Revue des périodiques  ; n°73 ; vol.16, pg 599-606
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Revue d'histoire de l'Église de France - Année 1930 - Volume 16 - Numéro 73 - Pages 599-606
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Publié le 01 janvier 1930
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Revue des périodiques
In: Revue d'histoire de l'Église de France. Tome 16. N°73, 1930. pp. 599-606.
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Revue des périodiques. In: Revue d'histoire de l'Église de France. Tome 16. N°73, 1930. pp. 599-606.
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/rhef_0300-9505_1930_num_16_73_2561DES PÉRIODIQUES REVUE
Bibliothèque de l'Ecole des chartes. Année 19©9. .
J. Estienne : Charte de saint Geoff roi, évêque d'Amiens <iliO5-ill%),
p. 3<7-5'01. Etude critique de trois charte» de ce .prélat conservées respect
ivement aux archivés de la Côte-d'Or, du Nord et de la Somme.
Ferdinand Lot : U état des paroisses et des feux de 1328, p. 51-liO7,
25'6-<315. Déjà étudié par Dureau de la Malle, Bôrelli de Serres et Levas-
sèuir, le Relevé des paroisses et des feux de 13Û8 a été injustement prôné
ou méprisé. Pour permettre d'estimer (le chiffre de la population fran
çaise, à cette époque iffl fournit non un total précis mais1 un ordre de
grandeur d'après lequel: )M. Lot attribue un peu plus de 281 millions d'ha
bitants auix 3!2v5©0 paraisses du royaume de France.
Louis de Grandmaison : La maison de Jeanne d'Arc à Tours, p. ÎWJ-IÎJS.
Jean Duipuy, seigneur des Roches-Saint-Quentin et conseiller d'Yolande
d'Aragon, reine de Sicile, fut l'hôte de Jeanne d'Arc en V4&9. Huit ans
après, iill possédait rue des Carmesi une maison sur l'emplacement de
laquelle fut construit au xvn? siècle l'hôtell Robin-Quantin. C'est donc
là que, selon toute vraisemblance, séjourna Jeanne d'Arc, en avril 1429.
André Gourtet.
Bulletin philologique et historique (jusqu'à 1715) du Comité des travaux
historiques et scientifiques.
Années 192e et I'9!2i7. Paris, E. Leroux, 19!2». In-»0.
iHeniri Boone : Le protestantisme à Saint-Hilaire-sur-Autise, p. 38-93.
Importante monographie des luttes religieuses locales1 qui se déroulèrent
dans l'actuel chef-lieu de canton vendéen de Saint-lHilaire-des-Loges,
depuis 1*540 environ jusqu^à la Révolution. Saint-H'ilai're fut un des pre
miers centres poitevins qui' ipaissièpent au protestantisme. Son temple
resta loingtemps1 ouvert et son histoire ipeut être reconstittuée. assez eom-f
plètement. M. Boone l'a bien exposée. 1° Conquête protestante, amenant
ila guerre civile dans le pays. iLe culte catholique est interrompu de
1(569 à 1679. Les ipartis se calment en 1576, mais la situation demeure
trouble pendant toute la fin du xvi® siècle. 2° Paix d'Henri IV : pen
dant les premières années du xvïi*, à ta faveur de ila pa:x réelle organisée
par l'édit de Nantes, le catholicisme reprend pied. Le pays s'épuire.
La iprosipéirité léconomique renaît. $° La reconquête catholique. Grâce
à une conitre^piropagande actiive l'influence protestante est arrêtée. Un
conflit se produit encore en V&23, mais, après 1630, le triomphe catholique
est certain. En li&34, le temple est démoli et dès lors le protestantisme
n% cesse de rétrograder. Il ne reste aujourd'hui que quelques famiiWés
protestantes dans le pays. En appendice, listes des curés et des pasteurs
de Saint-iHilaire. ^ ....... RKVUK D'HISTOIRE I)K l'ÉGLISE DE FRAXCÉ (ifl()
René Aigkain : Le voyage de sainte Radegonde à Arles, p. 11 9-1 27.
Ce voyage a été attesté par Grégoire de Tours <///*•/. Franc, <x, 4|(>>. Que
vaut ce texte ? Certains, documents, notamment une lettre de l'abbesse
Césarie à Richilde et à Radegonde {M. G. IL, Epislolae, III, 450-3 , parais
sent infirmer l'assertion de Grégoire. Faut-il voir une interpolation ?
Ce n'est pas nécessaire, car la ilettre de Césarie ne présente pas des
garanties absolues d'authenticité. Le doute est favorable à Grégoire.
Pierre iMonsabkht : Le « testament » de sainte Radegonde, p. 12i9-l(34.
