre air je respire
-
Epître aux femmes
-
Au premier trait, que mon oeil rencontra
-
Voulez-vous voir ce traict qui si roide s'eslance
-
Vous languissez, mes vers...
-
Tout s'enfle contre moy, tout m'assaut, tout me tente
-
Je fumais tout en mon fort soupirer
-
Sur sa fièvre
-
Si tant de maux passez ne m'ont acquis ce bien
-
Tout le monde se plaint de la cruelle envie
-
Stances de la mort
-
Si c'est dessus les eaux que la terre est pressée
-
Qui sont, qui sont ceux-là, dont le coeur idolâtre
-
Quand le vaillant Hector, le grand rempart de Troie
-
Ne vous étonnez point si mon esprit qui passe
-
Qui serait dans les Cieux, et baisserait sa vue
-
Pour qui tant de travaux ? pour vous? de qui l'aleine
-
Satire, contre une dame
-
Et quel bien de la Mort ? où la vermine ronge
-
Je meurs, et les soucis qui sortent du martyre
-
Mon Dieu, que je voudrais que ma main fût oisive
-
Je contemplais un jour le dormant de ce fleuve
-
Ma belle languissait dans sa funeste couche
-
Mon Soleil qui brillez de vos yeux dans mes yeux
-
Mon coeur ne te rends point à ces ennuis d'absence
-
Ha ! que j'en voy bien peu songer à ceste mort
-
Mais si faut-il mourir ! et la vie orgueilleuse
-
Les vents grondaient en l'air, les plus sombres nuages
-
Mortels, qui des mortels avez pris vostre vie
-
Mais si mon foible corps (qui comme l'eau s'escoule)
-
Stances
-
Il est vrai, mon amour était sujet au change
-
Ode
-
Helas ! contez vos jours : les jours qui sont passez
-
Je sens dedans mon âme une guerre civile
-
Sonnet
-
Sur ces paroles : Combien de choses avons-nous...
-
Stances
-
L'inconstant par imitation
-
Sur la mort d'une Dame
-
Sur un songe
-
L'hiver
-
Pour une Dame qui filait
-
Galimatias
-
Sur l'Évangile du Navire de Saint Pierre
-
Le printemps
-
Sur l'Évangile du jugement
-
Sur le passage du torrent de Cédron
-
La belle Égyptienne
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Pour la même inconstante
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Sur la carte de Tendre
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Sur ces mots : Souvienne-toi, Homme, que tu es cendre
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L'été
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Impromptu
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L'automne
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La Nymphe endormie
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Description de la fameuse Fontaine de Vaucluse
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Sonnet mis dans le Petrarque de feu Monseigneur...
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Homme est un mot...
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L'automne
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Sonnet faict apres le sermon du jour de la trinité 1548
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Aimez ou n'aimez pas, changez, soyez fidèle
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Livre premier
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Livre second
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A une Dame
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La bourrasque d'été
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Voyant ces monts de veue ainsi loingtaine
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Le coeur de l'homme est l'énigme du Sphinx
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Treizain
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Translat d'un sonnet ytalien
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Tout m'est dueil, tout m'est desplaisir
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Les yeux qui me surent prendre
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Plus n'ay d'actente au bien que j'espéroye
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D'un charlatan
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Au Seigneur des Essars N de Herberay
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Songez, Philis, songez au temps passé
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A Pierre de Ronsard
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De Monsieur de Saint Gelais pour mettre au devant
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Ce sonet fut faict au nom de Madamoiselle de Traves
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Sonnet de Monseigneur le Daulphin
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Sonnet en la naissance de Monseigneur le Duc de Bretaigne
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Sonnet mis au devant d'un petit traicté que je feis
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Sonnet de deux masques en Rugier et Marphise
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Une paisible et longue jouissance
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Asseuré suis d'estre prys et lyé
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Quand viendra la clarté
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Pour les masques de Monseigneur de Martigues à la Court
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Étrennes
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Il n'est point tant de barques à Venize
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Epitaphe de Marie Compane femme de Nicolas de Herberay
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Du triste coeur vouldrois la flamme estaindre
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Du Roy Henry au commencement de son regne
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Chère Philis, qu'êtes-vous devenue
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D'un present de Rozes
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Cheveux d'argent refrangé et retort
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D'un bouquet d'oeillets gris et rouges
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Mon Dieu, que j'aime à baiser les beaux yeux
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A Clement Marot
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Sonnet à feu M. Desyveteaux
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Vos attraits n'ont plus rien que l'épée et la cape
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Ode à la fièvre
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Ode à l'Aloüette
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Pour son tombeau
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Ode à Cassandre
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Sonnet inachevé
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Sonnet sur des mots qui n'ont point de rime
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Voici le rendez-vous des Enfants sans souci
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J'ai passé mon printemps...
