L animation japonaise en France
230 pages
Français

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L'animation japonaise en France , livre ebook

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Description

L'animation japonaise, depuis son arrivée à la télévision française dans les années 1970, marquée par l'arrivée fracassante de Goldorak, interroge et attire le public, suscite passion et détestation. Cet ouvrage propose de revenir sur les conditions de la réception, de la diffusion et les formes de réappropriations qu'a connues l'animation japonaise suite à son introduction en France. Faut-il choisir son camp entre les studios Ghibli et Disney ?

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Informations

Publié par
Date de parution 01 mars 2016
Nombre de lectures 89
EAN13 9782140002977
Langue Français
Poids de l'ouvrage 4 Mo

Informations légales : prix de location à la page 0,1000€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

au proIt d’une connaissance et d’un intérêt accrus, l’
choisis par les chaînes de télévision françaises – il sufIt pour s’en
Sous la direction de Marie Pruvost-Delaspre
Marie Pruvost-DelasLpreANIMATION JAPONAISE EN FR ANCE Réception, diffusion, réappropriations
Réception, diffusion, réappropriations
Cinémas d’animations
Préface de Julien Bouvard
L’ANIMATION JAPONAISE EN FRANCE RÉCEPTION, DIFFUSION, RÉAPPROPRIATIONS
Collection « Cinémas d’animations »
Dirigée par Sébastien Roffat
Mobile, indécis, turbulent, rétif à la définition, le film d'animation ne se laisse pas facilement appréhender. La tentative de définition lui est quelque peu chimérique tant la diversité de ses formes, de ses techniques et de ses ambitions contraint à une définition ouverte. Le terme même de "film d'animation" couvre un éventail si large de pratiques artistiques et techniques, qu'il ne saurait désigner un ensemble homogène du point de vue esthétique. La collection "Cinémas d'animations" se veut le chantre de cette incroyable diversité.Déjà parus Pascal Vimenet,Un abécédaire de la fantasmagorie,2015. Sébastien Roffat,Esthétique et réception du dessin animé français sous l’Occupation (1940-1944). L’émergence d’une école française ?,2014. Sébastien Roffat,Histoire politique et économique du dessin animé français sous l’Occupation (1940-1944). Un âge d’or ?, Tome 2,2014. Sous la direction de Sébastien Denis, Chantal Duchet, Lucie Merijeau, Marie Pruvost-Delaspre, Sébastien Roffat,Archives et acteurs des cinémas d’animation en France,2014. Sébastien Roffat,Histoire du dessin animé français entre 1936 et 1940. Une politique culturelle d’État ?,2014.Maurice Noverre,La vérité sur l’invention de la projection animée. Émile Reynaud, sa vie et ses travaux,2013.Jérémie Noyer,Entretiens avec un empire. Rencontres avec les artistes Disney. Disneyland Paris raconté par ses créateurs,2012.Patrick Barrès,Georges Schwizgebel, peintre cinéaste d’animation, 2012. Stéphane Le Roux,Hayao Miyazaki, cinéaste en animation, 2011.Frédéric Clément,Machines désirées. La représentation du féminin dans les films d’animationGhost in the Shellde Mamoru Oshii, 2011.
Sous la direction de Marie Pruvost-Delaspre
L’ANIMATION JAPONAISE EN FRANCE RÉCEPTION, DIFFUSION, RÉAPPROPRIATIONS
Préface de Julien Bouvard avec les contributions de Clémence Allamand, Mathieu Anderson, Ariane Beldi, Julien Bouvard, Sébastien Denis, Jérémie Derhi, Mathieu Gaulène, Erwan Higuinen, Eva Morand, Marco Pellitteri, Marie Pruvost-Delaspre, Jacques Romero Vey, Bounthavy SuvilayL’Harmattan
© L’Harmattan, 20165-7, rue de l’École-Polytechnique ; 75005 Paris http://www.harmattan.fr diffusion.harmattan@wanadoo.fr harmattan1@wanadoo.fr ISBN : 978-2-343-07993-6 EAN : 9782343079936
