Armance ou quelques scènes d un salon de Paris en 1827
16 pages
Français

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Armance ou quelques scènes d'un salon de Paris en 1827 , livre ebook

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Description

Cette fiche de lecture sur Armance ou quelques scènes d'un salon de Paris en 1827 d'Henri-Marie Stendhal propose une analyse complète de l'oeuvre :

• un résumé d'Armance ou quelques scènes d'un salon de Paris en 1827
• une analyse des personnages
• une présentation des axes d'analyse d'Armance ou quelques scènes d'un salon de Paris en 1827 d'Henri-Marie Stendhal

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Informations

Publié par
Date de parution 04 mai 2015
Nombre de lectures 2
EAN13 9782511031650
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0350€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Armance ou Quelques sc nes d un salon de Paris en 1827
Stendhal
I. INTRODUCTION
Armance ou Quelques sc nes d un salon de Paris est une oeuvre romanesque de Stendhal, pseudonyme d Henri Beyle. Il est le sixi me ouvrage de l auteur para tre, mais en r alit cette oeuvre est le premier roman que l auteur crivit. Elle fut publi e Paris en 1827.
S il s agit bien d un roman, Stendhal le pr sente via le sous-titre comme tant plut t une chronique des moeurs de l poque. Il a la volont d y d crire la situation sociale des nobles spoli s durant la R volution, et qui b n ficient, l poque o est r dig e l oeuvre, de revenus d indemnit s en cons quence de cette spoliation. En effet, la loi sur le " milliard des migr s venait d tre vot e la Chambre en avril 1825.
Dans l avertissement au lecteur qui pr c de le roman, l auteur, tout comme dans les Chroniques italiennes, indique qu il n est en aucun cas responsable du texte qu il va pr senter. Il se pose comme le correcteur d un manuscrit qui lui fut remis. Il affirme galement qu il ne fait que d peindre un milieu auquel il est tranger : Il n en conna t ni les moeurs ni coutumes, il ne conna t pas les grands noms de ce monde nobiliaire et ne fait pas partie de cette classe. Ainsi, l auteur se d barrasse de toute censure et de toute critique. Il affirme galement, et ce pour la premi re fois, qu il ne fait que pr senter un " miroir au public , formule qui deviendra le motif r curent de l oeuvre stendhalienne. Le but romanesque est clair : loin d endosser toute responsabilit quant la teneur de ses propos, Stendhal prend des pr cautions afin d viter toute censure. Il n est ni plus ni moins qu un relais entre la r alit et son d voilement.
II. R SUM
Le d but du roman met en sc ne le personnage principal, Octave de Malivert. Sorti vingt ans de l cole Polytechnique, Octave est un jeune homme issu de la classe nobiliaire. Il poss de " beaucoup d esprit, une taille lev e, des mani res nobles, de grands yeux noirs les plus beaux du monde . Il aurait tout, en apparence, pour tre heureux mais il est en proie une m lancolie, une tristesse et une misanthropie qui inqui te sa m re, la marquise de Malivert. Octave est un tre solitaire, il regrette sa petite cellule d tudiant et se sent part des autres hommes. Pour enrayer cette maladie que les m decins ne parviennent pas expliquer, sa m re l invite dans le salon de la marquise de Bonnivert. L se tient une r ception en l honneur du vote de la loi d indemnit qui fera de lui un jeune homme fortun . Au cours de la r ception, Octave se retrouve en face de sa cousine Armance de Zohiloff, dont il remarque imm diatement la grandeur et la noblesse d me. En effet, bien qu Octave soit officiellement devenu un bon parti, elle seule ne semble pas empress e d obtenir ses faveurs. S duit par cette personnalit qu il juge hors du commun, Octave se soucie plus d obtenir son amiti que ses faveurs amoureuses. Il voudrait la persuader de son m pris pour les deux millions qu on lui a promis.

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