Iprescntcc» to Z\)c Xibrar^ of tbc TllntverôUç ot îToronto bB Mrs. D. C. Meyers ,€St; prononceron ne le pourra qu'à la condition de e.t est comme s'il avaitcomme s'il avait e, et è.y y trouverez cette formeToutes les fois que vous orlbographique à la fin d'un mot, n'hésitez pas : :prononcez comme s'il avait accent gravey [è) Objet, sujet, projet, etc. Ohjè, sujè, projè, etc. La voyelle simple / n'a pour moi qu'un seul Vison. Il est plus soutenu, plus prolongé, quand surmonté d'un accent circonflexe, mais c'estest réalité le même son : image, abîme se pronon-en cent de même; soutenez un peu le son de Vi dans abîme, voilà tout. La voyelle simple o a deux sons : Brève dans : notre livre. Longue dans : ce livre est le nôtre. dansBrève : adorer, croquer, se moquer. Longue dans : trône, hôtelier, etc. La forme orthographique au doit toujours se prononcer comme s'il avait ô (accent circon-y flexe), cela est très important, et l'on a souvent 30 L'ART DE BIEN DIRE. à reprendre les élèves sur ce point : autre (ôtre), aucun [fjcun), —auspice [ôspice). Prononcez d'au- tant plus nettement an long- dans ce mot qu'il est nécessaire de le distinguer du mot hospice, qui se prononce bref. La forme orthographique eai/x se prononce toujours comme s'il avait ô (accent circonflexe)y ; la forme os se prononce tantôt brève : osciller, ostentation, etc.; tantôt longue : chose, oser, osse?ne?its, etc. Je dirai pour la voyelle simple ti ce que j'ai dit de Vi. Elle n'a qu'un son.
Iprescntcc» to Z\)c Xibrar^ of tbc TllntverôUç ot îToronto bB Mrs. D. C. Meyers< DIREBIENDEL'ARTDU MEME AUTEUR Principes de Diction, i vol. in-iS 2 fr.TTL'ART DK BIEN DIRE (PRINCIPES ET APPLICATIONS) H. dupont-vp:rnon tl)c la Comcdie Française) I.ICENCIIC EN DROIT, OFFICIER DE l'iNSTRUCTION PUBLIQUE PROFESSEITR AGRÉGÉ AU CONSERVATOIRE TROISIEME EDITION / Si- PARIS PAUL OLLENDORFF, ÉDITEUR 2<S bis, RUE DE RICHELIEU, 2.S bis 1888A LA MEMOIRE DE MON CHER ET VÉNÉRÉ MAITRE REGNIER