Euripide - Oeuvres complètes
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Euripide - Oeuvres complètes , livre ebook

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Description

Ce volume 43 contient les oeuvres d'Euripide


Euripide, en grec ancien Εὐριπίδης / Euripídês (Salamine vers -480 - Macédoine en -406) est un des trois grands tragiques de l'Athènes classique, avec Eschyle et Sophocle. Certains auteurs antiques lui attribuent 95 pièces, mais selon la Souda, il n'en écrivit pas plus de 92, dont 18 ou 19 conservées dans leur intégralité ; il existe des fragments, certains de longueur importante, de la plupart des autres pièces. (Wikipedia.)



CONTENU DE CE VOLUME


ŒUVRES
AVIS DU TRADUCTEUR.
NOTICE SUR EURIPIDE.
LE CYCLE TROYEN
LES TROYENNES 415
HÉCUBE 424
A Ν DROMAQUE 425
HÉLÈNE 412
LE CYCLOPE (Drame satyrique)
RHÉSUS (Apocryphe)
LES LÉGENDES D'ARGOS
IPHIGÉNIE EN AULIDE 405
ÉLECTRE 413
ORESTE 408
IPHIGÉNIE EN TAURIDE 414
LES LÉGENDES DE THÈBES
LES BACCHANTES 405
ALCESTE 438
HERCULE FURIEUX 416
LES PHÉNICIENNES 410
LES LÉGENDES D'ATTIQUE
ION 413
MÉDÉE 431
HIPPOLYTE 428
HERACLIDES 430
LES SUPPLIANTES 423


Les livrels de lci-eBooks sont des compilations d’œuvres appartenant au domaine public : les textes d’un même auteur sont regroupés dans un eBook à la mise en page soignée, pour la plus grande commodité du lecteur. On trouvera le catalogue sur le site de l'éditeur.


Sujets

Informations

Publié par
Nombre de lectures 227
EAN13 9782376810520
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0015€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

EURIPIDE ŒUVRES COMPLÈTES N° 43
Les livrels de lci-eBooks sont des compilations d’auteurs classiques : les ouvrages d’un même auteur sont regroupés dans un eBook à la mise en page soignée, pour la plus grande commodité du lecteur.
MENTIONS
(1) © 2014-2020 lci-eBooks (les eBooks classiques illustrés, www.lci-ebooks.com) pour ce livre numérique, à l’exclusion du contenu appartenant au domaine public ou placé sous licence libre. (2) Toute autre marque ou entité mentionnée par l’éditeur dans cet ouvrage ne l’est qu’à des fins de citation des sources, et il n’existe aucune relation d’aucune sorte entre ladite marque ou entité et l’éditeur. (3) Toute opinion et tout stéréotype contenus dans cet ouvrage n’appartiennent qu’à leur auteur et n’engagent que lui seul ou qu’elle, et il se peut qu’ils reflètent les préjugés de son temps ou de son lieu. (4) L’orthographe originelle a été généralement conservée et peut se trouver différer de celle en vigueur.
ISBN : 978-2-37681-052-0
pour la version 1.x au format EPUB et sans DRM.
Historique des versions : 2.1 (05/02/2020), 2.0 (21/08/2018), 1.3 (22/05/2015)
SOURCES
Cet eBook a été élaboré à partir des ressources suivantes sur le Web. Pour accéder à des hyperliens cliquables pour chacune, on consultera la page générale des ressources sur le site internet.
— Site de Philippe Remacle : Alceste, Héraclides, Hippolyte, Andromaque, Hécube, Les suppliantes, Iphégénie en Tauride, Ion, Hélène, Le cyclope, Rhésus. Tous ces textes ont été révisés pour cette édition.
— Fac-similés : Les Phéniciennes (Google Livres / NYPL [New York Public Library]) , Iphigénie en Aulide (Google Livres / NYPL). [v. 3] Les Bacchantes, Héraclès furieux, Électre (Google Livres / BSB [Bibliothèque de l'État de Bavière]), Médée (Google Livres / BSB).

— Couverture : Buste d’Euripide. Marbre, copie romaine d’un original grec de 330 av. J.-C. environ/Marie-Lan Nguyen (2006)/Wikimedia Commons..
— Page de titre : Berlin, Altes Museum, Euripides, copie romaine d’un œuvre grecque, Athène 330 av J.-C/Gunnar Bach Pedersen 2007/Wikimedia Commons.

Si vous estimez qu’un contenu quelconque de ce livre (texte ou image) n’a pas le droit de s’y trouver ou n’est pas attribué correctement, veuillez le signaler par le formulaire du site ou à : contact@lci-ebooks.com.
LISTE DES ŒUVRES
Euripídês (-480 – 406)
Euripide aurait écrit 92 pièces. Il nous en reste 19, dont une apocryphe.