Essai1 de reconstitution d'un document du xm'1 siècle conservé jusqu'à
la lin du xvin* siècle à l'abbaye de Sainte-Croix et aujourd'hui perdu. i/' datant du vr' à la fin du pièces Il contenait, sous forme de rouleau,
xn'* la première étant une lettre de sainte Radeigonde. Grâce à des siècle,
copies partielle s anciennes le document peut être reconstitué avec cer
titude. Dom Alonsabert critique aussi la valeur de ces pièces.
F. Blanquart : Enquête canonique au sujet de l'élection de Jean
Balue à Véuêché d'Evreux, p. 177-203. L'élection avait eu lieu le 4 fé
vrier 1463. Les circonstances en ont été conservées dans quelques docu
ments aujourd'hui aux Archives de la Seine-Inférieure dans le fonds de
l'archevêché de Rouen. Le siège d'Evreux était en effet sutîragant de la
métropole normande. L'enquête canonique tut menée par Jean de Gisors.
M. Bl,anquart en publie le texte in-extenso. ainsi que celui de deux
autres pièces relatives à la même affaire.
Philippe Laukr : Les actes carolingiens suspects de l'abbaye de La
Grasse conservés à la Bibliothèque nationale, p. 219-2S21, 3 pi. Ces docu
ments sont contenus dans le manuscrit Jatin 8837 \vol,. 390 de la collec
tion Baluze) et comprennent deux diplômes de Charles le Chauve et uu
diplôme de Charles le Simple. Leur authenticité a été suspectée par
Auguste i\f old nier. M. La lier a établi que si l'un des deux actes de Charles
le Chauve n'est qu'une copie figurée, le second est un original, de même
que le diplôme de Charles le Simple. II publie le texte de ce dernier
accordé à l'abbé Witiza ('3 nov. 90<8;>.
A. Vioier et H. Courteault : Chronique des archives départementales,
années 1926 et 1927, p. 247-4|64. Etat sommaire des accroissements des
dépôts d'archives de province. 11 a été exceptionnellement important en
raison des versements .provoqués par la réforme administrative de 1926
qui a supprimé un certain nombre de sous-préfectuires et de tribunaux
de première instance.
Emile- A. Van iMoé.
Bulletin archéologique du Comité des travaux historiques et scientifiques.
Année 1927. Paris. E. Leroux, 19*28. In-8°.
F. Deshoulières : Les trompes des coupoles romanes en France,
p. 367-378, pi. VII-IX. Etude de géographie monumentale. La trompe
est il' un des deux .procédés architectoniques) utiiliscs pour reilier une
coupole de ,pkiii circulaire ou polygonal à un étage de plan rectan
gulaire. L'autre procédé est le pendentif. Plus récentes en France qu'en
Italie, les trompes n'apparaissent qu'au xre sièdle. Dans la région des
églises à coupoles, c'est surtout à l'Est et au Nord que se rencontrent
les 'trompes. iMais il est impossible d'être absolu. On ne peut faire d;es
trompes un caractère distinetif d'école. Tout au plus peut-on noter que
dans la région du Vaucliuse et de la Urôme, les trompes sont assez
souvent ornées, notamment des symboles des évangélistes.
) DES PERIODIQUES 6Ô1 ftÊVUE
EMtsa Maillard : La façade de l'église de Sainte-Eulatie de Benêt en
Bas-Poitou, p. 3'7©-<3®5, planche X. Bref historique de ce petit édifice de
Vendée. A Fume dies deux baies aveugles de chaque côté de la porte on
reconnaît la statue de Constantin. Aux fenêtres du premier étage, sujet®
tirés de la Genèse. La physionomie de la façade a été altérée par l'addi
tion de contreforts gothique*.
François Eygun : Un thème iconographique' commun aux églises roma
nes de Parthenag et au sceau de ses seigneurs, ,p. 3187-390. Personnage
à cheval -saur un lion. Scène de la me de David' ou de celile de Samson ?
Mi. Eygum ne se prononce pas et se borne à rapprocher un sceau d'ara
type de sculpture.
•G. E. Williams : Quelques sculptures de l'église de Vaux-en-Couhé,
p. 3&1-3I9(5, pi. XI-XIII. Petite eglii.se du xue siècle, dams le département
de la Vienne. Elle renferme d'intéressants chapiteaux dont Miss Williams
essaie avec imagination d'interpréter les représentations obscures.
M'airAu's Ghaiidlan : L'église de Sainte-Madeleine avec son inscription
bilingue, son bac et pont, à Mirabeau (Provence), p. 307-4'Oi5, pi. XIV-XV.
L'inscription donne, dans sa partie latine, la d

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