Correction du baccalauréat S Polynésie
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Niveau: Secondaire, Lycée
Durée : 4 heures [ Correction du baccalauréat S Polynésie \ septembre 2007 EXERCICE 1 7 points Commun à tous les candidats 1. a. Les courbes 2 et 3 ne vérifient pas P3. Par contre le courbe 1 semble représenter une fonction de (E) : en parti- culier la courbe est sous la droite y = x. b. Une fonction f de (E) érifie P3 donc f (x)6 x ?? x ? f (x)> 0. Comme 0 < 1, I f représente l'aire de la partie du plan limitée par la courbe, la droite (D) et les droites d'équation x = 0 et x = 1. Donc I f > 0. 2. a. h(x)= 2x ?1= ex ln2?1. Cette fonction est dérivable et h?(x)= ln2ex ln2 > 0 car les deux facteurs sont positifs : la fonction h est donc croissante et vérifie P1. h(0)= 1?1= 0 et h(1)= 21?1= 2?1= 1. h vérifie P2. b. Soit?(x)= 2x?x?1. Cette fonction est dérivable comme sommede fonc- tions dérivables et ??(x)= ln2ex ln2?1 et ???(x)= (ln2)2ex ln2 > 0. On en déduit le tableau de variations suivant : x 0 ? 1 ??? + + ?? ln2?1< 0 2ln2?1> 0 ? 0 0 0 Ce tableau montre que sur [0

  • probabilité qn

  • ih

  • écriture complexe de la similitude ?

  • simitude conservant l'alignement

  • ??

  • affixe

  • ???? hh?

  • ???

  • plan complexe


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Publié le 01 septembre 2007
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Langue Français

