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Travaux et Jours Revue pluridisciplinaire de l’Université Saint-Joseph de Beyrouth Fondée en 1961 par Marianne Abi-Fadel et Jean Ducruet s.j. Nouvelle série n° 92 Printemps 2018 Prix au numéro : Liban : 15.000 LL - Étranger : 10€ Directeur de publication Salim Daccache s.j.,Recteur de l’USJ Rédacteur en chef Antoine Courban Secrétaire de rédaction Rita Bassil Comité de rédaction Jad Hatem, Michel Scheuer s.j., Roland Tomb Comité éditorial Georges Aoun, Lena Gannagé, Amine Issa, Magda Kharrat, Pascal Monin, Wajdi Najm, Nada Nassar-Chaoul Directeur administratif Christophe Varin,directeur des Éditions de l’USJ Adresse Rédaction de Travaux et Jours Espace « Éditions et Presse de l’USJ » ème Campus des sciences humaines, rue de Damas, Bâtiment A, 7étage B.P. 17 5208, Mar Mikhaël Beyrouth 1104 2020 Tél : +961 1 421 000 ext. 5901, Fax : +961 1 421062, Email : editions@usj.edu.lb | travauxetjours@usj.edu.lb www.editions.usj.edu.lb ÉDITORIAL Beyrouth, Ville ouverte et paradoxale Antoine Courban SOMMAIRE BEYROUTH VULNÉRABLE ET RÉSILIENTE Les lieux de culte dans Beyrouth et sa proche banlieue Thom Sicking sj. Ƥ ơ± de Beyrouthet de sa proche banlieue. Survol dudéveloppement e pluricommunautaire de la ville depuis le XIXsiècle.

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Publié le 25 juin 2018
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Extrait

Travaux et Jours Revue pluridisciplinaire de l’Université Saint-Joseph de Beyrouth Fondée en 1961 par Marianne Abi-Fadel et Jean Ducruet s.j.
Nouvelle série n° 92 Printemps 2018 Prix au numéro : Liban : 15.000 LL - Étranger : 10
Directeur de publication Salim Daccache s.j.,Recteur de l’USJ
Rédacteur en chef Antoine Courban
Secrétaire de rédaction Rita Bassil
Comité de rédaction Jad Hatem, Michel Scheuer s.j., Roland Tomb
Comité éditorial Georges Aoun, Lena Gannagé, Amine Issa, Magda Kharrat, Pascal Monin, Wajdi Najm, Nada Nassar-Chaoul
Directeur administratif Christophe Varin,directeur des Éditions de l’USJ
Adresse Rédaction de Travaux et Jours Espace « Éditions et Presse de l’USJ » ème Campus des sciences humaines, rue de Damas, Bâtiment A, 7 étage B.P. 17 5208, Mar Mikhaël Beyrouth 1104 2020 Tél : +961 1 421 000 ext. 5901, Fax : +961 1 421062, Email : editions@usj.edu.lb | travauxetjours@usj.edu.lb www.editions.usj.edu.lb
ÉDITORIAL Beyrouth, Ville ouverte et paradoxale Antoine Courban
SOMMAIRE
BEYROUTH VULNÉRABLE ET RÉSILIENTE Les lieux de culte dans Beyrouth et sa proche banlieue Thom Sicking sj. Typologie et identiïcation des diérents lieux de culte de la ville de Beyrouthet de sa proche banlieue. Survol dudéveloppement e pluricommunautaire de la ville depuis le XIX siècle.
Toponymie de la diversité religieuse à Beyrouth Jacques Keilo L’auteur promène son regard à travers les cartes de Beyrouth, datant de plusieurs époques, à la recherche de signiïants toponymiques renvoyant à l’histoire des religions qui se sont installées petit à petit dans l’espace urbain de la ville, ou qui y sont commémorées.
