Lucas et la Chick Team - collection Tip Tongue - A2 intermédiaire - dès 12 ans
299 pages
Français

Vous pourrez modifier la taille du texte de cet ouvrage

Lucas et la Chick Team - collection Tip Tongue - A2 intermédiaire - dès 12 ans , livre ebook

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299 pages
Français

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Description

Un Tip Tongue sur mesure pour les ados, qui nous emmène à Nashville dans le Tennessee, berceau de la musique country.

Lucas part pour un mois avec ses parents et sa grande sœur Morgane à Nashville, où ils seront hébergés par les Williams, un couple aisé, chercheurs dans l'industrie pharmaceutique. Mais tandis que Morgane plaisante avec Jennifer, la fille aînée des Williams, et se passionne pour les visites culturelles qu'on leur a concoctées, Lucas ne se sent pas capable de s'intégrer. Il va pourtant se lier d'amitié avec la petite Candy Williams, dont il partage la passion du football, et se retrouver bientôt à la tête d'une équipe de fillettes qui ne veulent plus que lui comme entraîneur...

Parce que l'anglais est aussi agréable à écouter, chaque roman numérique Tip Tongue est enrichi de sa version audio, page après page.


Informations

Publié par
Date de parution 03 novembre 2016
Nombre de lectures 6
EAN13 9782748521603
Langue Français
Poids de l'ouvrage 69 Mo

Informations légales : prix de location à la page 0,0300€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

MAÏTÉ BERNARD LUCAS   ET LA CHICK TEAM Illustrations CLÉMENT RIZZO
Chapter One GRUMPY Chapter Two ARTS AND CRAFTS Chapter Three ENJOY Chapter Four THECHAMP’ Chapter Five SHY GUY Chapter Six THEBALL IS YOURFRIEND Chapter Seven THETAYLORSWIFTMYSTIQUE Chapter Eight KEEP YOUR HEAD UP ChapterNine NICEANDFUN Chapter Ten NOTFUN,NOTFUN ATALL ChapterEleven HELL Chapter Twelve COACHLUCAS L'auteur Dans la même collection
Chapter One GRUMPY

pas de son...
L a vue était àlafois étrange et familière.Si Lucas regardait vers la rivière Cumberland, il pouvait admirer un bateau semblableà celui del’album de Lucky Luke , En remontantle Mississippi . S’il se retournait, il était face à des gratte-ciel. – C’est pas incroyable d’être en plein centre- ville deNashville ? Jean, son père, venaitdelui passer un bras sur l’épaule, mais Lucas sedégagea avant de s’éloigner. – I’m sorry he’s so grumpy, dit Jean.

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– That’s all right, répondit Susan. He’s just tired, he lacks sleep. – Je viens de m’excuserpourton caractère grognon, lui lança son père. – Et elle t’a répondu que j’étais fatigué et que je manquais de sommeil, non ? – Bravo ! Énervé parsonironie et sabonne humeur, Lucas se rapprocha de Blandine et de Morgane, sa mère et sasœur,et allas’accouderàlaram - barde qui surplombait l’eau marron.Sur la rive d’en face, desarbresetdesbâtimentsneufs resplendissaient. Il sentaitun mal detêtelan - cinant, et la chaleur qui s’annonçait n’allait rien arranger. Quand il avait dit à ses copains qu’il passerait le mois de juillet aux États-Unis avec sa famille, ils l’avaient tous envié,mais quand il avait pré - cisé qu’ils seraient àNashville,ils avaient tous demandé : « C’est où ? » C’était dans le Tennessee, et la ville faisait un peu plus d’un million cinqcent mille habitants.

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Ils y avaient débarquéla veille à sept heures du soir heure locale,soit deux heures du matin pour leur corps. – Non, on ne va pas se coucher tout de suite, avait décrété Jean quand ils étaient arrivés à la maison dePatetSusan Williams. It’s timeto socialize! L’heuredesortir en société ?! L’heurede  dormir, oui ! – Et comme ça,avait ajouté Blandine,on se défera plus vite du décalage horaire. Il avait donc dû faire plus ample connais - sance avec les Williams.Ils étaient tous les deux chercheurs dans l’industrie pharmaceu - tique, secteur le plus important de l’économie de la ville.Ils allaient hébergerles Français pendant unmois,le temps d’unéchange sur les pratiques deleurs entreprises. Les week- ends seraient donc les seuls moments où les adultes feraient du tourisme,et c’est pourquoi Jean les avait réveillés cematin à huit heures. Ils avaient pris unpetit déjeunerquin’avait

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rien de petit, puis Susan les avait conduits ici, en plein centre. – What do you do in the summer? Il se tourna vers Jennifer, qui tenait sa petite sœurCandy parla main.Comment pouvait-on avoir des prénoms aussi caricaturaux ? Il faut dire que cette famille semblait sortie d’une série. Le père était très blond, très grand, très jovial, avec un beau visage carré et une voix de stentor. La mèreétaitunegrandeblondeaussi, mince mais solide. Quant aux lles, l’aînée avait dix-septans, la cadetteonze, etelles étaient toutes les deux très jolies,très blondes,avec des yeux très bleus, des dents très blanches, et cette espèce d’énergie positive que l’on sentait même quand elles se contentaient de vous regarder. Mais là,Jennifer venait bel et bien de s’adres - ser à lui. Elle voulait savoir ce qu’il faisait pendant l’été. – I understand you do a lot of sport? What sport do you prefer? demanda-t-elleen essayant de l’aider.

