Généralités. Théories. Lois psychologiques. Processus physiologiques. - compte-rendu ; n°1 ; vol.37, pg 587-603
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Généralités. Théories. Lois psychologiques. Processus physiologiques. - compte-rendu ; n°1 ; vol.37, pg 587-603

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Description

L'année psychologique - Année 1936 - Volume 37 - Numéro 1 - Pages 587-603
17 pages
Source : Persée ; Ministère de la jeunesse, de l’éducation nationale et de la recherche, Direction de l’enseignement supérieur, Sous-direction des bibliothèques et de la documentation.

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Publié le 01 janvier 1936
Nombre de lectures 27
Langue Français
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Extrait

a) Généralités. Théories. Lois psychologiques. Processus
physiologiques.
In: L'année psychologique. 1936 vol. 37. pp. 587-603.
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a) Généralités. Théories. Lois psychologiques. Processus physiologiques. In: L'année psychologique. 1936 vol. 37. pp. 587-
603.
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/psy_0003-5033_1936_num_37_1_5454VISION MOTRICIT OCULAIRE 587
pas satisfaisante la labilité du phénomène et sa nature binauriculaire
permettant de supposer que la diminution de sensibilité est due
intervention de certains facteurs corticaux autre part exis
tence de la désinhibition inhibition de inhibition de Pavlov
est encore une preuve il ne agit pas une fatigue auditive
mais plutôt une surdité expérimentale ou une inhibition
auditive
VISION MOTRICIT OCULAIRE
Généralités Théories Lois psychologiques Processus physiologiques
986 CH FABRY Vision in optical instruments La vision dans
les instruments optiques Proceedings of the Physical Society
XLVIII 1936 747-762
Dans cette conférence Thomas Young résume les données
relatives introduction du point de vue visuel dans étude théo
rique des caractéristiques des instruments variations du niveau
de brillance et du contraste ainsi que de ouverture pupillaire
Trois variables relatives aux fonctions oculaires doivent donc inter
venir Une pupille artificielle peut donner la troisième certaines
valeurs étude des deux autres peut être faite au moyen un
test dont on variera volonté la brillance et le contraste
En employant des disques tournants anneaux clairs et foncés
les anneaux foncés ayant sur le fond clair ou blanc un contraste
dépendant de étendue angulaire des secteurs anneaux utilisés
engendrant du fait de la persistance au cours de la rotation des
anneaux entiers) la brillance est réglée par éclairement du disque
avec grande marge obtenue par des sources intensité différente le
jeu un diaphragme sur diffuseur et introduction de filtres absor
bants verres de Tscherning)
Les recherches poursuivies Institut Optique de Paris par
Arnulf et non encore publiées sont résumées par des schémas
pour leurs résultats essentiels
Le pouvoir séparateur en minutes est suivi pour une série de
valeurs de contraste de 002 en fonction de ouverture pupil
laire les courbes sont données avec des brillances de 148 IO-3 de
12.IO5 et de 10 par centimètre carré
haute brillance environ 015 stilb correspondant un diffuseur
blanc recevant 400 footcandles) avec le contraste pratiquement
maximum le pouvoir séparateur est constant pour toute pupille
de diamètre supérieur mm et diminue vite au-dessous de mm
Avec des contrastes plus faibles allure est la même avec un pouvoir
moindre En faible contraste 002 le pouvoir séparateur est optimum
pour un diamètre mm et diminue plus lentement pour les
grandes ouvertures sa valeur maxima IO au lieu I étant dix
fois plus basse avec le contraste égal très faible brillance
le pouvoir séparateur croît mm. limite des mesures avec 588 ANALYSES BIBLIOGRAPHIQUES
le diamètre pupillaire avec le contraste maximum le plus grand
pouvoir est environ 80 fois plus faible en fort éclairement et
pour un contraste fois moindre 02) angle limite est environ
180
Les résultats sont en désaccord avec ceux que permettrait de
prédire la théorie de la diffraction pour un instrument parfait négli
geant brillance et contraste accord valant seulement avec des
pupilles très petites une grande brillance et un fort contraste
Des recherches de Arnulf il sera possible de déduire le
pouvoir séparateur réel de fa on très complète en fonction des
trois variables et on peut en prenant deux valeurs constantes
suivre très exactement la variation en fonction du troisième terme
