Ce cri pousse des vociférations contre les horripilantes réalités des ‘‘pays des pharaons’’, particulièrement celles des ‘‘riches-pauvres’’. Un pays, la cible de tous les qualificatifs : scandales géologique, agricole, château brillant. Mais toutes ces apologies effrénées n’ont pas suffi pour voir ce pays sortir de l’ornière. La précarité est son quotidien. Il patauge dans la misère : pénuries d'eau, d'électricité, d'infrastructures sanitaires, routières etc. Il est en manque de tout ou presque tout. Rien n’y est en abondance sauf l’offre de la nature. Il est tout de même en perpétuel mouvement sociopolitique orchestré par ses propres dirigeants faisant promouvoir le déchirement du tissu social, la chienlit, la médiocrité etc. Lesquels dirigeants également ne résolvent pas le problème du mal là où il fait mal; là où il commence. En plus, c'est un pays qui est soit en manque de dirigeants ou de peuple ou encore les deux. Le peuple pense qu'il vit dans un Etat des gouvernants et inversement. Les gouvernants attribuent cet Etat au peuple. En clair, personne ne se responsabilise. L’Etat se trouve abandonné. Ses gouvernants font tout et son peuple accepte tout.
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