L’ennemi et la dynamique conictuelle libanaise Françoise Moncomble Réexion basée sur une lecture de l’ouvrage de Jacques Beauchard « L’ennemi au cœur du politique » qui utilise la crise politique chronique du Liban, pour étayer sa thèse de la « paix belliqueuse » où l’ennemi intérieur, multiforme, maintient un haut niveau de conictualité sans toutefois entraîner une dilution totale de l’Etat. Ceci ouvre la possibilité du retour du politique.
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De la « stasis ». Une lecture psychanalytique de la guerre civile Dina Germanos-Besson et Marie-Jean Sauret Abordant la même problématique de l’instabilité chronique, les deux auteurs étudient le concept de « stasis », qui signiïait à la fois « guerre civile » et « repos » dans la Grèce antique. L’article transpose la lecture de la « stasis », du registre de la philosophie politique vers celui de la psychanalyse. Articulé au mythe de Freud de la horde primitive, développé dans « Malaise dans la civilisation », il met en lumière la notion de l’oubli de la violence fondatrice de la Cité
Jihadistes sans frontières et reconstruction identitaire Didier Leroy L’auteur étudie un groupe libanais, en lui-même, à la trajectoire inhabituelle, le Hezbollah. Il expose comment une organisation milicienne, modeste à l’origine, a pu devenir une force puissante sur le plan régional du Moyen-Orient sans pour autant bénéïcier des attributs régaliens de l’Etat souverain. L’engagement militaire hors-frontières s’accompagne d’un phénomène de reconstruction identitaire « chiite ».
ArTICES ’àUTEUrS Bilinguisme libanais et insécurité linguistique Nay Soueidy-Chahoud Enquête portant sur l’insécurité linguistique comme conséquence directe du bilinguisme et des représentations sociales qu’en ont les usagers libanais de la diglossie franco-arabe. L’auteur cherche à explorer, par le biais de l’activité épilinguistique de locuteurs libanais bilingues, l’incidence plus large des représentations sociolinguistiques tant sur la sécurité que l’insécurité linguistiques des individus polyglottes.
Le poids des sons entre musique et politique Anis Chérif-Alami Dans cet article, Anis Chérif-Alami s’intéresse au rapport ambivalent que semble entretenir avec le politique un festival d’improvisation musicale à Beyrouth, « Irtijal », fondé
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Sommaire
par deux musiciens de free jazz, Mazen Kerbaj et Sharif Sehnaoui. L’étude invite au rêve d’une « théâtrocratie », d’une organisation politique idéale, de type libertaire sans pour autant glisser vers l’anarchie. Ceci pose, de manière plus empirique, la question de savoir comment investir, dans ce cas, l’espace urbain..
Guerre de 1967 et tournant du cinéma arabe Mathilde Rouxel Cette rétrospective cinématographique de Mathilde Rouxel part d’une date-clé, la défaite de 67 qui va marquer un tournant à la fois politique et culturel. Le septième art voit émerger alors des voix féminines à qui l’auteure choisit d’accorder la parole. Ainsi le cinéma devient-il un instrument de contestation mais aussi tremplin de propagande du nationalisme panarabe ainsi que de l’internationalisme révolutionnaire.
DIvErS L’Université Saint-Joseph se souvient Jean Salem, l’humaniste et l’érudit Mona Azzam Dans le cadre de la rubrique « L’Université Saint Joseph se souvient », une ancienne étudiante de la Faculté des Lettres, aujourd’hui Agrégé de Lettres modernes et fondatrice-directrice du Centre Erasmus de Montpellier, rend hommage à la mémoire de son maître à travers ce témoignage tout en pudeur et délicatesse.
Confusions identitaires Sasha Moujaess Note de lecture du roman de Sabyl Ghossoub « Le nez juif » dont le héros principal, Aleph, était toujours pris pour un juif à cause de son nez. Cette particularité anatomique est à la source de confusions identitaires révélatrices d’un certain ethos social.