Par exemple avec une ouverture de 054 et une brillance assez
élevée de 001 b./cm2 angle limite diminue au fur et mesure que
croît le contraste avec une allure hyperbolique
énorme désaccord entre les propriétés de il et les prédictions
de la théorie de la diffraction est recherché du côté des observations
du système optique de il et du pouvoir résolutif imparfait de la
rétine la photographie donnant un cas analogue
Envisageant un instrument parfait images en accord avec la
théorie de la diffraction sans absorption ni diffusion) montre
comment varie le pouvoir séparateur en fonction du diamètre de la
pupille de sortie de instrument la pupille de il supposée fixe
de 405 mm de diamètre pour il supposé parfait et pour il
réel après les données précédentes Avec il parfait
mm de diamètre de la pupille de sortie le pouvoir séparateur
resterait fixe pouvoir exprimé en angle spécifique mm minu
tes de valeur baissant au delà assez lentement pour il réel
il un optimum pour un diamètre mm et angle limite élève
rapidement de part et autre
Ces importantes données conduisent une étude pratique et
précise de la valeur relie un instrument donné en tenant compte
de la diffusion et des pertes de lumière
987 BOUTRY La loi de Talbot en photometric photo
électrique R. CCII 19 1936 1580-1582
auteur propose pour la loi de Talbot deux énoncés différents
susceptibles de se confondre pour une réponse linéaire des
récepteurs
La réponse intégrale un récepteur qui re oit un flux lumineux
variant périodiquement est la même que si énergie lumineuse re ue
était uniformément distribuée dans le temps
Le facteur de transmission apparente un disque tournant de
Talbot mesurée aide du récepteur est égal sa transparence
géométrique est-à-dire au quotient par de angle total ou
verture des secteurs transparents
Or avec des cellules photoélectriques on trouve des divergences
vis-à-vis de la loi plus grandes pour celles atmosphère gazeuse
atteignant 25 que pour celles vide de au maximum)
Et pour une même cellule dans diverses conditions les écarts
peuvent atteindre 15 MOTRICIT OCULAIRE 589 VISION
Mais a-t-iï pas un rôle de la fréquence des interruptions et
quel est-il
Avec tous les systèmes déjà étudiés il ou plaque photogra
phique la loi de Talbot si elle est bien valable ne est partir
une certaine fréquence
988 ATKINS et POOLE Photoelectric measu
rements of the luminous efficiency of daylight Mesures photo
électriques de efficience lumineuse de la lumière du lour
Pr R. B. CXXI 1936 1-17
La comparaison de éclairement mesuré au moyen une cellule
au sélinium et du flux énergétique total au moyen une pile thermo
électrique permis de constater que le rendement lumineux de la
radiation solaire pouvait osciller entre 355 et 120 lumens par watt
celui dé irradiation diffuse du ciel entre 485 ciel gris sombre
et 158 lumens ciel bleu clair) et ensemble de la lumière du jour
de 811 une après-midi hiver 1194 lumens un jour clair de
septembre
989 JUDD Estimation of chromaticity differences and
nearest color temperature on the standard 1931 ICI colorimetrie
coordinate system appréciation des différences de chromaticité
et de la température de couleur la plus proche sur le système de
coordonnées calorimétrique 1931 standard of Opt
Soc. XXVI 1936 421-426
Ce système exprime la majorité des caractéristiques colorimé-
triques fondamentales mais son application de plus en plus étendue
fait ressortir la difficulté de traduire ses coordonnées en termes de
différences chromatiques proposé une solution le sys
tème uniform chromaticity Scale analysé ici tome 36
nos 878 et 879 On ne peut encore adopter faute de données statis
tiques satisfaisantes aussi cause de son infériorité vis-à-vis des
quantités photométriques autre part il ne applique probable
ment aux faibles différences chromatiques
donne diagrammes permettant de passer un système
autre un montre comment varie échelon chromatique dans le
triangle Des ellipses juxtaposées figurent par les distances
un point central aux points de ellipse des différences égales
100 fois le seuil différentiel chromatique autre présente les
lignes de même température de couleur
990 RIBAUD Les résolutions de la Commission internatio
nale de éclairage relatives la colorimetrie Cambridge 1931
Berlin 1935 ESCHER-DESRIVI RES Le sys
tème des représentations colorimétriques Calculs
usage des praticiens de la signalisation Opt. XV
1936 161-181 et 182-192
La e

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