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Elle comprenait qu’il faisait beaucoup de sport ? Non, dans le cas présent, « understand » devait signier qu’elle l’avait entendu dire. Il soupira.Un,il n’avait aucune envie de parleranglais.Deux,il n’avait aucune envie de parler tout court. – Iplay football,se força-t-il à dire,no, soccer. Il s’était corrigé parce que,ici,« football » désignaitleur footballaméricain, celui avecles casques, les épaulettes, leballon à la main et les pom-pom girls. – Great! Candy plays soccertoo.Here,it’s more forchicks thanfordudes,but Idon’t know, maybe David Beckham is changing that… Elle inspiralabrise quipassait surlarivière et, changeant de sujet, elle dit : – I just lovethebeginning of summer, don’t you? Il eut un instant de panique.D’abord,à quatorze ans, il venait de nir sa quatrième et il avait fait trois ans d’allemand et seulement

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und’anglais.Sacompréhensionétait donc très limitée. Ensuite, il était sorti unefois avec une lle et ça n’avait pas duré plus d’une soirée. On pouvait donc dire qu’il n’était pas encore très à l’aise avec le sexe opposé. – The rst week of summer is always so glorious, poursuivit-ellesans s’apercevoir qu’il était perdu.But,by the second week,you almost want to go back to school early! Elle rit en l’interrogeant du regard. – Elle vient de dire que la première semaine de l’été est toujours merveilleuse,intervint Morgane, qui les avait rejoints. Elle avait dix-sept ans,comme Jennifer,et elle était grande et mince aussi, mais brune. – Que, par contre, à la n de la deuxième semaine, on a déjà enviede retourner à l’école. – Ben pas moi ! Il se pencha à nouveau vers l’eau marron. – I don’twantto soundlikea weirdo, dit Jenniferà la Française,so of course Ipush that thought out of my mind.

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– Yeah, let’s just enjoy ourselves. Lucas sentit son moral baisser encore et son mal de tête augmenter.Il ne comprenait RIEN et sa sœur comprenait TOUT. – Exactly! répondit Jennifer. Oui, protons. Sauf que tout le monde n’avait pas la même façon de proter. Lui par exemple détestait qu’on essaie de l’occuper. Il s’occupait très bien tout seul, merci. Il jouait à des jeux sur son ordinateur, il regardait des lms, il lisait. Enplus,les Williams avaient une piscine.Que demander de plus ? Son père surgit soudain à ses côtés. – Ça ne va pas ? murmura-t-il. – Si, si, répondit-il mollement. – Écoute,c’est très simple.Tu fais la tête depuis qu’on est partis deParis. On a étépatients mais,maintenant,tu te montres impoli.Alors, soit tu commences à apprécierta chance,soit tu rentres ettu passes ta journée seul. Une demi-heure plus tard, il était de retour chez les Williams.

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Chapter Two ARTSANDCRAFTS

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L a colèreavait enveloppéla têtedeLucas d’un casque de douleur et il se dirigea vers la sallede bains de Pat et Susan pour y prendredel’aspirine. Un tubedeVicodin attirasonregard.Le nomluidisait quelque chose. Il essaya de comprendre ce qui était inscrit sur l’étiquette, sans succès. Vicodin, aspirine, ça sonnaitpareil, non ? Il repartit vers la cuisineet ouvrit lefrigo où on aurait pu caser deux personnes. Il ne savait pas pourquoi il y avait tant d’eaux,de laits et de jus de fruits différents.Il saisit la  bouteille de jus d’orange

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la plus proche et avala un comprimé en une gorgée. Puis il sortit dans le jardin, contourna lapiscine et entra dans lapool house.En effet, non seulement les Williams avaient une mai - son immense, mais ils avaientaussi un jardin immense,où se trouvaient une piscine et une dépendance élégante dans laquelle logeaient Morgane et Lucas. Quand il se réveilla, il ne comprit pas tout de suite où il était. Le soleil ltrait au travers des rideaux. Il y avait uncomptoir avec des chaises de bar, un billard, un petit canapé-lit en face du sien etune table basse entre les deux. Il regarda sa montreà côtédela Vi

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