V r. I D E E J. ROUSSEAU. V J. J. I D E E ROUSSEAU, au. Precedee de qudqats Lettres relatives memc Je prendrai toujours pour la Jujet verm une hypocrifis qui f lei foutieut pendant la vie entiere, paffions & qui refifte a toutes &a toutes les tentations. Vit de /. /. RovSSEAtr* Par M. le Comte DE BARRUEL-BEAUVERT; A ET fc LONDRES, k trouve PARIS , chez tous les Marchands de Nouveaut^s. 1789. 3 THE. TOUT perm Cr 1 ct qiion imprimt de philofophlque , avCC eft /Tion, mutile par un cenfeur royal, lorfqii dfort des mains dc Fimprimeur , fans // qu on ait appror.ve, \ ejl nmpli de fames typograejl phiques cet ^alternative crudlc , mais fauteur de , ouvrage n a pas cru devoir balancer efperant <jue hs notes quit renfirmt ne deplairont point aux J. J. admirateurs dt Roufleau , & qifilsfauront bien 1 rectifier Usinccrreclicn" portees dans errata. I < o _J 1^^^^^^^^^^^^^^^^^ - PREFACE. JEAN- JACQUES ROUSSEAU point de academie francaife, & 1 ne 1 fuc abfence d un fi eel fleuron cut depare fa couronne, celle des Moliere la , Rcgnard, Baylc , , J. B. Roujjeau, Mothc-Lc vaycr Piron, Diderot, avait etc autrement faice; mais cetre anologie 1 a priv6 des honneurs aca- d^miques ...
V
r.
I
D
E
E
J.
ROUSSEAU.
V
J. J.
I D E
E
ROUSSEAU,
au.
Precedee de qudqats Lettres relatives
memc
Je prendrai toujours pour la
Jujet
verm une
hypocrifis qui f
lei
foutieut pendant la vie entiere,
paffions
& qui refifte a toutes
&a
toutes les tentations.
Vit de /. /. RovSSEAtr*
Par M.
le
Comte DE BARRUEL-BEAUVERT;
A
ET
fc
LONDRES,
k
trouve
PARIS
,
chez tous les
Marchands de Nouveaut^s.
1789.
3 THE.
TOUT
perm
Cr
1
ct
qiion imprimt de philofophlque , avCC
eft
/Tion,
mutile par
un
cenfeur royal,
lorfqii
dfort des mains dc Fimprimeur , fans
//
qu on
ait
appror.ve,
\
ejl
nmpli de fames typograejl
phiques
cet
^alternative
crudlc
,
mais fauteur de
,
ouvrage n a pas cru devoir balancer
efperant
<jue
hs notes quit renfirmt ne deplairont point aux
J. J.
admirateurs dt
Roufleau
,
& qifilsfauront bien
1
rectifier Usinccrreclicn"
portees dans
errata.
I
<
o
_J
1^^^^^^^^^^^^^^^^^
-
PREFACE.
JEAN- JACQUES ROUSSEAU point de academie francaife, &
1
ne
1
fuc
abfence
d un
fi
eel
fleuron cut depare fa couronne,
celle
des Moliere
la
,
Rcgnard, Baylc
,
,
J.
B. Roujjeau,
Mothc-Lc vaycr Piron,
Diderot, avait etc autrement faice; mais
cetre anologie
1
a priv6 des
honneurs aca-
d^miques
:
honneurs que Ton a magnifia tous les aucres.
,
quement decernes
Les eloges des Montefquicu
Voltaire
,
& Akmbert,
meme
de
1
abbe de
,
MaUi
t
du marquis de Pompignan
propofes pour
le
&c.
,
one ece
d elo-
fujec d un prix
quence
;
les
medailles one etc prodiguees;
on
leur a erige des ftarues au
;
Louvre
le
,
a la
Comedie, &c
ccpendant,
fa
philofophe
Roufleau n a obtenu apres
niorr ni clogs
Aiij
(6)
acade mique,
ni
flatue
Que
feul
dis-je?
Des mains impies
(& qu on
avaient encrepris
le
de
profaner, de mutiler
monument
!...
qu
il
a eu
n a pu lui refufer)
il
temoignagc authcntique qu
evn: v dre les perfections
n a point
qu
il
efluya pen-
danc
fa vie.
M.
Palijfbt, qui ne
,
s eft
jamais piqu^
fait
i
de favoir louer
a
,
malgre cela,
(
une
efpece d leloge de Jean-Jacques
la
)
;
&
(i
tache que
je
me
fuis
:
impofe e n
etaic
auffi
grave,
jc dirais
Ne
vous femble-t-il pas voir
le
diable
Que Dieu
force a louer les faints.
(
i
)
Ce
pretendu
eloge avoit
le
etc
modeftement
enfeveli, en 1779,
dans
quatorzieme volume du
glorieufement exhume
Negrologe
dans
le
,
&
il
fut
enfuite
feptieme
volume
des (Euvres de
M.
Paliffot^
qui fe rend bien juflice en ecrivant a un de fes amis.
Void comment
reproche au
il
fe difculpe
de
la
feverite
qu on
lui
fujet
de ROUSSEAV
:
nayant pas