Extrait

Durée : 4 heures
[Correction du baccalauréat S Polynésie\ septembre 2007
EX E R C IC Epoints1 7 Commun à tous les candidats 1. a.Les courbes 2 et 3 ne vérifient pas P3. Par contre le courbe 1 semble représenter une fonction de (E) : en parti culier la courbe est sous la droitey=x. b.Une fonctionfde (E) érifie P3doncf(x)6x⇐⇒xf(x)>0. Comme 0<1,Ifreprésente l’aire de la partie du plan limitée par la courbe, la droite (D) et les droites d’équationx=0 etx=1. DoncIf>0. x xln 2xln 2 2. a.h(x)=21=e1. Cette fonction est dérivable eth(x)=ln 2e> 0 car les deux facteurs sont positifs : la fonctionhest donc croissante et vérifie P1. 1 h(0)=11=0 eth(1)=21=21=1. hvérifie P2. x b.Soitϕ(x)=2x1. Cette fonction est dérivable comme somme de fonc tions dérivables et xln 2 ϕ(x)=ln 2e1 et ′′2xln 2 ϕ(x)=e(ln 2)>0. On en déduit le tableau de variations suivant :
x0α1 ′′ ϕ + + 2 ln 21>0 ϕ 0 ln 21<0 0 0 ϕ
x Ce tableau montre que sur [0; 1],ϕ(x)60⇐⇒2− −1x60⇐⇒ x 216x⇐⇒h(x)6x. On a donc démontré quehvérifie la propriété P3, donc appartient à (E). Z Z· ¸1 1 1h i2x £ ¡¢¤x2 1 x xln 2 c.Ih=x21 dx=xe+1 dx= −+x= + 2 ln2 0 002 2 13 1 1− + =. ln 2ln 22 ln2 ½ c=0 3. a.Pvérifie P2a+b+c=1 Doncc=0 etb=1a. Pour toutxde l’intervalle [0 ; 1], 2 P(x)=a x+(1a)x. ′ ′ P(x)=2a x+(1a). Sur [0 ; 1], 2a x>0 et 1a>0, doncP(x)>0 : la fonctionPest croissante sur [0 ; 1].
P(0)=0 etP(1)=a+1a=1.Pvérifie P2.
2 2 – ConsidéronsP(x)x=a x+(1a)xx=a xa x=a x(x1). Commea>0, 06x61 etx160,P(x)x60⇐⇒P(x)6x. DoncPvérifie P3et finalementP(E)
Baccalauréat S
A. P. M. E. P.
Z Z· ¸1 1 12 3 £ ¤¡ ¢a xa x 2 2 b.IP=xa x(1a)xdx=a xa xdx= −= 0 02 3 0 a a a − =. 2 3 6 a63 1 c.IP=Ih⇐⇒ =− ⇐⇒a=9. 6 2ln 2ln 2
EX E R C IC E2 Commun à tous les candidats
4 points
1. a.On a A(3 ; 0 ; 0), C(0 ; 3 ; 0) et E(3 ; 0 ; 3). b.L barycentre du système {(C ; 2), (E ; 1)}⇐⇒2LC+LE=0   2×(x)+3x=0 1=x   ⇐⇒2(3y)+0y=0⇐⇒2=y. Donc L(1 ; 2 ; 1)   2(0z)+3z=0 1=z    0 1 −→   c.DL 2AE 0 et. 3 1    0 3 −→−→    2. a.AM0 .Or AM=AD+DM⇐⇒DM=AM+.DA 0M N 3a3a ³ ´ −→orthogonal à AEM NAE=0⇐⇒MD+DNAE=0⇐⇒ −3a× 3+b×3=0⇐⇒3ab=0. ³ ´ −→De mêmeM NDL=0⇐⇒MD+DNDL=0⇐⇒ −3×13a×1+ −→ b×1+2b×2+b×1⇐⇒ −33a+6b=0⇐⇒ −a+2b=1. D oncM N −→est orthogonal aux vecteurs AEet DLsi et seulement si le couple (a,b) ½ a+2b=1 vérifie le système 3ab=0 ½ ½ a+2b=1a+2b=1 1 b.⇐⇒ ⇒5a=1⇐⇒a=, puis 3ab=0 6a2b=0 5 3 b=. Ce système a un seul couple solution. 5 ¡ ¢ 3 Il existe donc un seul point M0et un3 ; 0 ;de (AE) de coordonnées 5 ¡ ¢ 3 6 3 seul point N0tels que la droite (Mde (DL) de coordonnées; ;0N0) 5 5 5 est orthogonale aux droites (AE) et (DL). µ ¶µ ¶ 2 2 6 6144 36180 36 2 2 c.On calcule M0N= −3+ +0= == +. 0 5 525 2525 5 p 6 5 Donc la distance (la plus courte) entre (AE) et (DL) est égale à. 5
EX E R C IC E3 Commun à tous les candidats
Polynésie
2
4 points
septembre 2007
Baccalauréat S début dedébut de
◦ ◦ l’annéen0 l’annéen1
0, 6A1
A0B1 0, 3 0, 4 0, 1 C1
0, 3A1 0, 41 1. B0B1 0, 6 0, 1 C1 0, 19 1 C0C1
A. P. M. E. P.
2. a.On ap1=p(A0A1)+p(B0A1)=0, 4×0, 6+0, 41×0, 6=0, 24+0, 123= 0, 363. De même on calculeq1=p(A0B1)+p(B0B1)=0, 4×0, 3+0, 41×0, 6= 0, 12+0, 3246=0, 366. Etr1=p(A0C1)+p(B0C1)+p(C0C1)=0, 4×0, 1+0, 41×0, 1+ 0, 19×1=0, 04+0, 041+0, 19=0, 271. On vérifie que 0,363+0, 366+0, 271=1, 000
0, 6A
AnB 0, 3 pn 0, 1 C
0, 3A qn b. BnB 0, 6 0, 1 C rn 1 CnC En reprenant les deux premières branches en remplaçant A par An(avec une probabilitépnd’y arriver) et B par Bn(avec une probabilitéqnd’y arriver), on obtient ½ pn+1=0, 6pn+0, 3qn qn+1=0, 3pn+0, 6qn 3. a.Sn=qn+pndoncSn+1=qn+1+pn+1=0, 3pn+0, 6qn+0, 6pn+0, 3qn= ¡ ¢ 0, 9qn+0, 9pn=0, 9qn+pn=0, 9Snce qui montre que la suite (Sn) est une suite géométrique de raison 0,9 de premier termeq0+p0=0, 81. De mêmeDn=qnpn, doncDn+1=qn+1pn+1=0, 3pn+0, 6qn¡ ¢¡ ¢ 0, 6pn+0, 3qn=0, 3qn0, 3pn=0, 3qnpn=0, 3Dn. Donc (Dn) est une suite géométrique de raison 0,3 de premier termeq0p0=0, 01.
