Nos dents, une porte vers la santé

Michel Montaud

Description

La 4e de couverture indique : "Le jour où sa route croisa celle d'un simple appareil en caoutchouc -un activateur plurifonctionnel - Michel Montaud ne pouvait imaginer que sa vie de chirurgien-dentiste et d'homme allait être totalement bouleversée ! Il s'engageait alors sans le savoir dans une thérapeutique dentaire qui allait se révéler d'une efficacité remarquable, dépassant le simple cadre de la bouche pour s'étendre à l'être humain dans sa globalité. Cette auto-thérapie guidée est une vraie alternative à la pratique trop répandue qui consiste à arracher des dents qui ne trouvent pas leur place. Elle permet également de remédier à des maux tels que cauchemars, rhinites et otites chroniques, eczéma, allergies, asthme, problèmes de dos, troubles du sommeil, etc. Dans cet ouvrage, il démontre, preuves cliniques et photos à l'appui, que cette thérapeutique améliore l'état de santé général des patients, tant physique que psychique. Pleine de promesses, cette approche humaniste de l'art dentaire exploite l'extraordinaire potentiel de guérison de notre corps. Un livre passionnant pour découvrir une autre façon d'envisager le monde des dents !"

Sujets

• Santé
• Santé
• Santé
• Santé
• Bien-être
• Dent
• santé

Informations

• Publié par: Le Souffle d'or
• Date de parution: 21 mai 2019
• Nombre de lectures: 30
• EAN13: 9782840586753
• Langue: Français
• Poids de l'ouvrage: 4 Mo

