L avalanche des mots
611 pages
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L'avalanche des mots , livre ebook

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Description

Paix, amour et liberté

L’avalanche des mots compte 290 citations sur la liberté, la paix, l'amour, les femmes et les hommes, la religion, la politique,... extraites des quatorze livres édités de Majede Motalebi, illustré en couleur par Julian Semaio.

The avalanche of words is included above 290 cotes about freedom, peace, love, women and men, religion, politics,... selected from fourteen Majede Motalebi's published books, color illustrated by Julian Semaio.

Un ouvrage disponible en version française et anglaise

EXTRAIT

Si vous manquez de liberté d’expression, cherchez donc la liberté de pensée, c’est plus efficace.
If you lack freedom of expression, so look for freedom of thought, it is more effective.

Les mêmes pierres utilisées pour construire un bâtiment pour la liberté sont aussi utilisées pour construire une tombe.
The same stone used to construct a statue for freedom is also used to build a tomb for freethinker.

La mort d’un pinson, c’est la mort de la chanson.
The death of a warbler is the death of the song.

A PROPOS DE L’AUTEUR

Majede Motalebi est née en 1985 à Téhéran. Elle est auteur, artiste-peintre et experte en art. Elle a étudié les Beaux-arts au Collège de Lotus à Londres et à l’Université des études de base en Russie. Elle est diplômée en art du Canadian University de Dubai. Elle a reçu le Prix Spécial du graphisme et de l’originalité du texte littéraire au Concours National de poésie et d’art d’Athena (Italie) en 2011 et le Prix Spécial de l’amour et de la paix au Concours National de poésie et d’art d’Athena (Italie) en 2012.

Majede Motaledi was born in 1985 in Teheran. She is an author, painter and art expert. She studied fine Arts, in Lotus College in London, and University of basic studies in Russia. She received an honorary degree in art from the Canadian University Dubai. She won the special prize for graphics and originality of literary texts at the Athena national poetry and art competition, in Italy, in 2011. And she also won the special prize for love and peace at the Athena national poetry and art competition, in Italy, in 2012.

Informations

Publié par
Date de parution 25 janvier 2016
Nombre de lectures 0
EAN13 9791023600575
Langue English
Poids de l'ouvrage 4 Mo

Informations légales : prix de location à la page 0,0032€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Composition : Emma Lecadre, Nicolas Vacher
Numérisé par Nicolas Vacher
Dépot légal : octobre 2015
Cet ouvrage a été numérisé en Janvier 2016 par Publishroom.
Publishroom, 2015
www.publishroom.com
Illustrations : Julian Semiao
ISBN de l’édition numérique : 979-10-236-0057-5
Le Code de la propriété intellectuelle interdit les copies ou reproductions destinées à une utilisation collective. Toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite par quelque procédé que ce soit, sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droits, est illicite et constitue une contrefaçon, aux termes des articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.
Majede Motalebi
L’avalanche des mots
Du même auteur
Rah va birah
(Voie et détour - Way and detour)
Dvi-e khiyal
(Le monstre de l’imagination - Monster of imagination)
Shahpari khaharkhandeh Zartosht
(Shahpari, sœur adoptive de Zarathoustra- Shahpari, stepsister of Zarathustra)
Barzakh dar dast-e taamir
(Le purgatoire en réparation - Purgatory being repaired)
Zan-e bicharey-e sharghi be rewayat-e tasvir
(La pauvre femme orientale selon l’image - The poor eastern woman according to the image)
Divaneh ke be terajedi mikhandad
(Le fou qui rit à la tragédie - The crazy who laughing at tragedy)
Vaghti baray-e avvalin bar
(Quand, pour la première fois - Once for the first time)
Aghanameh
(Aghanameh)
Man zani sentimental
(Moi, une femme sentimentale - I, a sentimental woman)
Yek ghete moussighi-e khosh, dar dastgah-e hekmat
(Un morceau de bonne musique, à l’accordage de la sagesse - A piece of good music, tuning of the wisdom)
Heyvanat-e hakim 1
(Des animaux sages I - Wise animals I)
Heyvanat-e hakim 2
(Des animaux sages II - Wise animals II)
Nimkat
(La banquette - The bench)
Bandbaz
(Le funambule - The tightrope walker)
Français
Si vous manquez de liberté d’expression, cherchez donc la liberté de pensée, c’est plus efficace.
Les mêmes pierres utilisées pour construire un bâtiment pour la liberté sont aussi utilisées pour construire une tombe.
La mort d’un pinson, c’est la mort de la chanson.
Malheur à celui qui se considère libre, alors qu’il obéit à la passion.
Risque-toi si tu existes.
Ne soyez pas suiveur. Créez une voie même si elle n’est pas plate.
Nous ne sommes pas des arbustes pour nous habituer et nous adapter à l’environnement. Il nous faut combattre.
Le rêve de conquérir le monde ne coûte pas un sou. Lève-toi et reconstruit un hameau.
Ne perds pas espoir même si tu n’es pas victorieux. Parce que « l’espoir » n’est rien de moins que la victoire.
La « maladie » est privée de liberté plus vite que d’autres choses. Elle rompt l’union entre l’homme et le monde. L’homme qui est malade ne peut pas combattre.
Ici le peuple est privé des choses qui ne sont pas nuisibles.
Ôte-toi du doute. Recommence !
Je souhaite que la main de celui qui met en cage soit brisée, la main du fabricant de la cage aussi.
Les chevaux utilisés en calèche ou pour parier éprouvent la même douleur. Peu importe qui tient le harnais, la douleur est la même du début à la fin.
Aucune ruine n’est reconstruite et aucun oiseau n’est libéré en parlant. Tire une flêche ou fais couler de l’encre.
Il y a des vérités à propos de nous dont nous parlons simplement, sans que nous permettions aux autres de les exprimer.
L’être humain n’est rien qu’un morceau de viande, un nombre d’os et « quelques kilos » de beauté.
L’homme ne subvient pas à ses besoins, il s’en occupe.
L’homme rebelle est toujours soumis au cercle de la contrainte.
L’être humain est le créateur le plus féroce.
Aucun oiseau n’est venu dire à un autre de « ne pas chanter ». Les hommes font ainsi les uns avec les autres.