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Agonie du paganisme antique Antoine Courban Note de lecture de l’ouvrage de l’historienne américaine Catherine Nixey, « The Darkening Age ». L’auteur dresse une fresque des persécutions antipaïennes après la conversion de Constantin au Christianisme et la proclamation de ce dernier comme religion d’Etat par Théodose. Certains événements relatés résonnent comme un lointain écho passé du vandalisme de l’Etat Islamique, des Talibans et du radicalisme religieux contemporain.
Eyal Sivan ou une Parole Juive pour la Paix Rita Bassil Rita Bassil présente les dix vidéos antiracistes de l’essayiste et réalisateur franco-israélien antisioniste, Eyal Sivan. Ces vidéos pédagogiques, diusées par l’Union Juive Française pour la Paix (UJFP), donnent la parole à trente-cinq militants juifs engagés auprès des palestiniens. Leur but est de déconstruire les stéréotypes concernant les Juifs et de lutter contre l’amalgame qui consiste à confondre l’antisionisme et l’antisémitisme.
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ÉDITORIAL BEYROUTH, VILLE OUVERTE ET PARADOXALE
Antoine COURBAN
Rédacteur en Chef
e nouveau numéro deTravaux et Joursse distingue par l’apparition C d’une nouvelle rubrique que nous intitulons « L’Université Saint-Joseph se souvient ». Le témoignage de Mona Azzam honore, avec pudeur et délicatesse, le Professeur Jean Salem qui a formé des générations de jeunes libanais à la Faculté de Droit et à la Faculté des Lettres. ème Ce 92 numéro de notre revue fut préparé alors que Beyrouth et tout le Liban étaient saisis par la ïèvre de la campagne des législatives, conformément à une nouvelle loi électorale organisant un scrutin plurinominal de liste, à la proportionnelle et à la plus forte moyenne avec vote préférentiel unique. Ce nouveau mode de scrutin est inhabituel au Liban et sa découverte, ainsi que sa compréhension approximative, ampliïent l’excitation fébrile d’une campagne électorale traditionnelle. Néanmoins, la vie démocratique libanaise se révèle résiliente et poursuit son cours au milieu d’un Proche-Orient saisi par les violences extrêmes qui ravagent la Syrie voisine et qui, à n’en pas douter, auront de profondes conséquences à long terme sur l’ensemble des sociétés du Levant. A l’heure où nous mettons sous presse, le scrutin législatif libanais n’a pas encore eu lieu. Cependant, l’engagement de l’opinion publique est palpable et indique une dynamique démocratique de la vie publique libanaise malgré toutes les dicultés qu’induit la crise politique chronique qui fragilise le Liban tel un bateau qui vacille en mer au milieu de la tempête et qui, cependant, ne chavire pas. C’est pourquoi nous avons tenu à consacrer le dossier thématique du présent numéro à cette résilience libanaise au milieu de la tourmente et l’avons intitulé « Beyrouth, vulnérable et résiliente ». Liban vulnérable ? Liban fragile ? Comment ne le serait-il pas quand le libanais moyen se trouve tiraillé par la double allégeance, à l’Etat dont il est citoyen et à la juridiction
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Antoine COURBAN
religieuse dont il relève, même si cette double allégeance demeure, en principe du moins, asymétrique car polarisée en faveur de l’Etat. Dans un tel climat, nous proposons au lecteur de prendre de la hauteur et de découvrir la ville de Beyrouth dans sa pluralité d’appartenances religieuses diverses, dans ses usages polyglottes, dans sa crise politique permanente qui, certes, la fragilise mais qui, en même temps, pave la voie au retour du politique par le compromis toujours renouvelé, in extremis dirait-on. Le Liban serait, en quelque sorte, une éponge stratégique en mesure d’absorber les eaux ménagères de la région, transformant ainsi le conit extérieur en crise politique interne. Mais une telle capacité de maintien du politique, et donc de l’Etat, est tributaire de la capacité d’absorption de l’éponge. Thom Sicking s.j. et Jacques Keilo abordent la question du territoire de Beyrouth. Aïn de