Votremain bienfaisante et sûre Afermé plus d’une blessure. Partoutvotre art consolateur Semble porter la vie et chasser la douleur : Hélas ! il en est une à vos secours rebelle, Etje dois mourir avec elle. Je n’ai pas d’autre mal ; mais il fera mon sort. Jugezsi ce mal est extrême ! Jele crois , pour votre art lui-même, Plusinvincible que la mort.
Son empire est au cœur, ses tourments sont à l’âme ; Ses effets sont des pleurs, sa cause est une flamme Qui dévore en secret l’espoir de l’avenir ; Etce mal est un souvenir.