L aventureuse
20 pages
Français

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Description

Cette fiche de lecture sur L'aventureuse de Jack London propose une analyse complète de l'oeuvre :

• un résumé de L'aventureuse
• une analyse des personnages
• une présentation des axes d'analyse de L'aventureuse de Jack London

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Informations

Publié par
Date de parution 08 juin 2015
Nombre de lectures 0
EAN13 9782511032565
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0350€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

L'Aventureuse
Jack London
I. INTRODUCTION
Jack London, de son vrai nom John Griffith Chaney est n en 1876 San Francisco et mort en 1916, c est un crivain Am ricain. Ses uvres les plus connues sont L appel de la for t, Croc-Blanc ou Le loup des mers , roman d'aventures maritimes.
Il a crit plus de cinquante autres nouvelles et romans. Il fut un des premiers Am ricains faire fortune dans la litt rature. L 'Aventureuse a t publi en 1911 o il est question, d aventure et de mer, th mes chers l auteur.
II. R SUM DU ROMAN
" Les plus belles histoires commencent toujours par des naufrages .
Nous sommes au si cle dernier, dans une des les Salomon, David Sheldon, un planteur anglais malade semble menac de mort par les indig nes. Survient des flots, Joan Lackland une jeune et belle femme Am ricaine. Son bateau choue au cours d'une temp te.
D embl e la jeune femme appara t tr s ind pendante et d termin e, c est un v ritable gar on manqu . Au d but son arriv e d stabilise Dave : " Sa volont affirm e d' tre son gale le choquait; parfois, un peu inconsciemment, il d sapprouvait, comme une incongruit presque ind cente, cette intrusion dans sa vie d'une inconnue surgie de la mer, dans le hurlement du noro t, flanqu e de ses colosses de matelots polyn siens, apr s qu'elle eut mis son revolver sou le nez d'Ericson, et s'installant Berande comme n'importe quel marin naufrag .(...)Il en revenait toujours sa f minit , qui le troublait. Elle jouait du piano beaucoup mieux que ses s urs, et avec beaucoup plus de finesse dans l'interpr tation.(...) Sheldon, assis pr s d'elle, l' coutait, extasi . Alors elle tait toute enti re femme, et la magie de son sexe balayait les contrari t s de la journ e, lui faisant oublier le gros revolver, le Baden-Powell et tout le reste .
Ils finissent par s associer malgr leurs disputes fr quentes car Joan refuse de recevoir de le ons d'un homme encore moins se faire demander en mariage.
Elle finit par acqu rir un bateau puis une plantation et vit plusieurs aventures, naufrages, incendies, r voltes d'esclaves, d couverte d'anthropophages et de r ducteurs de t tes, explorations dans la jungle, qu te de l'or.
Puis Dave tombe amoureux d elle : " Quelque part dans le lointain, songeait Sheldon, se trouvait Joan Lackland, la jeune fille qui n' tait pas devenue adulte, la belle jeune femme qui pensait et d sirait comme un gar on manqu , qui venait de quitter Berande au milieu des l ments d cha n s, presque comme son arriv e, l'arri re de sa baleini re, avec Adamu-Adam au gouvernail et son sauvage quipage courb sur les avirons. Elle avait emport avec elle son stetson, sa ceinture de cartouches et son revolver canon long. Il se d couvrait, tout coup, une immense affection pour ces colifichets dont il s' tait int rieurement moqu lorsqu'il les avait vus pour la premi re fois. Il se rendit compte de la tournure sentimentale que prenait sa r verie et pensa que le mieux tait d'en rire. Mais il ne le put pas. L'instant d'apr s, il tait derechef occup se repr senter le chapeau, la ceinture et le revolver. Sans le moindre doute, c' tait de l'amour, songea-t-il, et il ressentit au fond de lui-m me une petite lueur d'orgueil: les Salomon n'avaient donc pas r ussi tuer en lui tout sentiment . Mais il n est pas le seul un duel mort s engage entre lui et un chercheur d or.

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