L'OUVERTURE C'EST FAIT POUR LES CHIENS... AUSSI !
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L'OUVERTURE C'EST FAIT POUR LES CHIENS... AUSSI !

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L’OUVERTURE C’EST FAIT POUR LES CHIENS... AUSSI !
L
'ouverture… A ce mot magique, 1.300.000 chasseurs dressent l'oreille. Ils
ne sont pas les seuls : plus de 2 millions de chiens de chasse dressent les
deux oreilles ! Pour le chien comme pour son maître, l'ouverture sonne le
début des festivités !
L
e chien de chasse est le lien entre le chasseur et le
gibier. Il met à la disposition de son maître une capa-
cité sensorielle qui s'est trop atténuée chez l'homme
pour lui permettre de traquer efficacement les ani-
maux sauvages et les retrouver après le tir : le flair !
Le chien magnifie l'acte de chasse et une complicité
ne tarde pas à s'instaurer dans le tandem, consoli-
dée au fil des belles journées à traquer petits et
grands gibiers. Pas étonnant que les chasseurs
soient tous en admiration devant les qualités de leur
compagnon : chacun est persuadé qu'il détient le
meilleur chien de chasse du canton !
La diversité des territoires, des gibiers et des modes de chasse explique la multitude de
races de chiens de chasse. La chasse contribue grandement à enrichir le patrimoine cyno-
phile : en France, plus d'un chien de race sur quatre est un chien de chasse. Mais il ne fau-
drait pas oublier… les sympathiques " corniauds ".
Certains sont des généralistes touchant à tout, d'autres au contraire ultra spécialisés,
comme les chiens de sang qui retrouvent les grands animaux blessés ou morts. De la même
façon, certains chiens traqueront sans discernement tous les gibiers dont ils croiseront la
route, alors que d'autres, suite à un dres-
sage minutieux, ne s'intéresseront qu'à
une seule espèce. Des chiens courants
peuvent être ainsi " créancés " sur le
renard, le sanglier, le lièvre… alors que
des chiens d'arrêt le seront sur le per-
dreau, la bécasse, la bécassine.
Beaucoup de chasseurs ne conçoi-
vent pas la chasse sans leur chien.
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