L’âme est comme une lumière attrapée dans le cercle de l’obscurité.
Tout être qui lutte contre sa nature se ira à sa destruction.
Les statues de héros plantées sur les places sont meilleures que les hommes parce qu’elles ne changent pas d’état et ne succombent pas.
« L’immobilité » fait de l’homme un seau d’eau croupie. Bouge-toi !
Les hommes ne se ressemblent pas tous. Parce que leur architecture physique et mentale diffère en tout aspect. Alors ne pense pas que tu seras un pianiste parce que tu avais un piano à l’enfance ; sache que tu trouverais ton instrument si tu étais pianiste.
La colère fait de l’homme un être ridicule.
Il est plus facile de supporter la piqûre du scorpion que celle de l’être humain.
L’homme est la contradiction absolue. Il a une racine dans la terre et vole dans les cieux. C’est un mélange de concupiscence et de lumière.
L’homme qui est sans emploi monte les piliers de son malheur.
Nous faisons des idoles des hommes et les détruisons de nos propres mains.
Essaye d’être celui que tu dois être et non celui que tu es.
Tout ce qui fait peur à l’homme n’est pas méri té, que ce soit le fachisme ou le communisme, la religion, la lame tranchante du couteau, un homme comme lui, la pauvreté ou un taureau. L’homme doit vivre une vie détendue, soulagée et heureuse. « Avoir peur » affaiblit l’union entre les hommes, les uns avec les autres, avec le monde et avec Dieu.
Toute lumière mérite plus de brillance.
L’homme enlève la rouille de son ego vrai et divin par la sagesse.
Une tribu rend les gens stupides par leur nombre.
Il n’est pas facile d’illuminer le monde. Le soleil ne peut qu’illuminer une moitié du monde.

Certains pensent que les choses qu’ils ne peuvent pas voir n’ont jamais existé.
Notre corps pousse en veille, notre esprit au réveil.
Quand il ne te comprend pas, laisse-le ou loue-le résolument. Je le laisse !
Lorsque tu mets les pieds à l’école, tu vois que tu ne sais rien. Même si tu obtiens ton dernier diplôme, tu verras encore que tu ne sais rien. C’est vrai !
Nous habitons un monde où aucune idée ni aucune pensée n’a d’importance ; ce qui compte, c’est celui qui fait cette idée. C’est la pensée de la classe puissante qui est importante, et non la pensée puissante.

Quoi qu’il fasse, un idiot ne pourra jamais effacer de son visage les lignes de stupidité.
On m’a puni en raison de ma futilité. Et ma futilité a été la rétribution de mon ignorance.
L’imbécile rit tout le temps. Connaissez-vous un sage joyeux ? La sagesse apporte beaucoup de chagrin et de souffrance.
Le spectacle d’un comédien me fait réfléchir plus que la théorie d’un philosophe.
Faire rire les gens est le plus difficile des métiers et les faire pleurer est le plus facile.
Il a accroché la stupidité comme une perle à son cou.
L’expérience est la mère du changement.
La vérité ne peut être dissimulée.
Si tu ne peux pas briser le mur de la cage, brise le mur de ta pensée.
Les flammes de stupidité sont très brûlantes et pandémiques.
Tout homme qui iradie, doit avoir une brûlure.
Brûle en toi tout ce que tu as lu. Prends plaisir à son rayonnement. Ne laisse aucun livre te maîtriser parce qu’il limite et ferme le chemin de la croissance.
La religion donne naissance à un peuple bourreaux. Elle entre dans les églises et les tribunaux, puis, elle égorge au nom de Jésus et de Mahomet.
Les hommes s’accrochent à Dieu, au cosmos, et à l’univers en hâte. L’histoire plaît au début. Petit à petit, ils sont vides d’espoir et leur foi « se dégonfle ». C’est ainsi que ces sauveurs de l’homme nient toute chose et deviennent hostiles.
Il est possible de rendre les gens malheureux un à un. Mais cela prends du temps. Si tu veux renverser un peuple sans délai, fais qu’il soit impliqué dans la « religion ».
Suppose qu’une secte vienne et dise : tuez, volez, torturez les animaux et mentez. Est-ce que cela vous plairait ?
Tu ne peux pas découvrir Dieu comme une plante, un animal ou un continent. Lâche ton Dieu. Il viendra te trouver.
Si la « religion » est un arbre robuste, les prêtres, les rabbins et les gens similaires auront l’air de piverts.
Nous payons plutôt pour nos croyances que pour nous-mêmes.
Toute chose mérite le doute et le « peut-être ».
Comment tromper le peuple sans la « religion » ?

On conduit le peuple vers les mosquées et les églises sur le chariot

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