La voix des femmes en Languedoc
176 pages
Français

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La voix des femmes en Languedoc , livre ebook

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176 pages
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Description

Cet ouvrage apporte des explications à la force de caractère des femmes du Languedoc. Il s'ouvre sur une discussion avec deux femmes mûres du village de Belvèze-du-Razès. A partir de témoignages, elle examine ensuite l'influence de la Deuxième Guerre mondiale sur la France et en particulier sur les enfants de la région. Enfin, elle s'intéresse au travail de ces femmes en dehors de leur foyer. Le livre se termine par une comparaison entre les femmes connues des Pyrénées et celles du Languedoc.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 01 avril 2011
Nombre de lectures 85
EAN13 9782336275956
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0700€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

© L’Harmattan, 2011 5-7, rue de l’Ecole polytechnique, 75005 Paris
http://www.librairieharmattan.com diffusion.harmattan@wanadoo.fr harmattan1@wanadoo.fr
9782296139732
EAN : 9782296139732
Sommaire
Page de Copyright Liste des tableaux Page de titre OUVRAGES DE LA MÊME AUTEURE Dedicace REMERCIEMENTS CHAPITRE I - C’EST OÙ, ICI ? CHAPITRE II - LES FEMMES DU LANGUEDOC PARLENT FRANCHEMENT CHAPITRE III - LE VILLAGE : BELVÈZE-DU-RAZÈS CHAPITRE IV - “LES MAISONS-FAMILLES” : UNE SOCIÉTÉ À MAISON ? CHAPITRE V - LES ENFANTS ET LA DEUXIÈME GUERRE MONDIALE : BELVÈZE ET TOURNISSAN (AUDE) CHAPITRE VI - LES FEMMES RURALES TRAVAILLENT HORS DU FOYER CHAPITRE VII - FEMMES DU LANGUEDOC, FEMMES DES PYRÉNÉES Historiques
Liste des tableaux
Tableau III Tableau III.2 Tableau V.1 Tableau V.2
La voix des femmes en Languedoc

