Revue des Périodiques  ; n°95 ; vol.22, pg 268-279
13 pages
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Revue d'histoire de l'Église de France - Année 1936 - Volume 22 - Numéro 95 - Pages 268-279
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Publié le 01 janvier 1936
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Langue Français

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Revue des Périodiques
In: Revue d'histoire de l'Église de France. Tome 22. N°95, 1936. pp. 268-279.
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Revue des Périodiques. In: Revue d'histoire de l'Église de France. Tome 22. N°95, 1936. pp. 268-279.
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/rhef_0300-9505_1936_num_22_95_2770REVUE DES PÉRIODIQUES
60e année. Tome Revue CLXXV, historique. 1935. Paris, Alcan.
Henri Hauser : Bulletin historique : Histoire de France (lb98-î660)f
p. 41-63. Les ouvrages mentionnés (p. 54-59) intéressent particulièr
ement l'histoire religieuse avec Catherine de Médicis et la conversion de
Henri IV.
G. Lefebvre : Bulletin historique : Histoire de la Révolution et de
l'Empire, p. 253-256. Études locales concernant l'histoire religieuse du
département du Nord, du Quercy, de la Lorraine, du diocèse de Metz,
de la Haute-Saône, de la Bretagne.
Louis Bréhier : Histoire byzantine (1930-193Ï), p. 506-546. Sous des
rubriques diverses, ouvrages consacrés à l'histoire de Byzance, et dont
plusieurs traitent de questions intéressant religieuse : Quer
elle des Images, rapports de Byzance avec Rome, sources et influen
ces de l'art bj'zantin.
Robert Latouche : Histoire du Dauphiné, p. 546-570. Revues, publi
cations et bibliographie des ouvrages relatifs au Dauphiné concernant
tout spécialement les origines chrétiennes, l'histoire monastique et la vie
religieuse sous l'Ancien Régime et la Révolution (p. 551-560).
Cécile Roudil.
Revue des Questions historiques.
61e-63e années (tomes 118-123), 1933-1935. Paris, 32, avenue Marceau.
Jean Collot : la Franc-Maçonnerie en 18k8, t. 118, p. 295-310. La
révolution de 1848, préparée de longue date par les sociétés secrètes et
le carbonarisme, ne fut qu'une « résultante locale » du mouvement
libéral international soutenu et dirigé par la Franc-Maçonnerie. Celle-ci
concilia les tendances des modérés, qui demandaient une réforme élec
torale, et celles du peuple qui, réduit au chômage et à la misère, par
suite de la crise économique née du développement de la grande indust
rie, réclamait une révolution sociale. La révolution politique de février
réussit: la royauté en fit tous les frais. La sociale, qui aurait
abouti au communisme, était prévue pour le mois de juin; on peut
attribuer son échec à la réaction religieuse qui, depuis 1840, sous l'im
pulsion de Lacordaire et d'Ozanam, avait ramené une partie des Franç
ais à la doctrine évangélique.
Pierre de La Gorge : Un grand évêque en un grand diocèse. Le cardinal
Régnier (Î850-Î881), t. 119, p. 548-559. Dans ces pages qui constituent
son dernier article, Pierre de La Gorce fait revivre quelques-uns de ses
souvenirs d'enfance et de jeunesse en évoquant des .figures de prêtres
ou de laïcs qu'il a bien connus : Mgr Régnier, prélat très autoritaire,
mais « pasteur actif, zélé, ardent à promouvoir l'œuvre de Dieu », sous
l'épiscopat duquel le diocèse vit se multiplier les collèges diocésains et
les congrégations enseignantes de femmes ; l'abbé Charles Bernard, vi
caire général ; l'abbé Monnier, qui devint auxiliaire, « vrai chef du dio
cèse de Cambrai » sous les successeurs de Mgr Régnier; les abbés Hau-
tecœur, Dehaisnes et Cardon, professeurs au collège Saint-Jean, enfin REVUE DES PÉRIODIQUES 269
Philibert Vrau, fîltier, qui consacra sa vie et sa fortune à la fondation
des œuvres de la ville de Lille.
A l'occasion de l'exposition de la Passion, une série d'articles consa
crés à ce sujet a paru sous le titre général : Histoire de la Passion dans
l'art français. Voici les titres de ces articles : Paul Deschamps, l'Exposi
tion de la Passion à la Sainte-Chapelle et au Trocadéro (193b), t. 120,
p. 1-8. — Marcel Aubert, Saints-Sépulcres et Saintes-Chapelles, p. 9-13.