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L'hyver des Alpes
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Moïse sauvé
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Plainte sur la mort de Sylvie
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Ores l'effroi et ores l'espérance
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Il fut un bruit, ô Marot, qu'étais mort
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Sonnet sur la moisson d'un lieu proche de Paris
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La débauche
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Marie, baisez-moi ; non, ne me baisez pas
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Marie, levez-vous, ma jeune paresseuse
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Marie, vous avez la joue aussi vermeille
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Plus mille fois que nul or terrien
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Odelette à une jeune maîtresse
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Pren ceste rose aimable comme toy
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Marie, vous passez en taille, et en visage
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Quand je te voy seule assise à par-toy
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Marie, qui voudrait votre beau nom tourner
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Pourtant si ta maîtresse...
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Meschantes nuicts d'hyver
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Mignonne, allons voir si la rose
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Le soleil levant
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Fagoté plaisamment comme un vrai Simonnet
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Les visions
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Le printemps des environs de Paris
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La Généreuse
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La solitude
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Les goinfres
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Le poète crotté
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L'esté de Rome
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Ô doux parler, dont l'appât doucereux
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La plainte de Tirsis
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Vous me distes, Maitresse, estant à la fenestre
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Je viens de recevoir une belle missive
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Le Déluge
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Ode en dialogue, l'Espérance et Ronsard
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Verson ces roses pres ce vin
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Assis sur un fagot, une pipe à la main
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La nuit
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Odelette à l'Arondelle
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Stances
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Odelette à sa maistresse
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Le melon
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Odelette a son bouquet
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Le fromage
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La Rome ridicule
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Le palais de la volupté
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Le contemplateur
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Vu que tu es plus blanche
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L'automne des Canaries
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Si je trépasse entre tes bras, Madame
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La pluie
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Le paresseux
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Une beauté de quinze ans enfantine
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Tu te moques, jeune ribaude
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Tant de fois s'appointer, tant de fois se fascher
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L'Amarante
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Sur mes vingt ans, pur d'offense et de vice
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Quoy mon ame, dors tu engourdie en ta masse
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Le boyteus mari de Vénus ...
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Te regardant assise auprès de ta cousine
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Madrigal
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La naissance de Pantagruel
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Ni de son chef le trésor crépelu
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Plût-il à Dieu n'avoir jamais tâté
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Quand au temple nous serons
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Ô Fontaine Bellerie
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Marie, que je sers en trop cruel destin
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Si mille oeillets, si mille liz j'embrasse
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Ny voir flamber au point du jour les roses
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Ode en dialogue des yeux et de son coeur
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Que tu es Cicéron ...
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Si seulement l'image de la chose
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Soit que son or se crêpe lentement
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Quand je suis vingt ou trente mois
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Quand vous serez bien vieille, au soir, à la chandelle
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Odelette
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Qui voudra voir comme un Dieu me surmonte
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Quand en songeant ma folâtre j'acolle
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Petit nombril, que mon penser adore
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Quand je suis tout baissé sur votre belle face
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Quand je pense à ce jour, où je la vey si belle
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Je ne suis seulement amoureux de Marie
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Le soir qu'Amour vous fit en la salle descendre
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Marie, à tous les coups vous me venez reprendre
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Le Ciel ne veut, Dame, que je jouisse
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Ma maîtresse est toute angelette
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Le vintieme d'Avril couché sur l'herbelette
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Maîtresse, embrasse-moi, baise-moi, serre-moi
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Je plante en ta faveur cet arbre de Cybèle
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Je vous donne des oeufs. L'oeuf en sa forme ronde
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Je vous envoye un bouquet que ma main
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L'an se rajeunissait en sa verte jouvence
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Je veus lire en trois jours l'Iliade d'Homere
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Je voudrais bien richement jaunissant
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Je n'ay plus que les os, un Schelette je semble
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Je voudrais être Ixion et Tantale
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J'ai l'esprit tout ennuyé
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Je veux mourir pour tes beautés, Maîtresse
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J'ai pour maitresse ...
