COMPILATION Nouvelles XXX GAYS

Stephen Lapointe

Description

Soumis par son CoéquipierHugo savait ce qu'il voulait, il pensait juste que c'était un peu fou et un peu foireux, et qu’il allait s’en doute s’amener plein de problèmes à l’Université.Mais il s’en fichait, car il avait totalement craqué sur Fabien ! Mais il ne s’avait pas comment s’y prendre, surtout qu’Hugo est la brute épaisse du club de foot que tout le monde croit hétéro !Alors comment va-t-il s’y prendre, il va le malmener, car c’est la seule façon de se rapprocher de lui ! Fabien ne va pas apprécier, mais les petites tapes sur la tête vont devenir des petites tapes sur les fesses… Fabien n’en restera pas moins insensible, car le beau Hugo sportif et hétéro s’intéresse à lui !Hugo savait ce qu'il voulait faire avec Fabien, qu’il soit sa chose ! Alors plus de doute et plus d'hésitation !Première Fois avec un HommeQuentin est étudiant, il sort beaucoup, alors pour financer sa vie nocturne, il se trouve un petit job de serveur dans une boite de nuit.Mais ce qu’il ne savait pas c’est que la boite de nuit dans laquelle il va travailler est en fait une boite gay, il ne s'en rend compte que lors de son premier jour. C’est vrai que Quentin, a 20 ans, jeune et beau, des abdos parfaitement bien dessinée et une belle gueule !Cette boite select attire des hommes riches et branchés qui lui font des sous-entendus et des avances, mais… cela ne lui déplait pas, au contraire il se sent très flatté, même si lui se considère comme hétérosexuel.Avec le temps, il se sent de plus en plus attiré par certains clients, alors que cela n’était qu’au début des flirts pour remercier les bons clients !Jusqu’au jour où un bel homme lui propose de venir chez lui, après son service avec quelques amis...Baise avec un HétéroMike aime le sexe, et ce depuis qu'il a réalisé que son sex appeal était un atout pour lui, c’est à dire, dès son plus jeune âge. Il n'a eut aucun problème à l'utiliser à son avantage. Les hommes et les femmes tombent tous dans son lit - après tout, Mike n'est pas du genre à discriminer. Il vit selon une devise: si quelque chose vous intéresse, pourquoi ne pas tenter votre chance ?Cette fois-ci il veut essayer Dereck !Tout juste sorti d'un mariage en enfer de quatre ans avec une ex-femme, une relation est la dernière chose que souhaite Dereck. Il commence seulement de se remettre de sa rupture et vient de se trouver un nouveau job dans un bar classe en centre-ville.Le seul problème c’est que Dereck a attiré l'attention inébranlable de Mike - un habitué du bar et un homme qui obtient toujours ce qu'il veut.Nuit après nuit, Dereck repousse les avances persistantes de l'homme au sex appeal légendaire, mais après un moment d'effleurement très intense, Dereck sent son corps remuer de désir, d’un désir si puissant et si différent de son esprit.La tension sexuelle grésille de plus en plus entre les deux, et cela menace de changer le cours même de leur vie.... Mais que se passerait-il si tous les deux cédaient et essayaient ?Compilation de Nouvelles Érotiques GAYS, réservées à un public averti

Sujets

• Erotique

Informations

• Publié par: Best Erotica
• Date de parution: 01 décembre 2018
• Nombre de lectures: 31
• EAN13: 1230002998381
• Langue: Français

Extrait

Compilation XXX
Stephen Lapointe
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Soumis par son coéquipier
Deux mois que je me suis inscrit au club maintenant et je me sens revivre. Les cours étaient vraiment difficiles, particulièrement cette année, et j'avais besoin de me défouler. Mon père m'avait conseillé de prendre un sport violent, ma mère de trouver un moyen de méditation pour apaiser mon esprit, et j'ai tranché entre les deux : le football. Violent pour ses tacles, apaisant parce qu'il me vide la tête. J'allais sur le terrain le mardi et le vendredi, et j'attendais ces jours avec impatience. Oublier les cours, les problèmes du quotidien en tapant bêtement dans un ballon.
 