Peta Tancred
OUVRAGES DE LA MÊME AUTEURE
Career Patterns in the Higher Civil Service. London: HMSO, Civil Service Studies n° 2, 1976. Pp. 74.
“The Sociology of Public Bureaucracies”, Current Sociology, 24, 2: 1976. Pp. 175.
(Avec Martin Kolinsky and Michalina Vaughan). Social Change in France. London: Martin Robertson, 1980. Pp. 216.
Feminist Research: Prospect and Retrospect. CRIAW papers (Editor). Montréal: McGill-Queen’s University Press, 1988. Pp. 303.
The Sexuality of Organization. (Co-editor and contributor with Jeff Hearn, Gibson Burrell and Deborah Sheppard). London: Sage Publications, 1989. Pp. 205.
Gendering Organizational Analysis. (Co-editor with Albert Mills and contributor). Newbury Park, California: Sage Publications, 1992. Pp. 309.
“Femmes et technologies, ” (Codirectrice avec Karen Messing). Recherches féministes, 9, 1, printemps, 1996. p. 166.
(With Annmarie Adams). ‘Designing Women:’ Gender and the Architectural Profession. Toronto: University of Toronto Press, 2000. Pp. 190.
(Avec Annmarie Adams). L’architecture au féminin : une profession à redéfinir. Montréal : Éditions du remue-ménage, 2002. p. 218.
À LA MÉMOIRE DE DR. PAMELA CHRISTINE WILLIAMS 1962 - 1994
REMERCIEMENTS
Il y a plusieurs personnes et organismes qui ont collaboré à la préparation de ce livre, et j’aimerais leur adresser mes remerciements. D’abord, je veux exprimer ma grande reconnaissance aux deux femmes, Yvette Briet et Andrée Carminati, qui ont passé beaucoup de temps à me communiquer des souvenirs très vivants de leur enfance et de leur adolescence, dans un village du Languedoc au milieu du XX e siècle. Le mari d’Andrée, Jean Carminati, lors de la mort de sa femme en 2000, l’a remplacée en me fournissant, avec toute sa bonne volonté, des explications rigoureuses et détaillées sur les sujets qui me rendaient confuse. J’aimerais remercier sincèrement ces trois personnes car, sans elles, j’aurais eu une tâche extrêmement difficile, sinon impossible.
Je ne mentionnerai pas, individuellement, les noms des autres ami(e)s de la région qui m’ont aidée, car la liste est trop longue ; mais ils constituent une source précieuse d’information sur une gamme très vaste de sujets. J’aimerais remercier particulièrement Thérèse et Auguste Comolera qui, en prenant de nombreuses tasses de thé avec moi, n’ont jamais cessé de fouiller dans leur connaissance approfondie de la région pour répondre à mes questions et me faire de précieuses suggestions.
En plus, j’exprime mes remerciements à Jacqueline Donzeau qui m’a nourrie et hébergée plusieurs fois quand j’étais « entre deux maisons » ou quand je souffrais du décalage horaire. Son accueil était très généreux et sa cuisine, exquise. Marie-Thérèse Moineau s’est intéressée énormément au livre au fur et à mesure qu’il s’est développé, et elle m’a procuré l’occasion d’en parler avec ses amies de la région. En outre, elle a souvent utilisé son « ordinateur parlant » (avec un accent québécois, m’assure-t-elle !) pour m’aider maintes fois quand mon propre équipement se trouvait au Canada.
En ce qui a trait au processus de recherche, j’aimerais remercier Sylvie Sagnes tout particulièrement pour ses thèses qui m’ont initiée aux écrits sur « la société à maison », et pour l’illumination qui en a suivi. De plus, elle m’a suggéré plusieurs ressources pour la recherche, une aide essentielle pour une chercheuse étrangère. Nicky Le Feuvre du Groupe Simone-SAGESSE de l’université de Toulouse-Le Mirail m’a aidée en appuyant ma nomination comme professeure invitée, en m’accueillant et en me faisant connaître l’université. Pendant mes multiples visites à Toulouse, elle fut toujours disponible, me suggérant des boulevards de recherche ou (plus tard) me conseillant au sujet des maisons d’édition dans la région. Son intérêt constant m’a été précieux.
Le Groupement Audois de Recherche et d’Animation Ethnographique (GARAE) mérite toute ma reconnaissance, d’abord pour sa salle de lecture splendide à Carcassonne, et ensuite pour l’intérêt et l’aide indéfectibles de son personnel. Le GARAE constitue une ressource précieuse pour n’importe quelle recherche sur l’Aude. Aussi importantes étaient les archives du département de l’Aude, qui se situent dans le quartier nord de Carcassonne et dont la salle de lecture est embellie par une large fenêtre qui donne sur le beau paysage de ce département. Leurs professionnels ont répondu sans relâche à mes questions, et rendu le temps que je passais aux archives très joyeux et d’une valeur inestimable.
Sur un sujet un peu différent, je dois reconnaître l’aide spéciale du maire, M. Jean Labadie, et de M. Gilbert Rivère, le responsable de la bibliothèque, tous deux de La Digne-d’Amont ; ils m’ont permis de travailler à temps partiel à la bibliothèque du village en 2004, quand mon espace habituel de travail n’était pas disponible.
Au Canada, je dois remercier d’abord mes lectrices minutieuses, Margaret Gillett et Andrée Lévesque, qui ont lu presque tous les chapitres aussitôt qu’ils étaient prêts, et qui, avec beaucoup d’enthousiasme, m’ont donné des commentaires très pertinents sur chaque brouillon. Elles m’ont encouragée pendant des périodes difficiles et je leur serai toujours reconnaissante pour leur aide. Mon compagnon, feu Guy Paquette, a toujours été un appui solide pour mon travail sur le livre, même si celui-ci a duré plusieurs années ; son intérêt pour les livres en général, mais en particulier pour les ouvrages historiques constituait une base utile pour nos échanges, sans parler de son rôle important comme « dictionnaire ambulant ». Feu Cyril Osborne et Rita Osborne, mon oncle et ma tante, ont lu plusieurs chapitres avec beaucoup de patience ; ils m’ont persuadée que j’étais en train de devenir compréhensible.
Denise Lemieux fut la première collègue à lire le livre au complet en anglais et son enthousiasme pour le manuscrit m’a beaucoup encouragée. Elle m’a aidée aussi en suggérant, implicitement, une approche plus souple à la « société à maison »qu’on pourrait envisager comme plus ou moins présente dans des sociétés différentes. Finalement, je la remercie de ses talents en langue française qu’elle a appliqués à certaines phrases au point final du texte (mais pas celle-ci !) Susan Mann a entrepris la tâche difficile d’améliorer le premier chapitre du livre (toujours le chapitre le plus difficile), et elle reconnaîtra mes remerciements dans ses maintes suggestions que j’ai adoptées.
Louise Koo de l’Ecole d’architecture de McGill, a préparé les graphiques et les tableaux pour le livre, en les rendant aussi intéressants que possible. Blossom Shaffer m’a accordé énormément d’aide pour la mise au point finale du manuscrit sur ordinateur. Malgré les difficultés techniques posées par l’histoire de deux ordinateurs et de trois programmes différents, elle est toujours demeurée souriante et n’a jamais abandonné la partie. Je lui dois mes remerciements les plus profonds. J’aimerais aussi exprimer ma gratitude envers feu Elaine Nardocchio, qui m’a encouragée à passer du temps à Toulouse et, de cette façon, dans le Languedoc voisin.
D’autres ami(e)s et collègues ont mis leurs talents à contribution. Annmarie Adams, très créative dans ce domaine, m’a aidée avec le titre du livre et des chapitres. En plus, elle a ajouté de la vivacité au résumé, une contribution importante. Pour le chapitre V en particulier, Myron Frankman et Mary McKinnon du département

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