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Description
Sujets
Informations
Publié par | FichesDeLecture.com |
Date de parution | 10 décembre 2014 |
Nombre de lectures | 2 |
EAN13 | 9782511026540 |
Langue | Français |
Informations légales : prix de location à la page 0,0350€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.
Extrait
L assommoir
FichesdeLecture.com
I. INTRODUCTION
L auteur
mile Zola est n en 1840 et mort en 1902, c est un crivain, journaliste et homme public consid r comme le chef de file du naturalisme. Il est l un des romanciers fran ais les plus populaires, l un des plus publi s, traduits et comment s au monde.
Tr s t t, il manifeste sa passion pour la litt rature. Il lit beaucoup et projette d j de devenir crivain. En sixi me, il r dige un roman sur les croisades. Il est aussi influenc par des auteurs contemporains, comme Jules Michelet ou encore Balzac.
Ayant chou au baccalaur at, il est employ aux critures aux Docks de la douane. Puis il travaille chez Hachette comme commis dans sa librairie. D s 1863, il crit dans des rubriques de critique litt raire et artistique de diff rents journaux, comme " L v nement , " La Cloche , " Le Figaro .
Ses romans ont connu de tr s nombreuses adaptations au cin ma et la t l vision. Sur le plan litt raire, il est principalement connu pour " Les Rougon-Macquart , fresque romanesque en vingt volumes d peignant la soci t fran aise sous le Second Empire et qui met en sc ne la trajectoire de la famille des Rougon-Macquart, travers ses diff rentes g n rations et dont chacun des repr sentants d une poque et d une g n ration particuli re fait l objet d un roman.
L uvre
L assommoir a t publi Paris en feuilleton dans " le Bien public d avril juin 1876, puis, apr s une interruption due certaines difficult s politiques et ditoriales, dans " la R publique des lettres , une revue d orientation parnassienne, de juillet 1876 janvier 1877.
Une premi re partie para t en volume en 1876, mais la v ritable originale date de 1877, toutes deux Paris chez Charpentier. L immense succ s public du septi me roman de la s rie des Rougon-Macquart, tient en partie au scandale qui accueillit sa publication, avec notamment des articles dans le Figaro, le Gaulois, le Journal des d bats.
On sait aussi qu c t de l enthousiasme de Huysmans et de Mallarm , certains " exc s arr t rent E. de Goncourt, pionnier pourtant dans la description de ce monde nouveau : celui du peuple. Mais l uvre de Zola reste radicalement nouvelle et correspond un investissement personnel consid rable : " le premier roman sur le peuple, qui ne mente pas et qui ait l odeur du peuple .
Dans la Pr face, Zola expliqua ses intentions : " J ai voulu peindre la d ch ance fatale d une famille ouvri re, dans le milieu empest de nos faubourgs. Au bout de l ivrognerie et de la fain antise, il y a le rel chement des liens de la famille, les ordures de la promiscuit , l oubli progressif des sentiments honn tes, puis comme d nouement la honte et la mort. C est de la morale en action, simplement.
II. R SUM DU ROMAN
Chapitre I
Gervaise, originaire de Plassans, boiteuse arrive Paris avec son amant, Lantier et leurs deux fils, Claude et tienne. Chapelier de m tier, Lantier est paresseux et infid le, il finit par la quitter pour Ad le. Au lavoir, Gervaise est provoqu e par Virginie, la s ur d Ad le. Une bataille s engage alors, dont Gervaise sort victorieuse.
Chapitre II
Gervaise qui se retrouve seule travaille comme blanchisseuse chez Madame Fauconnier. Au cabaret du p re Colombe, L Assommoir, un ouvrier zingueur et couvreur, Coupeau, lui fait la cour. Ils se mettent en m nage dans l immeuble de la Goutte-d Or, o habite la s ur de Coupeau, mari e Lorilleux, un artisan avare qui travaille l or.
Gervaise esp re alors avoir un " travail, manger du pain, avoir un trou soi, lever ses enfants, mourir dans son lit et ne pas tre battue. Ils projettent de se marier.
Chapitre III
La noce r unit quinze personnes. Le mariage est civil puis religieux puisque pour Coupeau : " un mariage sans messe, on avait beau dire, ce n tait pas un mariage . Puis, ils se baladent dans Paris vers le Mus e du Louvre, mais le " cort ge se perd.