Conversations avec Dieu, tome 2 : Un dialogue hors du commun

Walsch Neale Donald

Description

Le dialogue continue …
... ce changement de paradigme exigera une grande sagesse, un grand courage et une détermination massive. Car la Peur va frapper au coeur de ces concepts et les qualifier de faux. La Peur va dévorer le coeur de ces magnifiques vérités et les fera paraître vides. La Peur va déformer, dédaigner, détruire. Ainsi, la Peur sera votre plus grand ennemi.
Vous ne pourrez vivre dans, ni même créer, le monde dont vous avez toujours rêvé si vous ne reconnaissez pas, avec sagesse et clarté, la vérité ultime : ce que tu fais aux autres, c'est à toi-même que tu le fais; ce que tu négliges de faire aux autres, c'est à toi-même que tu négliges de le faire; la douleur des autres est tienne et la joie des autres est tienne; et lorsque tu désavoues quelque partie que ce soit, tu désavoues une partie de toi-même.
Le temps est venu de te réapproprier. Le temps est venu de chercher à nouveau Qui Tu Es Vraiment, et ainsi, de te rendre à nouveau visible. Car lorsque toi et ta vraie relation à Dieu deviendrez visibles, alors Nous serons indivisibles.
Et rien ne Nous divisera plus jamais.

Sujets

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Informations

• Publié par: Éditions Ariane
• Date de parution: 30 avril 2015
• Nombre de lectures: 3
• EAN13: 9782896262595
• Langue: Français
• Poids de l'ouvrage: 1 Mo

Extrait

Conversations avec Dieu
un dialogue hors du commun tome 2
Neale Donald Walsch
Traduit de l'américain par Michel Saint-Germain
Titre original anglais : Conversations with God, an uncommon dialogue, book 2 © 1997 Neale Donald Walsch Publié par Hampton Roads Publishing Company Inc. 134 Burgess Lane, Charlottesville, VA, 22902 USA

© 1997 Ariane Éditions inc. pour l'édition française C.P. 183, Saint-Sauveur, Qc, Canada J0R 1R0 Téléphone : 514-276-2949 Courrier électronique : [e-mail]
Site Internet : www.editions-ariane.com
Facebook : www.facebook.com/EditionsAriane


Tous droits réservés.
Aucune partie de ce livre ne peut être utilisée ni reproduite d’aucune manière sans la permission écrite préalable de la maison d’édition, sauf de courtes citations dans des magazines ou des recensions

Traduction : Michel Saint-Germain
Révision : Marielle Bouchard, Réjeanne Dupuis, Jeanne Barry
Mise en page : Ariane Éditions
Illustration de la couverture : Louis Jones The Louis & Susan Jones Art Gallery, 999 Waterside Dr, Norfolk, VA, USA 23510
Graphisme : Carl Lemyre
Conversion au format ePub : Carl Lemyre

Première impression : août 1997 ISBN papier : 2-920987-22-4 ISBN ePub : 978-2-89626-259-5

Dépôt légal : Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 1997 Bibliothèque et Archives nationales du Canada, 1997 Bibliothèque nationale de Paris

Diffusion
Québec : Flammarion Québec – 514 277-8807 www.flammarion.qc.ca
France et Belgique : D.G. Diffusion – 05.61.000.999 www.dgdiffusion.com
Suisse : Servidis/Transat – 22.960.95.25 www.servidis.ch

