Peter et le mystère du Headless Man - collection Tip Tongue - A2 intermédiaire - dès 12 ans
264 pages
Français

Vous pourrez modifier la taille du texte de cet ouvrage

Peter et le mystère du Headless Man - collection Tip Tongue - A2 intermédiaire - dès 12 ans , livre ebook

-

264 pages
Français

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Description

Lire l'anglais devient naturel ! Une nouvelle collection révolutionnaire de romans en français qui passent petit à petit en anglais, de manière progressive et naturelle !
Pierre part en vacances dans le sud de l'Angleterre, chez ses cousins qu'il n'a jamais rencontrés. Dans l'imposante demeure familiale qui ressemble à un château médiéval, des objets disparaissent depuis quelque temps. Pierre, qui n'est pas très à l'aise en anglais, va pourtant dénouer ce mystère...

Parce que l'anglais est aussi agréable à écouter, chaque roman numérique Tip Tongue est enrichi de sa version audio, page après page.


Informations

Publié par
Date de parution 21 avril 2016
Nombre de lectures 25
EAN13 9782748521696
Langue Français
Poids de l'ouvrage 71 Mo

Informations légales : prix de location à la page 0,0300€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

STÉPHANIE BENSON PETER ETLEMYSTÈRE   DUHEADLESSMAN Illustrations JULIEN CASTANIÉ
Chapter One UP IN THEAIR Chapter Two THE LETTER Chapter Three THE ARRIVAL Chapter Four THE JOURNEY HOME Chapter Five THE CASTLEANDLAKE Chapter Six THE HEADLESS MAN Chapter Seven THE FOLLOWINGMORNING Chapter Eight DOWN ATTHEPOLICESTATION ChapterNine GOINGFISHING Chapter Ten THE LONELY BOY ChapterEleven ONEMYSTERY LEADS TOANOTHER Chapter Twelve PANCAKES ANDFRIENDS L'auteur Dans la même collection
Chapter One UPINTHEAIR

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– P leasefasten your seat belt, young man, dit l’hôtesse de l’air en se penchant sur Pierre avec un sourire engageant. Pierre ne comprit pas bien,et il répondit avec les trois phrases qu’il avait apprises par cœur avant de partir : – I’m sorry, I don’t speak English. I’m French. L’hôtesse de l’airsourit de nouveau et lui montra sa ceinture de sécurité qui était défaite. – Your seat belt,répéta-t-elle. It’s unfas - tened. It must be fastened.

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Pierre comprit que sa ceinture était détachée et qu’il devait laboucler,et il s’empressade le faire touten inspirant leparfum sucrédela femme au sourire magnique. Elle véria que tout était en ordre, puis s’éloigna d’une démarche élé - gante.Pierre soupira.C’était bien de voir les gens sourire. De façon simple, accueillante, agréable. Depuis quelques semaines – voiredes mois, à présent qu’il y pensait –, il n’y avait pas beau - coup de sourires à la maison.Ses parents,de leur propreaveu, traversaientune« crise ». Cela avait commencé par des disputes pour un oui ou pour un non, avec sa mère qui criait en anglais et sonpère qui s’énervait parce qu’il ne comprenait pas. Et ces derniers temps, son pèredormait sur lecanapé. Mêmes’il essayait dedissimuler ce fait, Pierre voyait la couverture repliée à la hâte lorsqu’il se rendait à la cuisine pour prendre son petitdéjeuner. Puis, un matin, ses parents lui avaient expliqué qu’ils avaient besoin de passer unpeu de temps tous les deux,sans lui,pour « faire le point ».

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Du coup, leur ls unique allait chez ses cousins anglais.PourPierre,l’idée de passer des vacances sans ses parents étaità la fois un soulagement et une source d’inquiétude. Est-ce qu’ils allaient régler leurs problèmes s’il n’était pas dans leurs pattes, ou est-ce qu’ils décide - raientdeseséparer ? Etest-cequ’il allait, lui, s’entendre avec cette partie de la famillequ’il n’avait jamais rencontrée ? L’avion décolla dans un vacarme assourdis - sant et prit de l’altitude. L’hôtesse de l’air revint vers luiavec unchariot surlequel il y avait des boissons et des sandwichs. – Would you like something to drink? demanda-t-elle avec un nouveau sourire. Là, Pierre comprit. « Drink » était un mot qu’il connaissait, ça voulait dire« boisson ». C’était également le verbe pour « boire ». « To drink adrink »,c’était « boire une boisson ».Pierre trouvait ça marrant qu’en anglais les verbes et les noms soientsouventidentiques. Parfois, quand il était petit,samère luiparlait enanglais,

