NEUF TEXTES  Publiés dans Orbis Terrae, 2016
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Publié le 07 juillet 2016
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Langue Français

Extrait

Neuf textes parus dans Orbis Terrae, 2016ORBIS TERRAE, club de réflexion politique, écologique et stratégique www.orbisterrae.ch
Eric de Haynin
Bernard Antoine Rouffaer
Pierre Jean Duvivier
Nadine Richon
Otilio Klass-Amann
En théorie "toute théorique", l'économie européenne - en particulier celle des pays les plus à l'est - devrait repartir fortement. Pourquoi ?1 - Le coût de l'énergie s'est effondré. L'Europe est une consommatrice d'énergie et, peu ou pas, une productrice (exception notable de la Norvège et/ou de l’Écosse). Un effondrement du coût de l'énergie devrait doper fortement toutes les industries européennes en augmentent leur marge de plusieurs dizaines de % (l'impact peut être énorme). 2 - L'euro, quoiqu'on en dise, est une des grandes monnaies de réserve mondiale et le reste...Il représente une grande part des échanges et a vocation à remplacer le dollar dans certains échanges. Malgré tous les problèmes, elle ne semble pas avoir perdu beaucoup de terrain, car il n'existe, à part l'or, peu de substituts... Le Yen perd cette valeur de refuge et le Franc Suisse est piloté politiquement pour éviter qu'il le devienne encore plus (monnaie de réserve).
Au niveau international, les "concurrents" sont dans des passes plus compliquées :
3 - Les géants asiatiques (Chine. Inde) vont faire face à des défis colossaux dus en grande partie à leur gigantisme, une corruption massive et des problèmes sociaux à venir d'une ampleur inégalée ailleurs. Ces défis vont attaquer leur compétitivité.
4 - Les USA "se cherchent" mais restent la première puissance mondiale, en particulier la première puissance en terme de recherche et d'investissement dans les industries (informatiques, robotiques, ...) de l'avenir. Néanmoins, les incertitudes politiques et économiques (chute du prix des énergies) vont faire sentir leur poids, et on ne sait pas encore à quel point.
Revenons en Europe.
En théorie, ce serait les pays de l'Est qui devraient tirer parti les premiers de cette reprise en étant prêts, grâce à une main d'oeuvre qualifié et moins chers qu'à l'Ouest, à "prendre" les commandes, en particulier de services, des industriels de l'ouest de l'Europe. Dans un premier temps, en sous-traitance, ce qui tirera, à terme, leur niveau de vie vers le haut (à nouveau).
Malheureusement, ces éléments théoriques sont contrariés par la crise politique de grande ampleure qui secoue l'Europe à plusieurs niveaux :
- La crise migratoire qu'elle se prend de plein fouet, la faisant douter de ses propres principes et l'exposant de fait à des dépenses qui pourraient être importantes, ce qui qui la détruit politiquement.
- La désunion manifeste de ses membres. Il n'y a plus aucune ligne commune entre une Pologne conservatrice et une Espagne en roue libre voir un Royaume-Uni qui pourrait sortir de l'Union.
