Il était une fois... Un blog

Alain Conny

Description

Il était une fois… Un blog, est la synthèse d’un blog que j’ai mis en ligne sur Internet dès fin 2010. On y retrouve essentiellement des textes d’actualité, de nature politique, économique ou sociale, ainsi que des nouvelles insolites et quelques analyses personnelles sur des sujets de société. Mon but n’est pas de faire de l’information mais de la ré-information, afin d’éviter la déformation des faits, qui sont devenus la spécialité de la presse « dite » conventionnelle. Les textes que j’ai rédigés sont disposés de manière chronologique mais il est possible de les lire dans le désordre, le tout étant de se fier au texte de référence qui figure en tête de chaque message. Le contenu des messages de ce blog ne résulte pas de mon imagination, tout est authentique, d’ailleurs vous trouverez régulièrement des notes de bas de page conduisant aux sources de mes affirmations. À l’issue de la lecture de ce livre, il est probable que vous envisagiez de vous informer différemment de la manière dont vous le faites habituellement, c’est aussi le but de cet ouvrage !

Informations

• Publié par: Les Éditions du Net
• Date de parution: 14 mai 2013
• Nombre de lectures: 2
• EAN13: 9782312010397
• Langue: Français

Extrait

Il était une fois… Un blog

Alain Conny
Il était une fois… Un blog

















LES ÉDITIONS DU NET 22, rue Édouard Nieuport 92150 Suresnes
© Les Éditions du Net, 2013 ISBN : 978-2-312-01039-7
Préface
Durant trois ans j’ai rédigé un blog qui s’appelait « Écrire sous les tropiques » sur lequel figuraient des textes relatif à la vie sociale, à la géopolitique et à l’économie. Les pages de ce blog ont été consultées plus de 136 000 fois ce qui n’est pas négligeable étant donné la nature apparemment austère des sujets traités. De plus il est notoire que l’image a supplanté le texte dans de nombreux domaines et que la paresse de lire de certains internautes, ne les encourage pas à fréquenter des blogs comme le mien. Enfin je suis conscient que le caractère dissident de mes propos n’encourage pas toujours le citoyen de base dont l’esprit est formaté par le système médiatique ambiant, à lire mes rubriques jusqu’au bout. Cependant le cours de l’histoire corrobore le fait que mes analyses – qui reprennent ou complètent celles de nombreux auteurs dissidents – s’avèrent souvent exactes.
L’année dernière j’ai publié un recueil des textes de mon blog, mais depuis un an la situation économico-politique a bien évolué, aussi j’ai décidé d’écrire un nouvel ouvrage dans la même veine mais largement ajourné. Cela signifie un an de travail supplémentaire donc un an de recherches, de vérifications et d’analyses concrétisées par de courtes rubriques. L’ouvrage que je vous propose a d’autant plus d’intérêt que j’ai cessé de rédiger le blog Écrire sous les tropiques car par manque de temps.
Les sources des rubriques du blog que vous retrouverez dans cet ouvrage, sont extraites à partir de la presse internationale, de sites ou encore de blogs dissidents (fiables) dont je préciserai les adresses à la fin de cet ouvrage. Le fait d’avoir vécu dans différents pays, ainsi que les voyages que j’ai faits à l’étranger, m’ont permis d’acquérir des connaissances intéressantes pour compléter mes modestes analyses. J’ai la chance d’être polyglotte ce qui m’aide particulièrement lors de mes recherches cependant, les outils informatiques dont sont affublés les moteurs de recherche actuels, permettent de faire des traduction assez réalistes de la presse, arabe, chinoise, russe ou grecque par exemple. Ces informations sont généralement très différentes de celles publiées par la presse Murdock ou Bertelsmann dont on nous abreuve quotidiennement, dans le but de nous obliger à adhérer à une idéologie, plus que pour nous informer !
La presse conventionnelle est un organe de propagande du pouvoir mondialiste, son rôle n’est plus d’informer mais d’endoctriner. En outre de nombreux pays possèdent une presse bilingue ou plurilingue objective, permettant à ceux qui comprennent au moins la langue de Shakespeare de s’informer, sur des sujets que la presse française n’évoque JAMAIS.
Je sais bien qu’il existe parmi nous ceux pour qui, les journaux servent essentiellement à consulter l’horoscope, les résultats du Loto ou encore les scores établis par l’équipe de football pour qui bât leur cœur… D’autres se contentent de lire les gros titres qui sont souvent plus absurdes que les rubriques elles-mêmes. Je ne blâme pas ce genre de lecteurs car j’ai longtemps fait comme eux et je juge leur attitude, d’autant plus légitime que les informations contenues dans les quotidiens sont situées à des années-lumière de la réalité ; en outre ces informations sont si édulcorées qu’elles en deviennent imbuvables, c’est d’ailleurs une des stratégies de l’ingénierie sociale.
