TINA OU LE DRAME DE L ESPECE HUMAINE
256 pages
Français

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TINA OU LE DRAME DE L'ESPECE HUMAINE , livre ebook

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256 pages
Français

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Description

Tina ou le drame de l'espèce humaine est la tumultueuse et révoltante histoire d'une jeune, belle et séduisante, mais analphabète villageoise qui se voit dans l'obligation de s'évader de son foyer conjugal pour se retrouver dans la Grande Ville où le tourbillon implacable et impitoyable de la vie urbaine finira par la malmener, l'humilier, la bafouer, la désillusionner et la broyer. Selon l'auteur du livre, Tina, héroïne sombre et pessimiste, constitue le symbole de l'échec de l'homme dans la vie ici-bas.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 01 avril 2011
Nombre de lectures 61
EAN13 9782296804432
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0950€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

TINA OU LE DRAME
DE L’ESPECE HUMAINE
Écrire l’Afrique

Collection dirigée par Denis Pryen

Dernières parutions

Aboubacar Eros SISSOKO, La Tourmente. Les aventures d’un circoncis , 2011.
Robert DUSSEY, Une comédie sous les tropiques , 2011.
Alexis KALUNGA, Vivre l’asile , 2011.
Nenay QUANSOI, Souvenir d’un jeune Africain en Guinée et en Tunisie , 2011.
Nadine BARI et Laby CAMARA, L’Enfant de Xéno , 2011.
Aboubacar Eros SISSOKO, Une mort temporaire , 2011.
Édouard Elvis BVOUMA, L’amère patrie. Nouvelles , 2011.
Roger FODJO, Les Poubelles du palais , 2011.
Jean FROGER, La Targuia , 2011.
Pierre LACROIX, Au chevet de l’Afrique des éléphants. Fable , 2010.
Jeanne-Louise DJANGA, Le gâteau au foufou , 2010.
Dina MAHOUNGOU, Agonies en Françafrique, 2010.
Elise Nathalie NYEMB, La fille du paysan , 2010.
Moussa RAMDE, Un enfant sous les armes et autres nouvelles , 2010.
Raymond EPOTÉ, Le songe du fou , 2010.
Jean René Ovono Mendame, La légende d’Ébamba , 2010.
Bernard N’KALOULOU, La Ronde des polygames , 2010.
Réjean CÔTE, La réconciliation des mondes, A la source du Nil , 2010.
Thomas TCHATCHOUA, Voyage au pays de l’horreur , 2010.
Eric-Christian MOTA, Une Afrique entre parenthèses. L’impasse Saint-Bernard (théâtre), 2010.
Mamady KOULIBALY, Mystère Sankolo , 2010.
Maxime YANTEKWA, Survivre avec des bourreaux , 2010.
Aboubacar Eros SISSOKO, Moriba-Yassa. Une incroyable histoire d’amour , 2010.
Naïma BOUDA et Eric ROZET, Impressions et paroles d’Afriques. Le regard des Africains sur leur diaspora , 2010.
Félix GNAYORO GRAH, Une main divine sur mon épaule , 2010.
Philippe HEMERY, Cinquante ans d’amour de l’Afrique (1955-2005) , 2010.
Narcisse Tiburce ATSAIN, Le triomphe des sans voix , 2010.
Hygin Didace AMBOULOU, Nostalgite. Roman , 2010.
Mame Pierre KAMARA, Le festival des humeurs , 2010.
Marcel King Jo 1 er


TINA OU LE DRAME
DE L’ESPECE HUMAINE


L’H ARMATTAN
© L’H ARMATTAN, 2011
5-7, rue de l’École-Polytechnique ; 75005 Paris

http://www.librairieharmattan.com
diffusion.harmattan@wanadoo.fr
harmattan1@wanadoo.fr

ISBN : 978-2-296-54494-9
EAN : 9782296544949

Fabrication numérique : Socprest, 2012
Ouvrage numérisé avec le soutien du Centre National du Livre
A
Tout être humain,
Ame de Raison et de Connaissance
Dans l’immense Sphère du Cosmos,
Exposé à tous genres de
Maux et Douleurs de la Vie,
Dont il devient parfois, ici bas, Victime.
Mati tout particulièrement à :
M Laurent Dona fologo, Président du Conseil
Economique et Social de la Côte d’Ivoire,
M Bally Apollinaire, Greffier au Palais de Justice
d’Abidjan-Plateau (1 ere instance) et à
Michèle Zahilou Tahanan Désirée,
Etudiante,

Pour exprimer respectivement au premier, mon admiration et mon respect (au plan politique), au second, ma fraternité et mon amitié, et à la troisième, mon amour, ma sympathie et mon attachement.