- Le risque de guerre sur son sol . La Russie est une menace beaucoup plus sérieuse que l'EI à bien des égards qui va forcement impacter les budgets de défense au détriment d'autres budgets. - L'absence de confiance en soi. Personne ne croit plus en l'Europe...ou du moins pas grand monde. Et sans confiance, difficile même de marcher sur une voie facile. - Le niveau des prélèvements "inutiles" qui massacre le pouvoir d'achat des Européens. C'est une classe politique corrompue qui assure la "stabilité morbide" d'un capitalisme de connivence fait de subventions avec de l'argent public, favoritisme et autres malversations, qui au final est le premier problème européen. Combien d'argent retiré de l'économie "réelle" pour simplement faire vivre une classe de parasites qui ne produisent rien, ne vendent rien, ne font rien fonctionner ? Pierre Jean Duvivier 16 avril 2016
Nous sommes en deuilNous sommes en deuil. Des morts de Charlie, du Bataclan, des cafés parisiens, du métro bruxellois, des enfants juifs tués en France par un islamiste… Faut-il rire de ces morts au motif que «le capitalisme tue davantage», «la France tue» ou – plus subtilement car sur ce mur on pratique la réflexion, juste pour dire – que des tyrans soutenus par l’Occident polluent effectivement le monde arabo-musulman autant que les islamistes?Le deuil que nous portons est méprisable pour certains en Europe, on le voit même sur FB. C’est le deuil de «nos» morts européens, croyants ou non, musulmans ou non, assassinés au hasard. C’est le deuil des filles tuées dans le Maghreb ou au Pakistan, tuées oui, pour n’avoir pas porté le voile. C’est le deuil des enfants utilisés dans les guerres menées par différents groupes militaro-religieux à travers le monde. C’est le deuil des inconnus massacrés dans un marché, un monastère ou une mosquée au nom de leur croyance dénoncée par une autre croyance. Et c’est la peur. Ressentie par une romancière menacée de mort en ce moment même car elle rêve d’une Bosnie laïque. C’est la peur plus lointaine qui a concerné Salman Rushdie et tant d’autres. Foutons-nous de sa gueule de people menacé dans le luxe, rigolent certains esprits tellement hâtifs. Les mêmes qui confondent résistance et terrorisme, sans voir à quel point leur raisonnement ressortit au totalitarisme. Notre deuil serait donc méprisable car nous le vivons par procuration dans la Suisse préservée de Heidi. Il serait donc risible car nous ne sommes pas endeuillés directement. Un deuil méprisable car nous osons le porter. Triste tautologie. Nous le portons non par idéologie mais par humanité. La même qui nous fait trembler pour des gens qui vivent sous la domination du Hamas et la réplique israélienne sachant trop bien être sanglante. La même qui devrait nous porter, en tant qu’Européens, à répartir plus facilement et plus humainement les réfugiés syriens entre des pays suffisamment nombreux sur ce continent qui laisse trop de place à… la peur. Pour travailler sur cette peur il faut oser nommer l’ennemi qui tue dans les lieux publics européens et orientaux. Cela passe d’abord par la reconnaissance de notre deuil européen et la légitimation de notre vigilance envers l’idéologie religieuse qui tue d’une main et se lave-plus-blanc sur nos réseaux sociaux, dans nos instances démocratiques, sur les bancs de nos universités, dans un discours qui nous anéantit, oui, nous, car il nie cette part de l’Occident qui ne jette pas des bombes, qui porte une parole humaniste, réellement universaliste. L’écrivain Didier Daeninckx a rappelé ainsi l’existence de ces enseignants français tués par l’OAS en Algérie alors qu’ils faisaient passer le message de la liberté aux futurs héros de la décolonisation. Minimiser notre deuil ne fera qu’accroître la peur de tous pour le plus grand profit de nos extrêmes-droites xénophobes et le plus grand malheur du monde. Nadine Richon 20 avril 2016