Si une grande partie de la population se désintéresse de la politique, il y a aussi ceux qui sont politisés voire endoctrinés jusqu’à la moelle des os et qui, contrairement aux autres lisent beaucoup et sont pourtant aux antipodes des réalités actuelles ! L’information comme la cuisine n’est pas affaire de quantité mais de qualité. En conséquence de quoi les membres des partis politiques ne sont informés que partiellement, sur ce que l’élite de leur mouvement veut bien laisser filtrer de la réalité des faits, c’est-à-dire très peu de choses. Lorsque le membre d’un parti politique est réellement endoctriné et que son cerveau est formaté par une idéologie quelconque, il n’a hélas qu’une vision réduite de la société où il évolue.
Outre ces constations il existe aujourd’hui un phénomène assez répandu qui est l’harmonisation du contenu de journaux aux clivages politiques théoriquement différents. Le Figaro est un clone de Libération qui est lui-même un clone du Monde etc. Ce phénomène s’explique simplement par le fait que les journaux sont gérés par une même corporation composée de financiers, de marchands d’armes où de banquiers. En France on trouve par exemple : Dassault, Bouygues, Banque Lazard, Rothschild, Lagardère pour ne citer qu’eux. Si on va plus à fond dans la recherche on s’aperçoit rapidement que la quasi-totalité des médias mondiaux est entre les mains de financiers ou d’industriels, principalement sionistes ou WASP {1} .
Les plus curieux d’entre vous pourraient se demander pourquoi Rothschild finance à perte « Libération », qui est un journal de gauche – du moins en théorie – que plus personne ne lit. Cependant il est notoire que posséder un journal est un excellent moyen de contrôler l’information, donc de formater les esprits ! Vous comprenez maintenant pourquoi ces médias critiquent très rarement, la politique colonialiste de l’État hébreux, les velléités expansionnistes des nord-américains ou le totalitarisme quasi soviétique de l’Union Européenne… Exception faite de l’Humanité (journal communiste). Cependant force est de noter que l’Humanité soutient l’Union Européenne par idéologie universaliste ainsi que l’immigration de masse, curieusement ces choix sont intégrés au système ultralibéral ! L’U. E est dirigée par l’oligarchie financière mondiale, ses commissaires sont des apparatchiks aux ordres de la finance et de l’industrie nord-américaine ; quant à l’immigration de masse que Marx appelait « l’armée de réserve du capitale » son rôle est comme chacun le sait de briser le mouvement ouvrier. Donc qu’on le veuille ou non le quotidien l’Humanité est aligné sur l’idéologie du système et n’est donc pas crédible.
Les groupes qui dominent les médias sont généralement américains : Time Warner, Vivendi-Universal, Walt-Disney Co., News Corporation (de notre ami Murdock), Viacom et pour l’Europe le fameux groupe Bertelsmann dont l’ancêtre au départ était un petit imprimeur et qui au fil des ans est devenu un des plus grands groupes de médias du monde. Ajoutons encore, que durant la dernière guerre l’entreprise Bertelsmann fut employée par le 3 e Reich qui appréciait particulièrement ses services, l’historien Pierre Hillard l’explique clairement dans son ouvrage « La fondation Bertelsmann et la gouvernance mondiale (Ed. François Xavier de Guibert) ».
Enfin je ne vous cacherai pas ma satisfaction à participer, comme des milliers d’autres à démonter les mensonges de la presse, que l’on finit par déceler au premier coup d’œil. Les journalistes ne font plus désormais qu’un travail d’animateur social dont l’essentiel consiste, à mettre en forme des informations provenant de groupes comme l’ AFP ou Reuters – c’est la technique du copié-collé – qu’ils agrémentent de quelques commentaires politiquement corrects . Ainsi la fiabilité de ces géants de l’information est régulièrement remise en cause, par des sites qui se sont spécialisés pour déceler les techniques de désinformation et de manipulation des médias, sites dont je relaie régulièrement les observations.
Voilà donc pourquoi les journalistes critiquent les sites et les blogs d’Internet en arguant désespérément, que les auteurs de ces sites sont des conspirationnistes (sic) voire des fascistes pour reprendre le vocabulaire sommaire des serfs de la presse du système. Comme dit le proverbe « … Quand on veut tuer son chien on dit qu’il à la rage… » ! Outre à cela le système concocte depuis des mois, des propositions de lois