INTRODUCTION

LE CYCLE TROYEN

LES TROYENNES
415
HÉCUBE
424
AΝDROMAQUE
425
HÉLÈNE
412
LE CYCLOPE (Drame satyrique)

RHÉSUS (Apocryphe)

LES LÉGENDES D’ARGOS

IPHIGÉNIE EN AULIDE
405
ÉLECTRE
413
ORESTE
408
IPHIGÉNIE EN TAURIDE
414
LES LÉGENDES DE THÈBES

LES BACCHANTES
405
ALCESTE
438
HERCULE FURIEUX
416
LES PHÉNICIENNES
410
LES LÉGENDES D’ATTIQUE

ION
413
MÉDÉE
431
HIPPOLYTE
428
HERACLIDES
430
LES SUPPLIANTES
423
PAGINATION
Ce volume contient 279 360 mots et 928 pages.
01. INTRODUCTION
3 pages
02. ALCESTE
43 pages
03. MÉDÉE
43 pages
04. HERACLIDES
38 pages
05. HIPPOLYTE
51 pages
06. LES TROYENNES
39 pages
07. AΝDROMAQUE
42 pages
08. HÉCUBE
42 pages
09. LES SUPPLIANTES
41 pages
10. HERCULE FURIEUX
44 pages
11. IPHIGÉNIE EN TAURIDE
57 pages
12. ION
67 pages
13. ÉLECTRE
42 pages
14. HÉLÈNE
61 pages
15. LES PHÉNICIENNES
60 pages
16. ORESTE
67 pages
17. LES BACCHANTES
44 pages
18. IPHIGÉNIE EN AULIDE
61 pages
19. LE CYCLOPE (Drame satyrique)
33 pages
20. RHÉSUS (Apocryphe)
37 pages
INTRODUCTION
Par M. ARTAUD.
Inspecteur général des études
Éléments bibliographiques :
Édition originale et source de la présente édition : Tragédies d’Euripide, Charpentier, 1842.
3 pages
TABLE
AVIS DU TRADUCTEUR.
NOTICE SUR EURIPIDE.
Titre suivant : ALCESTE.
AVIS DU TRADUCTEUR.
Cette traduction nouvelle d’Euripide a été conçue et exécutée dans le même système que celles de Sophocle et d’Aristophane : on s’est proposé de reproduire avec une exactitude scrupuleuse non seulement le sens général de l’auteur, mais jusqu’à la forme de sa pensée.
Le sentiment historique qui, de nos jours, a reporté les esprits vers l’étude du passé, les a rendus aussi plus exigeants sur la manière de traduire les anciens. On ne se contente plus des à peu près qui suffisaient autrefois ; on veut aujourd’hui les voir dans leur état naturel, si je puis m’exprimer ainsi, c’est-à-dire sans travestissement, sans parure moderne, avec le costume de leur temps et de leur pays, avec leurs préjugés, la crudité de leurs passions et leur physionomie parfois étrange.
La tâche du traducteur est devenue par là plus difficile. Cette liberté qu’il prenait jadis d’habiller son auteur à la mode contemporaine lui est désormais refusée : on ne lui permet plus d’effacer ce que les mœurs et les habitudes des siècles passés peuvent avoir d’insolite pour le nôtre ; on lui demande avant tout d’être vrai, d’être fidèle ; on lui demande une copie aussi exacte que possible de la pensée antique, ressuscitée sous sa forme et ses couleurs originales. Qui ne voit déjà ce qu’une pareille résurrection offre de difficultés ? Il y a une mesure de fidélité au delà de laquelle on risque de tomber dans le bizarre ; il faut aller jusqu’au point où l’exactitude deviendrait choquante en français. Atteindre la limite sans la dépasser, c’est là une affaire de tact.
Un principe auquel je me suis attaché surtout dans l’exécution, c’est de conserver autant que possible le mouvement et le tour de la phrase grecque ; j’aurais voulu pouvoir la calquer, pour ainsi dire, et en rendre tous les contours. Car l’esprit du poète et de sa nation se réfléchit aussi, jusqu’à un certain point, dans ces formes extérieures du langage, auxquelles les anciens donnaient un soin si curieux : le style est la physionomie de l’âme. Pour reproduire au degré désirable, non seulement les images, mais la coupe de la phrase et la marche de la pensée, l’expérience des maîtres dans l’art de traduire a consacré la règle de marcher pas à pas avec le texte, et de suivre, autant que notre langue le comporte, l’ordre des mots, qui représente l’ordre des idées. En effet, une période aux amples développements et savamment construite, comme les anciens les aimaient, est un tableau dont l’ordonnance n’est pas arbitraire. De grands peintres tels que Sophocle et Euripide ont dû mettre chaque détail à sa place, et disposer leurs pensées dans l’ordre le plus favorable à l’effet qu’ils voulaient produire.
Loin de moi l’intention de déprécier l’œuvre des traducteurs qui m’ont précédé, pour faire valoir mon propre travail. Mais on sait déjà combien le père Brumoy dénature la couleur antique. Quant à Prévost, sa traduction, qui n’est pas sans mérite, est généralement très libre dans la première édition, qui parut en 1783. Il la revit dans les éditions suivantes, et s’efforça d’être plus exact ; mais alors, dans son attention à rendre tous les mots du texte, l’exactitude devient prolixe et dégénère en paraphrase. Par exemple, dans Médée , v. 1147-8, lorsqu’on apporte à Créuse la robe précieuse et les ornements que Médée lui envoie, le texte dit littéralement : « Elle, lorsqu’elle vit la parure, ne put garder sa colère, et promit tout à son époux. » — Prévost : « Sa prière et l’éclat de ses riches dons touchent le cœur de la princesse ; elle promet à son époux de faire tout ce qu’il désire. »
Dans Les Suppliantes , v. 1050, Iphis, cherchant sa fille Êvadné, dit en moins de deux vers : « Je suppose qu’elle doit être ici, dites-moi si vous le savez. » Voici la paraphrase de Prévost, dans sa première édition : « C’est en ces lieux que je la crois retirée. S

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