Gouvernement du Québec – Programme de crédit d’impôt
Pour l’édition de livres – Gestion SODEC
Imprimé au Canada
Pour Samantha Tara-Jenelle Nicholas Travis Karus Tristan Devon Dustin Dylan
Vous m’avez donné bien plus que je ne vous ai jamais donné. Je n’ai pas été le père que j’avais espéré être. Mais attendez. Nous n’avons pas fini. C’est là un travail en cours.
Remerciements
Comme toujours, je tiens avant tout à remercier Ce Qui Est Toutes Choses, la Source de tout, y compris de ce livre. Comme moi, certains d’entre vous préfèrent l’appeler Dieu, mais peu importe le nom que l’on donne à la Source, elle était, elle est, et elle sera toujours la Source éternelle, au-delà même de l’éternité.
En deuxième lieu, je veux reconnaître le fait d’avoir eu des parents merveilleux par qui a jailli la réserve de vie que Dieu m’a donnée et tant de mes souvenirs les plus importants. Maman et papa formaient ensemble une équipe formidable. Ceux qui les ont observés depuis les coulisses ne seront peut-être pas tous d’accord, mais ils étaient tous deux très clairs là-dessus. L’un qualifiait l’autre de « casse-pied » ou de « poison ». Maman trouvait papa « casse-pied » et papa disait de maman qu’elle était un « poison » auquel il ne pouvait résister.
Anne, ma mère, était une personne extraordinaire. C’était une femme d’une compassion infinie, d’une profonde intelligence, d’une clémence calme et infinie, d’une douce sagesse et d’une foi constante en Dieu. Sa foi était si forte que, quelques instants avant sa mort, le nouveau et jeune prêtre qui lui avait administré les derniers rites de l’Église catholique romaine (et qui était carrément nerveux) est venu me souffler à l’oreille, tremblant d’admiration : « Mon Dieu, même de son lit de mort, elle était en train de me réconforter. »
Le plus grand hommage que je puisse rendre à maman, c’est de dire que cela ne m’a pas étonné.
Mon père, Alex, n’avait pas beaucoup des grâces accordées aux êtres plus doux. Bourru, il avait tendance à tempêter. Il pouvait être parfois si agressif que c’en était gênant. Certains affirment qu’il était souvent cruel, surtout envers ma mère. Je ne veux pas le juger pour cela (ni pour quoi que ce soit d’autre). Ma mère refusait aussi de le juger ou de le condamner (bien au contraire, elle le louangeait, même dans ses dernières paroles), et je ne peux imaginer à quoi pourrait me servir d’ignorer son exemple en m’abaissant à cela.
Pour le reste, papa avait quantité de traits grandement positifs, des traits que maman n’a jamais perdus de vue. Il avait, entre autres, une foi inébranlable dans le fait que rien ne peut dominer l’esprit humain, et il était très clair pour lui que pour changer une situation il ne servait à rien de se plaindre. Qu’il fallait, au contraire, assumer un leadership. Il m’a enseigné que j’avais le pouvoir d’accomplir n’importe quoi si j’étais suffisamment déterminé. Sa femme et sa famille pouvaient compter sur lui, et l’ont fait jusqu’à la toute fin. Papa était l’incarnation absolue de la loyauté, de l’absence d’indécision. Il prenait toujours position et refusait d’accepter un refus de la part d’un monde qui en avait découragé tant d’autres. Aux forces antagonistes les plus puissantes, il opposait son mantra « Ah, ce n’est rien ». J’ai utilisé ce mantra dans tous les moments pénibles de ma vie. Il a été efficace chaque fois.
Le plus grand hommage que je puisse rendre à papa, c’est d’affirmer que cela ne m’a pas étonné.
Entre mon père et ma mère, j’ai senti un défi à relever et un appel vers un endroit de suprême confiance en moi-même et d’amour inconditionnel pour tous les autres. Quel tandem !
Dans mon livre précédent, j’ai remercié d’autres membres de ma famille et de mon cercle d’amis dont l’apport a été énorme pour moi et l’est encore. Je tiens ici à remercier deux personnes extraordinaires qui sont arrivées dans ma vie après la parution du premier livre et qui ont eu une influence énorme sur ma vie. Je veux parler du docteur Leo et de madame Letha Bush… qui m’ont montré au quotidien que c’est dans des moments de bienveillance désintéressée envers la famille et les proches, de souci à l’endroit des amis, de gentillesse pour les individus dans le besoin, d’hospitalité à l’égard de tous, de foi et d’amour durables l’un pour l’autre qu’on reçoit les plus grandes récompenses de la vie. Ces deux personnes m’éclairent et m’inspirent profondément.