pouvoir apprécier à leur juste valeur leurs articles respectifs, le lecteur aurait intérêt à jeter un regard sur un plan de Beyrouth. Sa lecture deviendra alors une sorte de promenade virtuelle dans l’espace de la ville, de ses quartiers et de ses rues. Sicking répertorie les lieux de culte de toutes les confessions vivant dans l’espace urbain et sub-urbain. Il met à proït son observation pour donner de précieuses indications sur l’histoire de l’installation de telle ou telle communauté dont la présence s’est cristallisée autour d’une église, d’une mosquée, d’un cimetière. Quant à Jacques Keilo, sa démarche est diérente. Il promène minutieusement un regard quasi chirurgical à travers les cartes et les plans de diérentes époques. Sa lecture est motivée par sa recherche de signiïants toponymiques renvoyant à l’histoire des religions qui se sont installées dans l’espace urbain, ou qui y sont commémorées. Sa démarche est tout à la fois topique et dynamique. Certes, il nous livre une énumération soigneuse de tels signiïants toponymiques mais, de plus, il prend en considération le « temps urbain » de Beyrouth et son histoire. C’est ainsi qu’il nous fait palper du doigt un précieux témoignage, celui du message que transmet la capitale libanaise dans sa chair. Il nous révèle Beyrouth comme ultime ville ouverte en Méditerranée Orientale qui, nonobstant toutes les vicissitudes des crises, demeure imperméable dans ses toponymes à toute homogénéisation. Elle conserve dans ses rues et ses places, toute la mémoire du vivre-ensemble libanais. Françoise Moncomble, Dina Germanos-Besson et Marie-Jean Sauret abordent la question de l’instabilité politique qui confère au Liban ce
Éditorial
caractère de vulnérabilité quasi constitutive. Françoise Moncomble commente l’ouvrage de Jacques Beauchard « L’ennemi au cœur du politique » qui reète l’inuence de la pensée de Julien Freund sur la nécessité de l’ennemi politique, notamment intérieur, dont la neutralisation permet au politique de tendre la main aïn de résoudre les conits par métamorphose de la violence en puissance verbale au sein des assemblées délibératives et genèse de la Constitution qui donne existence à la cité. Avec la globalisation, les frontières des Etats s’eacent. Aujourd’hui la ligne de démarcation de l’ennemi est très oue. Ce dernier est devenu multiforme, il n’est plus seulement « extérieur » mais il aurait eectué un retour spectaculaire vers l’intérieur de la cité. Comment, dès lors, le neutraliser ? En mars 2011, le « Centre Culturel Bruxellois » avait organisé aux « Halles de Schaerbeek » un symposium international au titre on ne peut plus déconcertant : « Beyrouth, paradigme de la guerre civile universelle permanente ». Ce colloque posait Beyrouth (et donc le Liban) comme modèle paradigmatique de l’avenir d’un monde où la confusion se généralise de plus en plus : mélange des identités collectives, virulence accrue de toutes les idéologies totalisantes religieuses et profanes, le tout menant à la paradoxale situation de paix belliqueuse. Françoise Moncomble et Jacques Beauchard considèrent la conictualité comme constitutive de la cité. Le Liban en serait un exemple démonstratif. La violence première ne parvient pas à détruire l’Etat et se voit obligée d’aller en permanence vers le compromis qui sauve ce dernier.
Dina Germanos et Marie-Jean Sauret abordent la même question mais sous un angle psychanalytique. Ils étudient la polysémie du concept destasisqui dans la Grèce antique désignait, à la fois, la « guerre civile » et le « repos ». Leur article fait écho aux recherches du philosophe italien Giorgio Agamben sur lastasistout en demeurant marqué par la pensée de Sigmund Freund, notamment le mythe de la horde primitive. Cette approche transpose le problème, du registre de la philosophie politique vers celui de la psychanalyse, ce qui permet d’éclairer un aspect du lien social qui maintient, en permanence, la cité libanaise dans un état instable oscillant entre les deux pôles sémantiques de la stasis: repos/guerre civile.