Marcel King Jo
marcelkingjo@yahoo.fr
NOTE DE L’AUTEUR
Pour nous, la littérature est une intelligence et une sagesse, un moyen, une arme spirituelle et intellectuelle de l’homme-dieu imparfait ou du Dieu parfait, un secours et un recours substantiels dans la main de l’homme ou de Dieu pour rechercher et atteindre les perfections dans le Temps et dans l’Espace, pour déceler et révéler les défaillances et les problèmes spatio-temporels afin d’y remédier. En ce sens, elle se détermine comme un canal de la plainte des âmes, des cœurs, des consciences et des esprits et même des anges contre les laideurs et les faussetés, la méchanceté et l’obscurantisme, le mal et le malheur. C’est un orienteur de la vie. C’est un conseiller. C’est à la fois un accusateur et un accusé, un juge et un jugé. En outre, que la quête prônée et prêchée par le message et le messager de la littérature se réalise ou s’atteigne dans le rire ou dans les pleurs, dans la joie ou dans la douleur, dans l’inquiétude ou dans la quiétude, dans la douceur ou dans la violence, dans la sueur et dans le sang, elle s’impose au littéraire, à l’écrivain comme une réalité et un fait sublimes, tangibles et inhérents à sa nature profonde.
Aussi, cette vision manifeste a-t-elle pour objet la société globale, et toutes les nervures et les fibres de la société rythment au son de la cloche que les textes littéraires déclenchent et émettent, car ils émanent de vérités et élucubrations intellectuelles fortes, puissantes et persécutantes, et précèdent toutes actions et activités spirituelles, mentales et physiques, voire psychosomatiques. Dans cet esprit, il nous apparaît comme une évidence de rappeler aux uns et aux autres que notre travail, notre art est la seule vraie machine, non, que dis-je ? la seule vraie exploration consciente et soucieuse de la beauté, du bien, de la rectification, de la réorganisation et de la réorientation du monde, au service de l’idéal et du cri d’un peuple ; c’est pourquoi, un peuple sans littérature et sans écrivain est un peuple sans histoire, sans rêve, sans idéal, sans guide, sans Vérité et sans vie, sans éclairage, sans éclaireur, sans repère et sans éthique. C’est un peuple, en quelque sorte, sans combat, passif, mort. Dès lors, comment ne pas comprendre que notre élan effréné, le désir chaud et passionné du mortel et de l’immortel, Marcel King Jo 1 er , de refaire son monde, d’instruire son monde, de donner lumière et vie à son monde, par la plume littéraire, soit on ne peut plus patent ?
Oui, notre monde est, chaque jour, en pleine mutation ou en pleine décadence. Il est même parfois en mal de connaissance et de savoir, en mal de conduite et de comportement qui puissent l’élever et l’éduquer. L’éduquer et l’élever ! Le modeler ! Le former ! À tous les niveaux où l’existence humaine est présente et vivace, où l’homme est actif ou passif. Et nous, les humains, nous nous devons de le reconstruire, de le refaire, de l’éduquer.
Aussi, comme le sublimait Ronsard en son Temps, cette responsabilité de reconstruction et de réfection, d’instruction, d’éducation et de formation incombe-t-elle à l’Ecrivain. Il lui faut donc l’assumer ! C’est la conscience première de Tina ou le drame de l’espèce humaine qui s’évertue à poser, à sa façon, quelques problèmes récurrents ou ponctuels de nos sociétés traditionnelles et modernes en perpétuels et continuels bouleversements, où beaucoup de personnes sont victimes des mirages, des mensonges, des prétentions humaines ou se retrouvent sur le chemin de la perdition et de l’égarement absolus, nos sociétés où la liberté est rendue simpliste, et tend à se confondre avec le libertinage, nos sociétés où les coutumes, les habitudes, les traditions, les sectes (religieuses) et les mœurs insensées et erronées, et la politique des insensés, des erronés et des farfelus orchestrent parfois, ici-bas, des complots et imposent leur sceau au destin des hommes et au plan de Dieu. Dans ce contexte, n’est – ce pas l’élévation spirituelle, morale et intellectuelle, voire sociale qui est négativement menacée et influencée pour (nous) faire rendre culte aux bassesses, à la médiocrité, à l’indignité, à la malédiction, au mensonge, à l’ignorance, à la perversion, à la conscience collective esclave de la conscience du faux, ennemis du bon sens, ennemis de Dieu ?
A chacun de jauger et de juger la teneur et la densité de Tina ou le drame de l’espèce humaine. A chacun de se découvrir légitimement le droit de porter un regard critique, à la lumière de ses propres convictions et son propre intellect, sur Tina ou le drame de l’espèce humaine afin que l’humanité puisse tirer le maximum de ses bienfaits et de la littérature en général.

Marcel King Jo 1er
marcelkingjo@yahoo.fr
AVANT-PROPOS
TINA OU LE DRAME DE L’ESPECE HUMAINE ! Indubitablement une belle œuvre littéraire, en tant que roman lyrique, satirique et pathétique. Sur un ton à la fois fictif et réaliste, son auteur relate une vie humaine très tumultueuse qui se termine tragiquement sur le terrain sentimental de l’amour.
Mais, en parcourant ce roman en profondeur, avec une attention soutenue, le lecteur découvrira, comme toile de fond, tout le drame de l’existence humaine subissant

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