C'était pas comme si je suivais les matches à la télévision, ou si je supportais moi-même une équipe, mais ça me calmait les nerfs de courir. Et pour moi c'est toujours important de me surpasser. Puis il y a les gars de l'équipe aussi, qui sont géniaux. On fait tous des cursus différents mais chacun arrive à s'entendre avec tout le monde. Il y a le terrain où on en veut, on se donne à fond, et les vestiaires, où on déconne tout le temps. J'aime bien y traîner plus longtemps qu'il le faudrait, je parle avec d'autres mecs, jeunes, vieux, novices, expérimentés, j'me sens à ma place là-dedans. Il m'arrive de beaucoup parler, surtout pour déconner (on dit souvent de moi que je suis le clown de service, et ça me plaît de faire rire les gens), mais pas mal pour mater aussi, ce que je tais aux autres. Sans quoi, comment je pourrais regarder ceux qui sortent de la douche, ou reluquer le cul d'un p'tit qui se change avant de mettre ses crampons ?
 
Bien entendu, je sais rester discret là-dessus, sinon je pourrais avoir des emmerdes, on me taquinerait avec ça, et je n'en ai aucune envie. Le truc, c'est que je fais carrément mec, j'suis plutôt grand, musclé ce qu'il faut, assez pour impressionner mais pas suffisamment pour repousser. Des jambes de sportif. Pas trop poilu, mais je compense avec des biceps plutôt bien dessinés. Et j'ai le mental qui va avec, on me considère comme un sauvage à cause de ma barbe, elle me donne un air de méchant, de brute. Et je vais pas mentir, ça me plaît cette image qu'on a de moi, comme ça personne ne vient m'emmerder pour quoi que ce soit.
 
Peu savent que le truc que je kiffe le plus, ce sont les p'tits jeunes un peu timides, les plus inoffensifs, ceux que je peux maîtriser facile. Comme Marc il y a quelques semaines : il bossait dans le magasin de sport où j'ai acheté la plupart de mon équipement, et il m'a bien plu ce p'tit gars, plusieurs fois je l'ai attendu à la sortie de son boulot pour l'emmener chez moi lui filer son coup de bite, et putain j'étais aux anges de le voir si offert et soumis à mes ordres. Plus ils sont dociles, plus je me lâche. Mais toujours avec une distance, comme si je m'en foutais d'eux.
 
Par exemple Marc me suçait pendant que je fumais mon joint, tranquille. Et quand j'en ai un peu marre d'eux, je leur dis direct que c'était sympa, mais pour l'instant on va arrêter de se voir. C'est comme ça que je fonctionne, et ils sont tenus au secret : personne ne doit savoir que je suis homo, ça jaserait trop. Jamais de sentiments, j'suis juste là pour les casser et prendre mon pied.
 
Mais depuis quelques temps, c'est un peu différent. Depuis quelques temps il y a Fabien, et Fabien, c'est mon nouveau jouet. C'est du moins ce que je montre aux autres dans les vestiaires, après l'entraînement. Il demande rien à personne, il se change tranquille, et je le taquine sur son petit corps un peu frêle mais tout de même musclé, sur ses bras qui manquent de force ou sur son jeu pendant la session. J'aime bien l'embêter, le bousculer un peu mais toujours dans la rigolade, jamais dans l'humiliation : je ne veux pas qu'il se sente mal, il doit pouvoir en rire avec nous d'avoir loupé un ballon ou de pas avoir les pecs nécessaires pour rivaliser avec moi.
 
C'est toujours un moment cool, et important pour moi, parce que j'ai l'impression de me rapprocher doucement de lui. Hors de question qu'il ne finisse pas dans mon pieu d'ici peu, parce que rien que de penser à lui j'ai la bite qui commence à se tendre. Je l'imagine s'en occuper avec ses lèvres fines qui font contraste avec ma grosse queue veineuse et ça me fout une trique pas possible.
 
