Mal à droite - Lettre ouverte à la vieille race blanche et à la droite, fille de joie

Nicolas Bonnal

Description

En dix ans, Internet a détruit l’industrie culturelle, limité l’information aux peoples, ahuri les jeunes vidéo­maniaques qui naissent vieux, a désexualisé les rapports humains, bref, a accompli le même rôle eschatologique que la presse à imprimer de Gutenberg, responsable de vingt guerres civiles dites «?de religion?», de massacres et vandalismes sans nom ainsi que de la dépopulation d’une partie de l’Europe.

Trente ans après Coppola, il est possible enfin de bien décrire l’Apocalypse molle et grise qui commence à inquiéter tous les idiots du village médiatique.

Sujets

• Science politique
• Sociologie, société et politique

Informations

• Publié par: Michel de Maule
• Date de parution: 01 janvier 2011
• Nombre de lectures: 77
• EAN13: 9782876233430
• Langue: Français

Extrait

M AL À DROITE

Nicolas Bonnal

M AL À DROITE

L ETTRE OUVERTE À LA VIEILLE RACE BLANCHE ET À LA DROITE , FILLE DE JOIE

M ICHEL DE M AULE

Conception graphique Les 3TStudiO.

© É DITIONS M ICHEL DE M AULE , 2011 41, rue de Richelieu — 75001 Paris. micheldemaule.com

C OLLECTION « S AUTES D ’ HUMEUR » DIRIGÉE PAR Y VES L EMOINE

Jean-Emmanuel Ducoin —!Lance Armstrong, l’abus (2009). —Il est mal vu de… (2010).

D U MÊME AUTEUR

Le Coq hérétique : autopsie de l'exception française, Belles Lettres, 1997. Internet, la nouvelle voie initiatique, Belles Lettres, 2000. Jean-Jacques Annaud : un cinéaste sans frontières, Michel de Maule, 2001. Les Territoires protocolaires, Michel de Maule, 2001. Mitterrand, le grand initié, Albin Michel, 2001. Tolkien, Les Univers d'un magicien, Belles Lettres, 2002. Le Voyageur éveillé, Belles Lettres, 2003. Les Mirages de Huaraz et autres contes latinos, Michel de Maule, 2007.

S YMPHONIE PAMPHLÉTAIRE EN QUATRE M OUVEMENTS , EN P ICSOU MINEUR , ÉCRITE DE M AR DEL P LATA AU C AP F ERRAT

« La folie du moment est d’arriver à l’unité des peuples et de ne faire qu’un seul homme de l’espèce entière. » Monsieur de Chateaubriand (qui ne s’y était pas trompé)

1 « Dividimus muros et moenia pandimus urbis » Monsieur Virgile (qui déjà était moins optimiste)