— Paul Vitry, les Images de la Passion dans la sculpture française,
p. 14-22. — R. Héron de Villefosse, la Passion dans la peinture primit
ive française, p. 23-35. — Max Terrier, la Passion dans la peinture
française au xvne et au xvm6 siècle, p. 36-45. — Jacques de Laprade,
la Passion dans la peinture française aux xixe et xxe siècles, p. 46-50. —
Chanoine Ch. Urseau, la Passion dans l'art de la tapisserie française,
p. 51-60. — Nicole Verlet-Réaubourg, la Passion dans les vitraux fran
çais, p. 61-67. - — Robert Brun, la PasÈion dans le manuscrit et le livre
français du xvie siècle, p. 68-74. — Pierre Verlet, la Passion dans les
ivoires français, p. 75-83. — Louis Villat, la Passion dans la poésie
française, p. 84-92. — Etienne Gilson, la Passion dans la pensée fran
çaise du Moyen Age, p. 146-158.
Pierre Salmon : la Vie de Dom Claude Martin, t. 121, p. 198-207. Dom
Claude Martin, fils de Marie de l'Incarnation, est un des religieux qui
firent le plus honneur à la Congrégation de Saint-Maur. Né en 1619, il
prononça ses vœux monastiques en 1642, gouverna plusieurs monastères
et fut successivement assistant du supérieur général, grand-prieur de
Saint-Denis, prieur de Marmoutier et président du chapitre général. Sa
biographie, écrite par Dom Martène, fut publiée en 1697. La découverte
du manuscrit autographe a révélé que cette édition, faite contre la vo
lonté des supérieurs de Saint-Maur et condamnée par eux, n'était pas con
forme au manuscrit, mais avait été corrigée dans le dessein de ménager
des susceptibilités. Les passages concernant les Jésuites, — qui avaient
refusé à Dom Claude Martin l'entrée de leur Compagnie, — ceux qui
ont trait à Nicole ou qui rapportent les différends survenus entre les
Bénédictins et la Cour ont été supprimés. Une nouvelle édition, annot
ée, de la « Vie du Vénérable Père Dom Claude Martin » apporterait
une contribution intéressante à l'histoire des querelles religieuses du
xvii* siècle.
R. P. Paul Dudon : Correspondance inédite entre Lamennais et le
comte de Senfft (1819-1825), t. 122, p. 56-72, 255-275. Le comte de Senfft,
homme politique et diplomate, passé de la cour de Saxe à celle d'Au
triche après la bataille de Leipzig, abjura le protestantisme le 20 fé
vrier 1819. Dès cette époque s'établit une correspondance suivie entre
Lamennais et la famille de Senfft. La plupart de ces lettres ont été
éditées. Parmi les cent soixante qui sont encore inédites, le Père Dudon
en choisit vingt-cinq qui compléteront ce que l'on sait des idées politi
ques de Lamennais, son opposition au gouvernement de M. de Villèle et
de sa collaboration au « Drapeau blanc ».
Emile Apollis : Jean-Joachim Gausserand, évêque constitutionnel du
Tarn (17W-1820), t. 122, p. 148-178. J.-J. Gausserand, curé de l'église
Saint-Jean de Rivières et député du Clergé aux États généraux de 1789,
fut élu évêque du Tarn, le 14 mars 1791, par les citoyens composant l'a
ssemblée électorale du département. Le nouveau diocèse, constitué en
vertu de la Constitution civile du Clergé, comprenait les anciens diocè
ses d'Albi, de Castres et de Lavaur et quelques paroisses des diocèses
de Montauban et de Toulouse. Cet article, très substantiel, donne d'à- REVUE D'HISTOIRE^ DE L'ÉGLISE DE FRANCE 270
bondants détails sur l'administration de l'évêque constitutionnel et sur
l'opposition qu'il rencontra tant de la part du clergé réfractaire et de
la majorité des fidèles que de celle des trois évêques légitimes : le car
dinal de Bernis, Mgr de Royère, Mgr de Castellane, et du coadjuteur
d'Albi, Mgr François-Pierre de Bernis. Gausserand dut donner sa démis
sion à la suite du Concordat de 1801. Il se retira à Toulouse où il mour
ut, le 12 février 1820, probablement réconcilié avec l'Église, puisqu'on
lui accorda la sépulture ecclésiastique. (L'auteur a fait paraître, en 1935,
un ouvrage consacré à ce personnage.)
Charles Chesnelong : Correspondance (1861-1866), t. 123, p. 87-102, Chesnelong, membre du Corps législatif à partir de 1865, obli
gea le gouvernement à se prononcer en faveur du maintien de la souve
raineté temporelle du pape. On trouvera dans sa correspondance, éditée
par les s

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