Mardi. Ce qui est génial, c'est qu'il arrive toujours un peu avant tout le monde, alors il est déjà dans le vestiaire pour se préparer quand j'arrive. Il me voit, me fait un signe de tête en rougissant et se remet à ajuster ses chaussettes blanches.
 
Salut Fabien, prêt à courir comme un taré ?
Salut Hugo... Ouais... J'ai pas fait de sport depuis vendredi alors j'ai un peu hâte de me dépenser...
 
A peine sa phrase prononcée qu'il baisse la tête, les joues rouges. Moi ça me fait marrer de le voir si gêné, je cherche même pas à savoir ce qu'il fait, ni ce qu'il étudie, ou pourquoi il a préféré le foot au handball, je me pose juste à côté de lui et commence à me désaper pour enfiler ma tenue de sport. Une fois en calbut, je me grouille de foutre mes chaussettes parce que le carrelage est super froid et je ne peux pas m'empêcher de le regarder du coin de l’œil.
 
Direct, je le capte, il est en train de me mater ! Je fais semblant de pas le remarquer, m'étire pour rendre mes muscles encore plus visibles et une fois assis, je fais en sorte que nos deux genoux se touchent. Il ne bouge pas, alors j'insiste encore plus en exerçant une pression de la jambe tout en enfilant mon maillot. Le short suit, puis les chaussures.
 
Pouah ! Je crois qu'elles sentent encore de l'entraînement de vendredi, c'est chaud !
En même temps on s'était bien défoulés, il y avait du monde...
Tiens regarde comment ça fouette !
 
Et sans rien lui demander, je lui fous ma chaussure dans le nez. Pendant de très courtes secondes, je le sens inspirer l'odeur, volontairement, avant de se reculer, comme un réflexe naturel, après qu'il m'a traité de dégueulasse avec un rire gêné. Ce qu'il ne sait pas, c'est que j'ai remarqué son manège, comment il a pris l'odeur direct dans le nez avant de faire semblant de trouver ça dégueu. À mon tour je rigole et lui donne un p'tit coup dans l'épaule, en signe de camaraderie.  
 
Les autres arrivent et lentement, le local se remplit d'une bonne odeur de mec que je kiffe bien, la testostérone bien virile, ça sent la transpiration, le cul, le corps chaud, et je vois que Fabien ne bouge pas, il se contente de regarder tous les garçons un par un, sans trop s'attarder pour éviter de se faire prendre. J'aurais peut-être dû attendre avant d'enfiler mon tee-shirt, il aurait pu mater un peu plus mes abdos et mon torse nu. On verra ça après l'entraînement.
 
J'attends toujours d'être parmi les derniers à sortir, et lui aussi, alors quand tous les autres gars quittent le vestiaire après qu'on a bien déconné, je le laisse passer devant, ça me permet de voir la forme de son cul à travers son short et je pense à ce qu'il prendrait si on était chez moi. Les visions  ne me quittent pas pendant le jeu, je le vois à quatre pattes, les jambes resserrées avec les fesses bien cambrées, la tête tournée pour me supplier de le prendre, et faudra pas me le dire deux fois. Chaque tir que je balance vers les buts est un coup de rein que je lui donne dans ma tête, alors que j'appuierais la sienne contre le matelas pour bien montrer qui a le dessus.
 
Quand ces images me quittent, la fin de jeu approche et je le cherche sur le terrain. Il est en défense, de l'autre côté de mon angle d'attaque habituel. Pour troubler un peu l'adversaire, qui commence à connaître mes techniques, je fonce sur lui. Il paraît un peu déstabilisé mais ne se laisse pas faire pour autant, on se dispute la balle jusqu'à ce que je lui tombe dessus. On roule quelques instants rapides avant de s'immobiliser l'un sur l'autre. Le ballon a volé vers les autres qui se l'arrachent déjà sans faire attention à nous, et comme je suis sur lui, je prends bien mon temps pour retirer ma pression.
 
Putain j'suis désolé mec, je t'ai pas fait mal ?
Non non t'inquiète, j'suis un solide, même si c'est toi qui es au-dessus...
Ah bah c'est cool, je vais pouvoir rester un peu comme ça alors !
 
On en rigole quelques secondes et j