Polynésie
3
septembre 2007
Baccalauréat S
n n b.On sait queSn=(0, 9)S0=(0, 9)×0, 81. n Or lim 0,9=lim0, doncSn=0. (car1<0, 9<1). n→+∞n→+∞ Même limite pour la suite (Dn). ½ n Sn=qn+pn=0, 81(0, 9) c.On a : n Dn=qnpn=0, 01(0, 3) On en déduit par différence et par somme : 1 pn=(SnDn) 2 1 qn=(Sn+Dn) 2 On a donclimpn=0 etlimqn=0. n→+∞n→+∞ D’après la loi des probabilités totales on en déduit que
limrn=1. n→+∞
A. P. M. E. P.
Cela signifie qu’à longue échéance il n’y aura plus que des plantes du type C (ce qui semble normal puisque seules cellesci se remplacent, alors que celles du type A et B se raréfient.)
EX E R C IC E4 Commun à tous les candidats
5 points
Pour cet exercice, les figures correspondant aux parties A et B sont fournies sur la feuille jointe en annexe . Cette feuille ne sera pas remise avec la copie. ³ ´ Le plan complexe est rapporté à un repère orthonormal directO,u,v. On considère un triangle OAB et une similitude directeσde centre O, de rapport 2 et d’angleθ. Soit : ′ ′ et B , images respectives des points A et B par la similitudeles points Aσ; ′ ′ les points I, milieu du segment [AB] et J, milieu du segment [A B] ; le point M milieu du segment [AA ] ; Je point H, projeté orthogonal du point O sur la droite (AR) et le point Himage du point H par la similitudeσ.
Partie A. étude d’un exemple Dans cette partie, le point A a pour affixe6+4i, le point B a pour affixe 2+4i, et le point H, projeté orthogonal du point O sur la droite (AB), a donc pour affixe 4i. 1π La similitudeσet d’angleest la similitude directe de centre O, de rapport. 2 2 i 1.L’écriture complexe de la similitudeσestz=z. 2 i On a doncz=(6+4i)= −23i. A 2 i z=(2+4i)= −2+i. B 2 i z=(4i)= −2. H 2 µ ¶ i 5i 2., JI a pour affixe4+. 2 2 −→−→ L’affixe du vecteur IJest donc (4+2i) et celle du vecteur HH(24i). −→−→ On a donc IJHH=(4)×(2)+2×(4)=88=0, ce qui montre que ces vec teurs sont orthogonaux et donc que (IJ) est perpendiculaire à la droite (HH ).
Partie B. étude du cas général
Polynésie
4
septembre 2007
Baccalauréat S
A. P. M. E. P.
1. a.On sait que (OH)(AB) : la similitude conservant les angles, on en dé ′ ′duit que (OH )(A B ). D’autre part une simitude conservant l’alignement : ′ ′H(AB) entraîne que H(A B ). ′ ′Conclusion : le point Hest le projeté orthogonal de O sur la droite (AB ). b.Dans le triangle AA B la droite (MI) est la droite des «milieux » : donc 1MI=AB . 2 1−→ ′ ′ On admet que MJ=. (même théorème)A B 2 ′ ′ MJ AB c.On en déduit que= =2 (rapport de la similitude). MI AB ′ ′OH AB Or on sait d’après la question précédente que= =2 ;donc fi OH AB MJ OH nalement=. MI OH ′ ′ D’autre part (MB) étant parallèle à (AB) et (MJ) parallèle à (A B ), on a ³ ´³ ´³ ´ −→ ′ ′MI ,MJ=A BAB ,=2OH ,OH àkπ, près. ³ ´³ ´ → −−→−−→−→ Donc finalementMI ,MJ)=OHOH ,+2kπ,kZ. 2.On considère les points M, I et J et leurs images respectives O, H et K pars. MJ OK OH a.On a= =(d’après la question précédente) ; donc OK= OH. MI OHOH ³ ´³ ´³ ´ −→ De mêmeMI ,MJ=OKOH ,+k×2π,kZ=OH ,OH+k× 2π,kZ=θ+k×2π,kZ. b.est le point K, donc l’image du point J par laOn en déduit que le point H similitudes. ³ ´ −→−→ 3.est égal à l’angle de la similitudeL’angle IJ, HHs; il en est de même pour ³ ´ l’angle MI, OH. ³ ´³ ´ −→−→Donc IJ, HH=OHMI ,+k×2π,kZ. ³ ´³ ´ −→−→Montrer queIJ , HH=MI ,OH+k×2π,kZ. On a vu que (OH)(AB) et que (MI) est parallèle à (AB), donc (MI) est per π pendiculaire à (OH). L’angle de la similitudesest donc égal à. 2 D’après l’égalité cidessus la droite (IJ) est donc perpendiculaire à la droite (HH ).
Polynésie
5
septembre 2007
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