Présentation des auteurs Clémence Allamanddoctorante contractuelle à l'université Sorbonne est Nouvelle – Paris 3. Elle prépare une thèse sur les enjeux socio-économiques des acteurs de la diffusion cinématographique en France au prisme du numérique sous la direction de Laurent Creton. Ses thèmes de recherche sont au croisement aussi bien de l’histoire des métiers, des techniques et des théories de l’innovation que d’approches d’ordre sociologique et économique. Chargée d’enseignement à l’Université Sorbonne Nouvelle – Paris 3, ses cours portent sur la distribution, l’exploitation, les enjeux de la diffusion cinématographique, l’histoire économique de l’industrie cinématographique en France, ou encore la comédie musicale. Mathieu Andersonest diplômé de deux institutions complémentaires : l’École du Louvre (où il rédige le mémoire Le cinéma d'animation japonais en France : l'évolution d'un regard, sous la direction de François-René Martin et de Laurent Jullier), et de l’Institut national de l’audiovisuel (INA). Riche de cette double culture analogique et numérique du patrimoine, il se passionne pour les formes alternatives et innovantes d’expressions multi-médias. Il est actuellement responsable des archives audiovisuelles de la Fondation Cartier pour l’art contemporain, où il est également chargé de la production de projets numériques en ligne. Ariane Beldiobtenu fin 2013, à l’issue d’un parcours académique international a mêlant sciences et sciences sociales, son doctorat en Sciences de l’information et de la communication à l’Université de Strasbourg. Sa thèse, articulant études des publics et sociologie des usagers, portait sur la réception des séries télévisées d’animation japonaise éditées enDVD pour les marchés francophones et germanophones en Europe. Pendant sa recherche doctorale, elle a contribué aux projets et événements du Manga Network, présidé par Jean-Marie Bouissou (Sciences-Po). Ses principaux intérêts comprennent, outre les domaines mobilisés pour son travail sur les séries animées japonaises, le traitement médiatique de polémiques sociétales impliquant des sujets relevant partiellement ou entièrement du domaine des sciences. Julien Bouvard est Maître de conférences en langue et civilisation du Japon contemporain à l’université Jean Moulin Lyon III. Il est membre de l'Institut des Études Transtextuelles et Transculturelles (IETT) et de diverses sociétés d'études françaises et japonaises sur le manga. Spécialisé dans l'histoire de la bande dessinée japonaise, il mène également des recherches sur les processus de censure, de légitimation, et sur l'intermédialité des produits de la culture japonaise contemporaine.
Sébastien Denisprofesseur en études cinématographiques à l'Université de est Picardie Jules Verne (Amiens). Il travaille sur plusieurs champs de l'audiovisuel, du cinéma et des arts plastiques, en particulier le cinéma de propagande pendant la guerre d'Algérie, le transmédia et le cinéma d'animation. Il a publié l'ouvrageLe ème Cinéma d'animationéd. 2011) et prépare un livre intitulé(Armand Colin, 2007, 2 Les Shadoks. Histoire, esthétique et pataphysique(INA, 2015). Jérémie Derhiest doctorant à l'université Sorbonne Nouvelle – Paris 3 au sein du laboratoire de recherche "Communication, Information, Médias" (CIM) et travaille dans le cadre de sa thèse sur la réception de l'information politique des chaînes d'information en continu ITélé et BFMTV sous la direction de Jamil Dakhlia. Chargé de cours à l'université Sorbonne Nouvelle – Paris 3 au sein du Master Professionnel « Didactique de l'Image » du département Cinéma & Audiovisuel, il enseigne parallèlement le "Domaine Littéraire et Artistique" en BTS audiovisuel.Mathieu Gaulèneun journaliste indépendant, dont les écrits concernent est principalement le Japon où il réside depuis quatre ans. Ses thèmes de prédilection sont la culture populaire japonaise – avec des articles parus surIna-global– ainsi que les enjeux politiques et sociaux de ce pays. Il a notamment écrit plusieurs articles sur l’après-Fukushima, la politique énergétique du Japon ou encore l’opposition au nucléaire pour des journaux ou magazines telles queAlternatives internationales, Mediapart, Politis, Rue89,ou encoreSlate.fr. Il est également l’auteur