Autoévaluation de la qualité des services sociaux et médico-sociaux

Marie-Claire Haelewyck, Véronique Gousee

Description

L'évaluation, qui permet de vérifier si les objectifs fixés sont atteints, est souvent mal perçue et assimilée à la notion de contrôle. L'autoévaluation, elle, consiste en une participation volontaire des acteurs du travail social à un processus d'évaluation impliquant un mode de management participatif. Tous les partenaires sont impliqués dans cette autoévaluation y compris les bénéficiaires et/ou leur représentant. Ce système renforce l'idée que la personne présentant un handicap est au centre du projet.

Sujets

• Travail social

Informations

• Publié par: L'Harmattan
• Date de parution: 01 avril 2010
• Nombre de lectures: 234
• EAN13: 9782296241510
• Langue: Français
• Poids de l'ouvrage: 3 Mo

Extrait

Ouvrages parus _______

1.BELIN, Bet végétaux au secours du handicap (Prix Fernand Méry. Animaux 2002, Académie Vétérinaire de France) 2.BIN-HENG, M. CHERBIT, F. &LOMBARDI, E. Traiter la violence conjugale 1996 3.BORN M., LIONTI, A.M., Familles pauvres et intervention en réseau, 1996 ème 4.BOROY, A.Mes enfants sourds (2 ed. 2006) 5.BOSHI, R.La prévention des troubles psychiques chez l’enfant et l’adolescent. 6.BRESSON, M.SDF et nouveau contrat social. 1998 7.CAHEN, J. Réussir malgré sa dyslexie 8.CASPAR, P.. L’accompagnement des personnes handicapées mentales, 1994 9.CCAH (B. Belin) L’insertion professionnelle des handicapés 2003 10.CCAH (B. Belin)tome 2Les personnes handicapées vieillissantes, colloque, 11.CCAH (B. Belin)Tome 1,Les personnes handicapées vieillissantes, colloque, 2002 12.CERUTIApprendre à lire la télé, 2007 13.COLMONT, H.La personne handicapée et la vie, 2002 14.COTHENET, S.Réseau contre maltraitance 2004 15.COULIBALY, A.Droit au travail et handicap : comment améliorer ? 16.DE CONNINCK, G.Le métier de surveillant de prison 17.DROUARD, Y. L’éducateur spécialisé en foyer de CAT 18.DUTRENIT, J.M.La compétence sociale, diagnostic et développement 1997 19.DUTRENIT, J.M (dir.) Recherche et développement qualité en Action Sociale 2004 20.DUTRENIT, J.M.Action sociale et qualité sociale, 2002 21.DUTRENIT, J.M.Evaluer un centre social, 1994 22.GATTO, F.Enseigner la santé. L’exemple de la Kinésithérapie 2005 23.GAYDA, M. (ed.)L’enfant polyhandicapé et son milieu 2002 24.GAYDA, M. (ed.)Les causes de l’autisme et leur traitement 25.GILLET, J.C.Animation et animateurs, le sens de l’action, 1995 26.GOUARNE, R.1997Les aveugles dans l’entreprise 27.GRANVAL, D. Adolescents difficiles, établissements et aide sociale 28.GRANVAL, D.Le projet individualisé en travail social 2005. 29.JELLAB, A. Le travail d’insertion en mission locale 30.JOING, J.L.Ethique et qualité en action sociale, 2002 31.LAFORESTRIE, R.Vieillesse et société 32.LARES-YOËL, L.M.Mon enfant triso 33.LAVOIE, J.P.Familles et soutien aux parents âgés dépendants, 2000 34.LECAPITAINE…L’intégration scolaire des malentendants 35.LEFEBVRE, G.Reconstruction identitaire et insertion, 1998 36.LEPAGE-CHABRIAIS, M.Réussir le placement des mineurs en danger, 1996 37.MERIGOT, D.1997Familles en structures d’accueil. Approche systémique. 38.MERLE D’AUBIGNE,LesD. Création artistique et dépassement du handicap. ateliers Personimages 1998 39.NICOLAS-LE STRAT, P.Pouvoirs de l’implication. Les nouvelles bases de l’intervention sociale.

40.

41. 42. 43. 44. 45. 46. 47. 48. 49. 50. 51. 52.

RATERGARCETTELa professionnalisation du travail social (1880-1920),, C 1996 REBOULVisiteur à l’hôpital et en maison de retraite 2006 ROMIEUX, C.Logement social et traitement de l’insécurité, 2007 RUHAUD, B. Accueil familial et gestion de l’autorité parentale. 1998 SCELLES, R.1998Fratrie et handicap TEXIER, VAN HYFTE et al. Une autre scène éducative : la parentalité 2001 THYS, P.Surveiller la liberté 1998 VASSEUR, P.Histoire de l’Aide à l’enfance VERGNE, M.L.Le travail social au cœur des paradoxes, 2002 VEZINA, A. & al. Diagnostic et traitement de l’enfant en danger, 1995 VIARD, A. (dir.)La loi de rénovation de l’action sociale au quotidien 2005 VOCAT, Y. Apprivoiser la différence ZAFFRAN, J.L’intégration scolaire des handicapés

Réalisé en partenariat avec :

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Les deuxéquipes co-organisatrices :

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Ainsi que : -

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LeService d’Orthopédagogie clinique de l’Université de Mons-Hainaut: Mesdames Marie-Claire Haelewyck et Véronique Gousée ; Le Service d’accompagnementSisahm:à Bruxelles Monsieur Guy Hubert et Madame Anne-MarieDe Vleeschouwer ;

Monsieur Jean-Luc Lefèbvre duService d’Accompagnement pour Personnes Handicapées Adultes (SAPHA)à Mons. Madame Monique Debruxelles du service résidentiel et d’accompagnement pour adultes présentant un handicap mental« Accueil Mosan »à Namur, représentant del’Association des Services d’Accompagnement et d’Action en milieu ouvert pour personnes handicapées (ASAH)au sein du groupe de recherche. Monsieur Patrick Robert et ensuite Madame Nathalie Vienne du service d’accueil de jour pour personnes handicapéesLe Tandemà Cuesmes. Monsieur Christian Nile, Inspecteur pédagogique de l’Agence Wallonne pour l’Intégration des Personnes Handicapées (AWIPH)à Charleroi (Montignies-sur- Sambre). MadameBernadetteDe Mûelenaere du centre d’éducation permanente par le loisir pour personnes adultes handicapées mentales et pour personnes non handicapéesle Silexà Bruxelles ;

Cet ouvrage est donc le fruit d’une réflexion menée par une équipe de chercheurs et praticiens belges. Cependant, lorsque l’on parcourt les normes exigées par les pouvoirs subsidiants belges (arrêté de 1997) et la loi française de 2002, il apparaît très clairement que les préoccupations sont identiques au sein des deuxpays.

En effet, les exigences communes sont entre autres : -l’évaluation continue des besoins et des attentes des bénéficiaires afin de développer leur autonomie -le respect de la dignité des personnes, de leurs choix, etc. -l’accompagnement individuel -l’élaboration d’une convention d’accueil reprenant la nature des services offerts -l’élaboration du projet de service -la mise en œuvre d’un projet individualisé dont l’acteur principal est la personne présentant un handicap -l’autoévaluation de la qualité du service rendu

On peut donc penser de manière que la démarche proposée ci-après sera pertinente tant pour les services belges que pour les services français.