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et il avait retenu quelques mots comme« drink ». Plus ceux qu’il avait appris au collège. – Yes, please, répondit-il. – Whatwouldyou like? A fruitjuice? A Coke? « Fruitjuice » faisaitpartiedecesmots connus, d’autantplus queces deux-là ressem - blaient au français,même s’ils n’étaient pas dans le même ordre et ne se prononçaient pas du tout pareil. Et « Coke » était le raccourci anglais pour Coca-Cola, là où en français on disait « Coca ».Finalement,il y avait beaucoup de ressemblances entre les deux langues. – A Coke, please, répondit-il en se disant que c’était plus simple que de se lancer dans les diffé rents choix de jus defruits. Pour le jus d’orange, pas de difculté, ça se disait « orange juice »,mais Pierre n’aimait pas beaucoup le jus d’orange et,dans le stress du départ, il n’était pas certain de sesouvenir des autres noms de fruits. – And would you likea sandwich? demanda l’hôtesse de l’airenluitendant deux corbeilles

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remplies desandwichsenveloppésindividuelle - ment dans du plastique. Ham or cheese? Cette fois, Pierre était de nouveau perdu, mais il voyait qu’une des corbeilles, celle que l’hôtesse avait proposée en premier,contenait des sandwichs remplis detranches derose, alors que l’autre était garnie de sandwichs rem - plis de jaune.Il endéduisit que « ham » voulait dire « jambon » parce qu’il savait que « cheese » signiait « fromage ». – Cheese, please, répondit-il en se disant que laprononciationdes deux mots se ressemblait beaucoup. La jeunefemmelui tendit un sandwich au contenu jauneet unecanettedeCoca, puis s’éloigna. Pierre se demandait à quoi ressemblaient ses cousins.Sa mère lui avait dit qu’ils allaient envoyerdes photos parmail,mais ils avaient emménagé depuis peu dans leurnouvelle mai - son et n’avaient apparemment pas encore de

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connexionInternet.Il savait peu de choses sur eux, en fait. D’après sa mère, Alison avait son âge, quatorze ans, et Janice un an et demi de plus.Leurfrère,Steven,avait dix-sept ans.Sa mère lui avait promis qu’il s’entendrait très bien avec eux. Ce qui inquiétait Pierre, cepen - dant, était que personne ne parle français, mais sa mère lui avait assuré qu’il se mettrait très vite à comprendre l’anglais et qu’il reviendrait bilingue.S’il avait su ce qui l’attendait,son inquiétude concernant l’anglais lui aurait sem - blé ridicule encomparaisondes autres épreuves qu’il devrait surmonter.Mais pourl’heure,heu - reusement,il ignorait tout de l’aventure qu’il allait vivre durant son séjour.

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Chapter Two THE LETTER

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P ierre mangea son sandwich, but son Coca, puis ressortit de sonsac lalettre qu’il avait reçue de ses cousins quelques jours plus tôt. Troisécrituressesuivaientsur unepagedécorée d’araignées et de sorcières : Dear Pierre (or, in English, Peter), I’m very happy you’re coming to stay with us for thesummer hols. Lookingforwardto meet - ing you! Lots of love, Ally

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Dear Peter, Don’t forget to bring us some French cheese! And don’t forget your swimming trunks, either, there’s a lakejust behind thehouse… If weget some sun. Plus the beach, of course! Love, Jan Dear Peter, Do you like shing? My friends and I often go shing in the lake, and you’re welcome to tag along. We even catch some sh sometimes. Hope your plane doesn’t crash! See you next week. Love, Steven Àl’aide d’undictionnaire (il ne voulait sur - tout rien demander à ses parents ces temps-ci), Pierreavait déchiffréles différents messages. Ça n’avait pas été facile !

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« Dear » voulait dire « cher », jusque-là, pas de difculté, ni pour « ou, en anglais ». « Je suis très heureuse » était plutôt évident, mêmesi, d’après ses informations, Ally était une lle, Alison, et que rien ne l’indiquait dans « happy », alors qu’enfrançais on disait « heureuse » au féminin.En revanche,la suite lui avait posé un certain nombre de problèmes,jusqu’à ce qu’il comprenne que « tu es en train de venir » voulait enfait dire « tu vas venir » et que « hols » était un raccourci pour « holidays ». Fort de ses nouvelles connaissances, il avait redoublé d’efforts. Mais il n’était pas au bout de ses peines.« Regardant en avant à réunion toi » n’avait à peu près aucun sens. Il lui fallut un quart d’heure pour réaliser qu’il manquait « I am » au début de laphrase,et que « meeting » voulait aussi dire « rencontrer ». Il découvrit que « to look forward to » étaitce qu’on appelaitun « phra - sal verb » ou verbe à particule.Littéralement « regarder en avant dans le temps », cela signiait « avoir hâtede ». Gagné ! Touts’éclaircissait. Sa

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cousine avait hâte de le rencontrer, c’était déjà un bon point.Puis il eut un moment de frayeuren croyantqueAlison (ouAlly) étaitamoureusede lui.Mais non,c’était seulement lamani

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