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Celui qui boit ...
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Bien que les champs, les fleuves et les lieux
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Ce beau corail, ce marbre qui soupire
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Elégie à Janet, peintre du roi
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Douce Maîtresse
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Ha ! que je porte et de haine et d'envie
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Dedans des Prez je vis une Dryade
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Il faut laisser maisons et vergers et jardins
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Foufroye moy de grace ...
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Comme on voit sur la branche au mois de may la rose
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Donne moy tes presens en ces jours que la Brume
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Contre les bucherons de la forest de Gastine
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Hinne à la Nuit
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Epitafe de Francois Rabelais
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Ange divin, qui mes plaies embaume
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Comme un chevreuil, quand le printemps destruit
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Contre Denise Sorcière
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Ciel, air et vents, plains et monts découverts
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Bonjour mon coeur, bonjour ma douce vie
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Amour, je ne me plains de l'orgueil endurci
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A sa lyre
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Dans le serein de sa jumelle flamme
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Chanson
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Ces liens d'or, cette bouche vermeille
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Autre du même à la même dame
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Avant le temps tes temples fleuriront
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Amour me tue, et si je ne veux dire
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Ce jour de Mai qui a la tête peinte
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Amour, tu sembles ...
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A son âme
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Ah longues nuicts d'hyver de ma vie bourrelles
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Amourette
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À la forêt de Gastine
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Sonnet (III)
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A lui mesme
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A Cupidon
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Vous triomphez de moi, et pour ce, je vous donne
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Versons ces roses près ce vin
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Vœu à Vénus
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Sonnet (IV)
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Sur mes vingt ans
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Sonnet (II)
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Sonnet (I)
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La quenouille
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Je plante en ta faveur cet arbre
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Quand vous serez bien vieille
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Quand l'été, dans ton lit, tu te couches malade
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Pour boire dessus l'herbe tendre
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Par un destin dedans mon cœur demeure
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Qu'il me soit arraché des tétins de sa mère
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Quand ces beaux yeux
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Qui voudra voir comme un Dieu
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Que me servent mes vers
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Pour retenir un amant
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Pour être en vain tes beaux soleils aimant
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Nature ornant la dame
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Les Amours de Marie (XIX)
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Jamais Hector aux guerres n'était lâche
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Les Amours de Marie (IX)
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Les Amours de Marie (III)
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Je vois tes yeux
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Ode saphique XXXI
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La jeunesse
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Ô ma douce moitié
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Ode saphique XXX
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Odelette à sa maîtresse
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Odelette à sa jeune maîtresse
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Magie, ou délivrance d'amour
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Ni voir flamber au point du jour les roses
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Pareil j'égale au soleil que j'adore
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Ôtez votre beauté, ôtez votre jeunesse
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L'honnêteté, douceur, rigueur
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Les Amours de Marie (VI)
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Les Amours de Marie (XX)
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Les Amours de Marie (XLIII)
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Les Amours de Marie (II)
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J'espère et crains
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Laisse-moi sommeiller, amour
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Je veux pousser par l'univers ma peine
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L'arrogance est pire que l'humilité
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Je faisais ces Sonnets
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Je suis homme né pour mourir
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Chanson d'amour
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J'ai l'âme de regrets touchée
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II ne faut s'ébahir, disaient ces bons vieillards
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Élégie à Hélène
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Élégie du printemps
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Hymne à la nuit
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Celle, de qui l'amour vainquit la fantaisie
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Chanson (I)
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Bien qu'à grand tort il te plaît d'allumer
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Bonjour mon coeur