De même, je veux remercier certains de mes autres maîtres, des anges spéciaux que Dieu m’a envoyés pour m’apporter un message particulier qui, j’en suis convaincu à présent, avait de l’importance pour moi. Certains d’entre eux m’ont touché personnellement, certains de loin, et certains d’un point de la Matrice si éloigné qu’ils ne savent même pas (sur un plan conscient) que j’existe. Néanmoins, leur énergie a été reçue ici, en mon âme. Par ces êtres, en cette vie présente, j’ai reçu des cadeaux et des bienfaits :
Dolly Parton… dont la musique, le sourire et la personne entière ont gratifié tout un pays et si souvent réjoui mon cœur, même lorsqu’il était brisé et que j’étais sûr qu’il ne retrouverait plus jamais la joie. Ça, c’est de la magie.
Terry Cole-Whittaker… dont l’esprit, la sagesse, la finesse, la joie de vivre et l’honnêteté absolue ont incarné pour moi un exemple et un modèle depuis le jour où je l’ai rencontrée. Grâce à elle, des milliers de gens ont vécu une croissance, une amélioration et un regain de vitalité.
Neil Diamond… qui a atteint les profondeurs de son âme et de la mienne par son sens artistique, et touché l’âme d’une génération. Son talent, et la générosité d’émotions avec laquelle il l’a partagé, est monumental.
Thea Alexander… qui a osé, par ses écrits, m’éveiller à la possibilité d’exprimer l’affection humaine sans limites ni méchanceté, ni intentions cachées, ni jalousies amères, ni besoin d’explications. Elle a rallumé dans le monde l’esprit remuant de l’amour sans bornes et de notre désir le plus naturel de célébration sexuelle, lui rendant son caractère merveilleux, sa beauté et son innocente pureté.
Robert Rimmer… qui a fait exactement la même chose.
Warren Spahn… qui m’a enseigné que l’atteinte de l’excellence dans tous les domaines de la vie sous-entend l’adoption des critères les plus élevés et le refus d’en redescendre, et d’exiger le meilleur de soi, même lorsque le fait d’accepter moins que cela passerait presque inaperçu (surtout, peut-être, dans ce cas). Un héros sportif de premier ordre, un héros militaire sur le champ de bataille en feu et un héros dans la vie dont l’engagement envers l’excellence n’a jamais chancelé, peu importe la somme de travail nécessaire pour y arriver.
Jimmy Carter… qui insiste courageusement pour faire de la politique internationale sans le jeu de la politique, mais à partir du cœur et de ce qu’il sait être vrai selon la Loi la plus élevée. Une bouffée d’air si frais que ce monde blasé sait à peine quoi en faire.
Shirley MacLaine… qui a montré que l’intellect et le divertissement ne s’excluent pas mutuellement, que nous pouvons nous élever au-dessus du primaire, du banal et du plus petit commun dénominateur. Elle insiste pour que nous puissions parler des choses plus grandes autant que des petites, des choses plus lourdes autant que des légères, des choses plus profondes autant que des superficielles. Elle se bat pour élever notre discours et, ainsi, notre conscience, pour utiliser de façon constructive son énorme influence sur le marché des idées.
Oprah Winfrey… qui fait exactement la même chose.
Steven Spielberg… qui fait exactement la même chose.
George Lucas… qui fait exactement la même chose.
Ron Howard… qui fait exactement la même chose.
Hugh Downs… qui fait aussi exactement la même chose.
Et Gene Roddenberry… dont l’Esprit peut entendre ceci a présent et qui sourit parce qu’il a ouvert la voie à tant de ces choses, parce qu’il a relevé le pari, parce qu’il s’est rendu à la limite, parce qu’il est vraiment allé où personne n’était allé auparavant.
Ces gens sont des trésors, comme nous tous. À la différence de certains d’entre nous, toutefois, ils ont choisi d’offrir le trésor de leur Soi à une échelle massive, de se livrer immensément, de tout risquer, de perdre leur intimité et de mettre à jamais leur monde personnel sens dessus dessous, et ce, afin de donner de ce qu’ils sont vraiment. Ils ne savaient même pas si le ca