Extrait

Couverture
Titre


Michel Montaud






NOS DENTS, UNE PORTE VERS LA SANTÉ

De l’équilibre buccal à l’équilibre global

Deuxième édition











Éditions Le Souffle d’Or 5 allée du Torrent – 05000 Gap (France) www.souffledor.fr
Remerciements
À Kiki, mon épouse, qui n’a jamais douté de mes capacités à changer.
À Claude et Sandy, mes enfants, qui m’ont fait le plus beau cadeau dont un père puisse rêver. Ils m’ont permis d’éveiller un peu ma conscience pour qu’en retour, je les éduque avec beaucoup plus d’attention.
À mon frère Bernard, qui m’a fait bénéficier de son expérience dans le domaine de l’édition et de l’écriture.
À Monique Guillemin, pour sa patience et sa compétence dans l’exercice périlleux de la correction.
À Anne et Jean-Claude Duret, pour leur aide si précieuse de professionnels de l’édition.
À Thérèse Roesch, pour son soutien si généreux et dynamique auprès des médias.
À tous mes patients, sans qui je n’aurais jamais pu approfondir cette thérapeutique.
À toutes les consœurs et à tous les confrères qui m’ont rejoint et se sont investis personnellement et professionnellement dans cette recherche. Je ne peux les citer tous, mais ils se reconnaîtront.
Avertissement
La thérapeutique proposée dans cet ouvrage a la bouche comme porte d’entrée… mais elle dépasse de beaucoup le seul domaine dentaire.
Car parallèlement aux améliorations d’ordre buccal, nous allons, grâce à elle, constater des améliorations dans toutes sortes de pathologies. Elle agit en fait sur le corps tout entier, et jusque sur le psychisme. Elle stimule le potentiel d’autoguérison existant en chaque être humain et va solliciter les forces de volonté du patient. C’est d’ailleurs là que peuvent se rencontrer certaines difficultés, tant cela demande bien sûr une vraie motivation du patient.
J’introduirai donc également la notion d’autothérapie. Elle est essentielle, mais non suffisante. C’est pourquoi il est important de souligner dès à présent combien dans cette approche l’accompagnement et l’investissement du chirurgien-dentiste sont indispensables. Et combien cette thérapeutique globale issue de la « Sagesse des dents » ne nous donne pas pour autant la compétence de suivre les patients en dehors de notre domaine. En ce sens, il sera bienvenu de collaborer étroitement avec les différents praticiens du domaine médical ouverts à cette pluridisciplinarité.
Introduction à la deuxième édition
Ce livre a été édité il y a maintenant douze ans. Je ne peux rien enlever à ce qui a été écrit à l’époque tellement tout a continué de se confirmer avec une régularité absolue.
En 2007, j’étais un être humain qui détenait le diplôme de chirurgien-dentiste et qui pratiquait ce que j’ai appelé la dentosophie. J’ai volontairement écrit ce livre pour donner au grand public des arguments solides leur permettant de dialoguer avec les professionnels sans se laisser « balader » par des réponses toutes faites, enseignées.
À cette époque, je pensais que seuls les dentistes pouvaient se former et exercer la dentosophie en tant que professionnels.
Les événements de la vie m’ont montré mon erreur, car j’ai été interpellé par ceux que je vais nommer les « non-dentistes ». Ces derniers m’ont sollicité avec un tel enthousiasme et une telle volonté, qu’il m’a été impossible de leur refuser l’accès à la formation de dentosophie. Ils m’ont prouvé par la suite leur efficacité et leur authenticité.
Ils m’ont surtout apporté la confirmation du gouffre qui sépare les mots « savoir » et « connaissance ».
J’entends par « savoir » le fruit d’un enseignement acquis, mettant en jeu notre intellect et faisant appel à des notions théoriques.
La connaissance, étymologiquement « naître avec », est le fruit de toute l’évolution de l’Homme. Elle est innée. Cela signifie qu’elle est en nous dès la naissance.
Notre savoir scientifique actuel est une goutte d’eau dans l’océan de la connaissance.
Ma goutte d’eau, purement dentaire à l’origine, m’a obligé à me jeter dans l’océan. Mais l’océan est gigantesque, et j’ai bien conscience qu’il ne me suffira pas d’une vie pour le visiter.
Je continue le voyage depuis maintenant quarante ans et il ne se passe pas une journée sans que je fasse une découverte qui me confirme la cohérence de ce chemin où tout se rejoint, où les informations se complètent, où les différentes expériences vécues se soutiennent les unes les autres.
La recherche de cette connaissance m’a permis de comprendre qu’il me fallait élargir la notion de dentosophie, car dans dentosophie, la connotation dent peut dominer et faire penser à une thérapie concernant seulement les dents… et donc les dentistes.
Douze années ont passé, et il devient nécessaire de redéfinir la dentosophie. Le mot est devenu trop réducteur, car il ne décrit plus une thérapie réservée aux dentistes, mais un « chemin de vie » permettant d’aller travailler sur nos blocages profonds et sur nos modes de fonctionnement récurrents face à la vie. Il n’est pas nécessaire d’être malade pour accéder à ce chemin de vie, à cette volonté de changement de ces blocages structurels.
Ce n’est donc plus du ressort de la médecine. Le chemin de vie concerne TOUS les humains, et cela m’a amené à choisir le mot « humanosophie » (ou « humano-dentosophie » pour signifier que la bouche et les dents sont seulement une porte d’entrée). L’accès à cette humano-dentosophie ne sera donc plus réservé aux seuls dentistes, mais à tous les êtres humains qui se sentent interpellés par ce parcours. Ces derniers suivront alors la formation et pourront faire profiter de cette connaissance à tous ceux qui en feront la demande.
Aujourd’hui, il nous faut aller décortiquer les fondements de notre médecine, ce qui l’a amenée à fonctionner de la sorte. Pour cela, nous devons vérifier les croyances d’origine enseignées, pour nous apercevoir qu’elles sont soit erronées, soit nettement incomplètes.
Nous allons alors prendre conscience que le corps humain, étudié par la médecine, ne représente que la face émergée de l’iceberg, fondée sur un savoir, alors que la quasi totalité de cet iceberg est engloutie et invisible, car fondée sur la connaissance de l’Homme. Nous allons devoir aller chercher la réelle globalité de l’Homme. Il nous faut alors penser autrement.
« Il est impossible de résoudre les problèmes avec le même cerveau que celui qui les a causés. » (A. Einstein)
Dans cette citation, A. Einstein nous résume absolument tout d’une manière très claire. Les problèmes issus du savoir ne pourront jamais se résoudre à l’aide du seul savoir. Le fonctionnement du monde actuel nous le confirme.
L’humano-dentosophie va devenir une quête vers le bien-être de l’Homme. Pour cela, ce dernier doit faire le chemin qui mène à son équilibre. La dentosophie devient alors réellement une porte d’entrée vers cette humanosophie 1 .
La médecine s’occupe des maladies de l’Homme.
L’humano-dentosophie s’occupe de l’Homme dans sa globalité.
La médecine et l’humano-dentosophie ne sont en rien comparables. Chacune évolue dans un monde bien particulier. L’humano-dentosophe ne pratique pas la médecine, puisqu’il ne s’occupe pas des maladies, et les médecins ne font pas de l’humano-dentosophie, puisqu’ils ne s’occupent pas de l’Homme dans sa globalité.
La médecine est un métier, l’humano-dentosophie est un chemin.
Je vais maintenant vous l’expliquer plus en détail et reprendre mon parcours au commencement.
Je vous souhaite une bonne lecture.
Michel Montaud


1 Depuis 2007, en parallèle à mon cheminement personnel, deux autres livres ont été écrits. Ils peuvent être un soutien précieux pour celui qui avance dans cette voie. Voir le site : www.dentosophie.com .
Avant-propos Mon parcours
Je suis chirurgien-dentiste, en libéral.
J’opère aussi dans une clinique où j’extrais dents de