Graziella, une socio-physiologie de la lecture naïve - article ; n°95 ; vol.27, pg 51-60

Joëlle Gleize

Description

Romantisme - Année 1997 - Volume 27 - Numéro 95 - Pages 51-60
Graziella, roman autobiographique, permet d'articulier un imaginaire de la lecture avec les conditions de publication de 1844-1849. La représentation de lectures transpose en termes de fiction une réflexion sur la littérature populaire : Lamartine donne ainsi forme - tout en l'effectuant - à son rêve d'une troisième voie littéraire, qui s'oppose au feuilleton et rivalise avec lui.
Graziella, an autobiographical novel, enables a link to be mode between the make-believe of reading and the conditions of publishing between 1844-1849. The representation of various readings transposes a reflexion on popular literature into fictional terms. Lamartine thus gives shape, as he puts it into effect, to his dream of a third literary stream, which opposes and compete withe the serial.
10 pages
Source : Persée ; Ministère de la jeunesse, de l’éducation nationale et de la recherche, Direction de l’enseignement supérieur, Sous-direction des bibliothèques et de la documentation.

Sujets

• Sociologie, société et politique

Informations

• Publié par: ROMANTISME
• Publié le: 01 janvier 1997
• Nombre de lectures: 61
• Langue: Français

Extrait

Mme Joëlle Gleize

Graziella, une socio-physiologie de la lecture naïve

In: Romantisme, 1997, n°95. pp. 51-60.

Abstract

Graziella, an autobiographical novel, enables a link to be mode between the make-believe of reading and the conditions of

publishing between 1844-1849. The representation of various readings transposes a reflexion on popular literature into fictional

terms. Lamartine thus gives shape, as he puts it into effect, to his dream of a third literary stream, which opposes and compete

withe the serial.

Résumé

Graziella, roman autobiographique, permet d'articulier un imaginaire de la lecture avec les conditions de publication de 1844-

1849. La représentation de lectures transpose en termes de fiction une réflexion sur la littérature populaire : Lamartine donne

ainsi forme - tout en l'effectuant - à son rêve d'une troisième voie littéraire, qui s'oppose au feuilleton et rivalise avec lui.

Citer ce document / Cite this document :

Gleize Joëlle. Graziella, une socio-physiologie de la lecture naïve. In: Romantisme, 1997, n°95. pp. 51-60.

doi : 10.3406/roman.1997.3182

http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/roman_0048-8593_1997_num_27_95_3182