Les Kpon chez les Abidji de Côte d'Ivoire

Gnamba Adou Pascal

Description

Définir le kpon nécessite que le chercheur se situe sur un double registre culturel. Pour les Abidji, le kpon, représente le pouvoir inné ou acquis de guérir les blessures fraîches qu'un adepte s'est infligé pendant un épisode de transe rituelle. Du point de vue externe de l'observateur occidental, le kpon apparaît comme un rite ordalique pratiqué par un groupe d'initiés lors de la cérémonie du dipri, fête commémorant la traversée du fleuve Comoé par le peuple abidji.

Découvrez toute la collection Harmattan Côte d'Ivoire en cliquant ici !

Sujets

• Anthropologie
• Ethnologie
• Civilisation
• Sociologie, société et politique

Informations

• Publié par: L'Harmattan
• Date de parution: 01 mai 2014
• Nombre de lectures: 36
• EAN13: 9782336347783
• Langue: Français
• Poids de l'ouvrage: 2 Mo

Extrait

Adou Pàscà Gnamba

LeKPONchez Les Abidji de côte d’ivoir e

Rituel et symbolisation

DEDICACE Je dédie cet ouvrage à feue Tantie N’GNAN Yaba, la seule et unique femmekponpoyou de Yaobou, à feu Tonton N’GUESSAN Akessé Jacques qui m’a fourni de nombreuses informations sur ledipri, à mes amis et maîtres Bernard CHOUVIER, Jean-Marie DOLLE, Michel CORNATON et François LAPLANTINE, Professeurs éméritesde l’université Lumière Lyon 2 (France) pour la semence intellectuelle qu’ils ont inoculée en moi sans omettre mon parrain, feu le Grand Chancelier Germain COFFIE GADEAU.

REMERCIEMENTS Selon un dicton bambara, «on n’oublie jamais l’arbuste derrière lequel on se cache pour tirer sur un éléphant».Qu’il me soit permis de remercier tous ceux qui ont contribué,d’une manière ou d’une autre, à la réalisation de cet ouvrage : Mes tout premiers remerciements vont à ceux qui m’ont encouragé à travers leur impatience de voir cette œuvre publier: les pères Jean SINSIN BAYO et Benjamin SOMBEL SARR de l’université catholique d’Afrique de l’Ouest (UCAO), le professeur LOGBO BLEDE de l’université FélixHouphouët-Boigny de Cocody-Abidjan pour sa touche littéraire; MonsieurETIEN N’dah A.pour sa constante sollicitude et pour son savoir-faire éditorial ; Mes enfants et leurs génitrices respectives sans omettre mes étudiants du Département de psychologie (université Félix Houphouët-Boigny de Cocody-Abidjan) et de l’université catholique d’Afrique de l’Ouest (UCAO) pour leurs encouragements sans cesse renouvelés.