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Description
Informations
Publié par | BNF - Collection XIX |
Nombre de lectures | 5 |
EAN13 | 9782346050598 |
Langue | Français |
Informations légales : prix de location à la page 0,0015€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.
Extrait
À propos de Collection XIX
Collection XIX est éditée par BnF-Partenariats, filiale de la Bibliothèque nationale de France.
Fruit d’une sélection réalisée au sein des prestigieux fonds de la BnF, Collection XIX a pour ambition de faire découvrir des textes classiques et moins classiques de la littérature, mais aussi des livres d’histoire, récits de voyage, portraits et mémoires ou livres pour la jeunesse…
Édités dans la meilleure qualité possible, eu égard au caractère patrimonial de ces fonds publiés au XIX e , les ebooks de Collection XIX sont proposés dans le format ePub3 pour rendre ces ouvrages accessibles au plus grand nombre, sur tous les supports de lecture.
Alphonse de Lamartine, Victor Hugo, Michel Chevalier, M. Becker
Messieurs Alphonse de Lamartine, Victor Hugo, Michel Chevalier
La Marseillaise de la paix (Lamartine) - Fragment du discours de réception à l'Académie française (Hugo) - Extrait d'une lettre contre les fortifications (Chevalier)
Des ouvriers parisiens, qui appellent de leurs vœux et de leurs efforts le règne de la paix et du travail, ont voulu faire imprimer ensemble, pour les distribuer gratuitement : la Marseillaise de la paix, par M. de Lamartine, en réponse au Chant du Rhin ; un Fragment du discours de M. Victor Hugo, et les Lignes éloquentes et prophétiques sorties de la plume de M. Michel Chevalier, le lendemain de la révolution de juillet, alors que bourgeois et prolétaires, au signal du prince lui-même, entonnaient à l’unisson le chant français d’un autre âge, la Marseillaise avec son refrain d’anathème contre le sang impur.
Ces ouvriers rappellent, non sans quelque fierté, qui ! y a déjà plus de dix années qu’ils propagent avec une constante persévérance et sous toutes les formes, dans les ateliers, dans les assemblées politiques, d’instruction ou de plaisir des travailleurs, les idées fécondes, les sentiments généreux qui coulent aujourd’hui de la bouche des poètes et que le monde salue de ses acclamations.
Ils ont pensé aussi qu’on ne verrait pas, sans un vif intérêt, comment, à onze ans d’intervalle, l’un des écrivains que nous venons de nommer, M.