Quant à Didier Leroy, dont l’article clôture le dossier thématique, son attention se porte sur un seul aspect de la vie publique libanaise, celui du Hezbollah. Il observe la trajectoire de ce dernier en lui-même et non par rapport au cadre de l’Etat libanais. Les étapes de ce parcours
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sont minutieusement décortiquées. Pour l’auteur, le Hezbollah, sous couvert de « résistance » à Israël, a rapidement su proïter de la vulnérabilité de l’Etat libanais pour étendre son aura et son inuence sur la communauté chiite libanaise. Leroy montre comment ce groupe a rapidement su dépasser les frontières nationales du Liban et se pose aujourd’hui comme force régionale grâce, notamment, à son engagement militaire en Syrie. L’auteur montre également comment ce processus s’accompagne d’un phénomène nouveau, à savoir la reconstruction identitaire « chiite », sans pour autant envisager cette reconstruction dans un rapport dialectique conictuel avec l’identité nationale libanaise.
En plus de notre thématique principale, nous avons retenu trois articles d’auteurs. Celui de Nay Soueidy-Chahoud est le résultat d’une enquête menée auprès de citoyens libanais pratiquant la diglossie franco-arabe. L’objet de l’étude porte sur l’insécurité linguistique comme conséquence directe du bilinguisme et des représentations sociales qu’en ont les usagers libanais. L’auteur cherche à explorer, par le biais de l’activité épilinguistique de locuteurs bilingues, l’incidence plus large des représentations sociolinguistiques tant sur la sécurité que l’insécurité linguistiques des individus polyglottes.
Dans « Le poids des sons entre musique et politique », AnisChérif-Alami présente un festival d’improvisation musicale,Irtijal, qui se tient à Beyrouth depuis l’an 2000. Son regard cherche à creuser le rapport ambivalent que semble entretenir avec le politique, un festival d’improvisation de free-jazz qui engage la musique, en tant que métaphore de la ville, comme outil poético-politique. Partant des théories de Bourdieu, il promène sur le terrain un regard qui demeure cependant moins fétichiste que celui de Bourdieu. L’étude invite au rêve d’une « théâtrocratie », d’une organisation politique idéale, de type libertaire sans pour autant glisser vers l’anarchie.
Mathilde Rouxel nous propose une magistrale rétrospective du tournant du cinéma arabe après la guerre de juin 1967. Son intérêt privilégie les réalisations de femmes cinéastes. L’article aborde divers thèmes que la rupture de 1967 aurait entraînés dans la métamorphose culturelle en général, plus spéciïquement cinématographique, au sein du monde arabe. Le cinéma devient instrument de contestation mais aussi tremplin de propagande du nationalisme panarabe ainsi que de l’internationalisme révolutionnaire. Un manifeste pour un nouveau
cinéma arabe émerge peu à peu, voire un cinéma tiers-mondiste. Ce nouveau cinéma métamorphose le mythe national arabe où l’unité arabe peut être comprise comme celle d’une nation à deux paliers ou à deux niveaux. Tout ce mouvement doit énormément à des ïgures féminines pionnières que l’auteur nous fait découvrir dans toute la riche diversité de leurs réalisations.
La dernière section de notre numéro commence par le témoignage de Mona Azzam honorant la mémoire du Professeur Jean Salem. Trois notes de lecture suivent, celle de Sasha Moujaess qui présente le roman de Sabyl Ghossoub « Le nez juif », celle d’Antoine Courban qui recense l’ouvrage de Catherine Nixey « The Darkening Age. The Christian destruction of the Classical World », ainsi que celle de Rita Bassil qui revient sur l’engagement exceptionnel de l’essayiste réalisateur juif antisioniste, Eyal Sivan, à partir de ses dernières vidéos, toutes portes paroles « d’énoncés juifs » engagés pour la paix.
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