Kraken mon amour

Linné Lharsson

Description

Echappant à la lubricité d’un tyrannosaure, l’étreinte d’un kraken câlin conduit Cath au sommet de la jouissance...

« Les huit bras savaient quand être doux ou durs, pressants ou légers. Ils roulaient, malaxaient, aplatissaient sa peau, semblable à de la pâte à pain. Kraken était son artisan boulanger. Elle ronronnait sous la pression des bras et des mini-tentacules rattachés, qui agissaient comme des ventouses. Quand ils atteignirent le bas de son ventre, juste au-dessus de son sexe caché par une fine culotte qu’elle avait trouvée dans un tiroir, Cath sentit son désir renaître. Cette fois-ci, elle était affamée de sexe. Ce qui était tout à fait inimaginable. »

Faisant suite à son DinosEROSor (SKA), il faut être sacrément désinhibée comme Linné Lharsson pour nous conter ces folles étreintes entre le monstre marin de la mythologie scandinave, et la belle Cath, avide de sensations fortes et de tentacules fureteuses autour de son corps assoiffé de caresses profondes... Hénaurme !

Sujets

• Érotisme
• Fiction
• Pieuvre
• Bestialité
• Littérature

Informations

• Publié par: Ska Éditions
• Date de parution: 01 juin 2017
• Nombre de lectures: 18
• EAN13: 9791023406207
• Langue: Français

Extrait

Linné Lharsson Kraken, mon amour  nouvelle 2e épisode QQ

CollectionCulissime

Q = romance rose QQ = libertinérotique QQQ = pornobscène Avertissement au lecteur : Cette nouvelle est la suite deDinosEROsor, la très fantastique aventure au cours de laquelle notre héroïne, Cath, réveillai t l’instinct libidineux d’un… tyrannosaure. -ooOoo- Cath n’eut pas le privilège d’assister à son propre sauvetagequi, pourtant, aurait valu à son héros la première place au champi onnat des sauveteurs en mer, si toutefois il avait été autorisé à partic iper, ledit championnat étant disputé habituellement par des chiens bouviers qui y traînaient leurs maîtres. Mais kraken valait deux chiens et deux hommes de qu atre-vingt-dix kg poids sec. Ou presque... Sans perdre de temps, tout en s’étant assuré qu’ils étaient loin de la résidence Les Dinos sont nos amisles, il déposa Cath sur un lit de feuilles et effectua manœuvres de sauvetage recommandées en cas de noyad e. Quand sa bouche matelassée insuffla de l’air à la jeune femme dénud ée, celle-ci hoqueta, toussa, cracha et enfin vomit l’eau saumâtre mélangée aux c acahuètes et à l’alcool de basse qualité ingurgités à la va-vite durant la soi rée. L’image du T-Rex en érection percuta Cath, suivie de près par le sou venir de l’immense langue râpeuse du monstre léchant son corps. Le frisson de dégoût se mua en

tressaillement de plaisir. Cath avait été désirée c omme l’héroïne deKing-Konget, {1} comme dans les grandes passions, elle aurait pu en mourir .suis une Je Juliette des temps modernes !Cath se souvint alors des bras qui l’avaient retenue fermement par la taille au fond de l’eau. L ’homme qui l’avait secourue avait de la poigne et de beaux yeux bleus.Si c’est bien un homme, car il avait plutôt l’air d’un monstre aquatique !Mais Cath balaya cette idée saugrenue. Elle se sentait à présent protégée. On l’avait, semblait-il, engoncée dans une coque de protection.Toute une équipe médicale s’affaire autour de moi. Bientôt je vais faire un petit tour en hélicoptère…crut-elle, non sans ressentir une pointe de fierté. Elle se sentait comme une héroïne de sér ies télévisées.Putain, elle avait raté sa vocation ! Quand Cath ouvrit timidement les yeux, prête à reme rcier ses bienfaiteurs, quelle ne fut pas sa surprise en découvrant son ass aillant du fond marin ! Il la regardait, non, plutôt la paralysait, de son regard bleu. Elle ne pouvait se dégager de la poigne, cette fois hypnotique, de la pieuvre gigantesque, dont la peau grise et huileuse étincelait sous les reflets de la lune. Cath voulut cligner des yeux, se pincer le front. Impossible, elle se trouvait so us la coupe du monstre aux iris bleu eau-de-roche, perforants comme la voix grave q ui se frayait un chemin dans son crâne :Ne t’en fais pas Cath. Je suis là. Tu ne risques plus rien. Le timbre de la voix et les mots de réconfort prono ncés eurent raison de Cath. Sa tension retomba aussi vite qu’un soufflé sorti t rop tôt du four. Elle soupira tandis qu’il l’entourait de tous ses membres, tel S hiva. Elle se lova contre la poitrine de son protecteur et sentit ses tentacules puissants la soulever, sans fléchir un instant.Il est fort et drôlement chaud pour un kraken. Probablement une prouesse génétique, conclut-elle avant de s’abandonner au sommeil. Le lendemain matin, alors que les rayons du soleil était déjà haut dans le ciel et entraient avec insistance dans la chambre, Cath ouv rit un œil, puis deux, et s’interrogea sur la nuit passée.Quel horrible cauchemar !Bien vite, elle constata qu’elle se trouvait, non pas dans l’un des bungalow s deLes Dinos sont nos amis, mais probablement dans une fermette, à en juger par les poutres au plafond et les murs décrépis. La clématite qui tapait à la vitre ployait sous les fleurs violettes. Un instant charmant dans un cauchemar réel !Cath trembla et replongea un instant...