d’un ouvrage sur Le Nucléaire en Asie, aux éditions Philippe Picquier. Erwan Higuinen, journaliste et critique, a longtemps collaboré auxCahiers du cinémaoù il s’est tout particulièrement intéressé à l’animation japonaise. Il écrit aujourd’hui sur le cinéma, les séries télévisées et les jeux vidéo, en particulier dans Les Inrockuptibles, le magazineGameset la revueSoap. Eva Morand est titulaire d’un Master 2 d’Études cinématographiques et audiovisuelles obtenu à Paris 3. Son mémoire, rédigé sous la direction de Raphaëlle Moine, traite de l’arrivée des films du studio Ghibli en France à travers l’étude de leur distribution et de leur promotion mais aussi de leur contexte de réception. Après avoir travaillé plus de deux ans à Paris au sein de l'institution culturelle du Forum des Images, notamment comme coordinatrice de la communication, elle se destine à une carrière professionnelle dans le secteur de la distribution ou de la production cinématographique. Marco Pellitterititulaire d’un doctorat en sociologie obtenu à l’université de est Trente. Il mène actuellement ses recherches dans le cadre de la JSPS (Société japonaise pour la promotion de la science) à l’université de Kobe (2014-2016). Il a écrit plusieurs livres sur la bande dessinée, l’animation, les médias et les jeunes, et des articles pour des revues telles queJournal of Italian Cinema and Media Studies,
Manga Global Studies,Animeshon Kenkyû,Yuriika,International Journal of Comic Art, Studies in Comics,Belphégor,European Comic Art,Image & Narrative. Sa thèse de doctorat a remporté le prix 2009 de la « John A. Lent Scholarship on Comics Studies ». Son livreThe Dragon and the Dazzle: Models, Strategies, and Identities of Japanese Imagination – A European Perspective(publié en italien en 2008, en anglais en 2010) a été traduit et publié pour le public international avec le soutien de la Fondation du Japon. Marie Pruvost-Delaspre estATER (Attaché temporaire d’enseignement et de recherche) au département Cinéma & Audiovisuel de l’université Sorbonne Nouvelle – Paris 3. Elle a soutenu en novembre 2014 sa thèse, rédigée sous la direction de Laurent Creton, « Pour une histoire esthétique et technique de la production animée : le cas de la Tôei Dôga (1956-1972) », qui porte sur les modèles de production de l’animation japonaise. Ses recherches associent l’analyse des formes et l’histoire de la production et des techniques, dans une perspective pluridisciplinaire. Elle a étudié la langue japonaise et a été accueillie en 2010 dans le cadre d’un échange à l’université Keio de Tokyo. Jacques RomeroVey est un rédacteur indépendant, bibliothécaire et documentaliste, dont les principaux travaux rédactionnels concernent l’animation. Il a notamment écrit pourAnimeLand(2005-2008) et signé par ailleurs divers textes tels ceux sur l’animation soviétique pour le sitePlanète Jeunesse. Il est également rédacteur et cocréateur avec Charlie Martinet des sitesL’Univers deYamato, consacré à la saga de Leiji Matsumoto et Yoshinobu Nishizaki, etMobilis in Mobile, le mythe du Nautilus et du capitaine Nemo, consacré aux nombreuses adaptations de par le monde des romansVingt Mille Lieues sous les mers etL’Île mystérieuseà toute et oeuvre évoquant le héros vernien et son sous-marin. Bounthavy Suvilay a travaillé pourAnimeLandsupervisé plusieurs hors-séries et avant de devenir rédactrice en chef d’IG magazine, bimestriel sur le jeu vidéo. Elle a dirigé plusieurs livres dontRPG, le jeu de rôle : du papier au pixel. Elle rédige également des articles dans des revues et ouvrages collectifs universitaires : « Jules Verne au pays du manga » (Belphégor), « Dragon Ball, du Roi des singes au super-guerrier » (Mythe et bande dessinée), « La représentation du corps féminin dans le manga et le dessin animé japonais : robots, cyborgs, intelligences artificielles » (Les Représentations du corps dans les œuvres fantastiques et de science-fiction).
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