Les Kurdes dans la tourmenteJ'entends, ici et là, formuler des inquiétudes au sujet de l'avenir des Kurdes de Syrie et d'Irak. Le cessez-le-feu en Syrie, l'affaiblissement progressif de l’État islamique supprimerait progressivement l'avantage que trouvent les Grandes Puissances à soutenir le mouvement émancipateur et combattant des Kurdes. Je ne serai pas aussi pessimiste. Le Kurdistan unifié et indépendant n'est pas pour tout de suite, mais ses éléments constitutifs se mettent en place. Les Kurdes, du côté arabe (Syrie, Irak), ont conquis une indépendance de fait. Mais éloigné de la mer, isolé dans l'intérieur des terres par une éventuelle coalition de puissances régionales adverses, celles-là même qui ont contribué à leur soumission, ce début d’État indépendant kurde pourrait connaître bien des difficultés. Peut-être, mais... L'Irak, en tant qu’État unifié, arrogant et impérialiste, a cessé d'exister. La Syrie, comme base du nationalisme arabe, sourcilleux quant à ses frontières, a suivit, pour son malheur, le même chemin. L'Iran, qui peut voir dans ce nouvel élément politique un allié possible (comme l'Arménie), pourrait se montrer accommodant. La Turquie restera un ennemi implacable. Mais comme Ankara ne renoncera pas de sitôt à ses alliances sunnites et fondamentalistes, elle continuera à affronter chiites et autres minoritaires du Croissant Fertile. Donc les Russes. Pour les Kurdes, Moscou, donc, contrebalancera Ankara. Même en cas de cessation de la guerre civile en Syrie, le pays restera vraisemblablement morcelé et instable. Il n'y aura donc pas d'autorité centrale susceptible d'écraser le désir d'autonomie des populations kurdes. Mais éloignons-nous un peu de la Syrie, et contemplons la scène d'un peu plus haut. Nous verrons alors apparaître dans notre champ de vision Israël, l’Égypte, l'Arabie Saoudite... D'une certaine manière, les Kurdes, d'un point de vue occidental, pourraient partiellement remplacer Israël. Ils sont fiables, ont des objectifs clairs, sont combatifs, modernistes. Et ils opèrent au coeur de la crise. Comme l’État d'Israël dans les années 50, à une époque ou Tel Aviv affaiblissait efficacement, au profit de l'OTAN, les régimes nationalistes et socialistes arabes qui dominaient en Égypte, Syrie et en Irak. Mais, depuis, les choses ont changé. On a pu constater que l’État juif ne joue plus guère qu'un rôle égoïste dans la zone, se contentant de détruire ou affaiblir les entités étatiques voisines, sans favoriser l'émergence, nul part, de régimes arabes viables et utiles. Ce qui ne va pas nécessairement dans le sens des intérêts occidentaux, pour qui le chaos est générateur d'instabilité, de réfugiés et de terrorisme. Il y a donc là une carte stratégique à jouer pour la nation kurde. Bernard Antoine Rouffaer 24 avril 2016
Quelle base intellectuelle est-elle nécessaire pour s'exprimer sur l'un ou l'autre des aspects de l'islam-religion ?Sur l'islam, tout le monde s'exprime, des plus qualifiés aux plus ignorants. Cela alimente les conversations, mais ne fait guère avancer le débat. Je suis d'avis qu'une base intellectuelle et bibliographique minimum devrait être avancée pour émettre un avis sur une question aussi compliquée. Je vais me prendre en exemple. Je viens de produire un texte de 208 pages intitulé « Pourquoi Daech nous tue », sous-titré de la façon suivante : « Les origines de la violence en islam, dans le Coran, les hadiths et la biographie du Prophète ». Ce sont les titres et sous-titres de ce qui est en train de devenir un livre. Je m'avance beaucoup. Au sein d'une société où nombre d'intellectuels, pseudo-intellectuels, chefs religieux, journalistes, artistes, politiciens, s'esbignent depuis 30 ans à nous répéter que le message de l'islam est pacifique, c'est aller un peu à contre-courant. Comme le dit ce phare de la pensée états-unienne, Barack Obama, le mot « salam », dans le monde islamique, sert de salutation..., si ce n'est pas là une démonstration théologique de toute première force, qu'est-ce que c'est ? J'ai ma propre technique de recherche, qui va un peu au-delà de la lecture de guide de conversation pour touriste. Je fouille les bibliothèques universitaires. Et j'y trouve, par exemple, la bibliographie (des auteurs cités) de « Pourquoi Daech nous tue ». BIBLIOGRAPHIE (ouvrages cités, ou figurant dans les notes de « Pourquoi Daech nous tue », éditions A-Eurysthée, 2016) Abdel-Malek Anouar,La Pensée politique arabes contemporaine, Seuil, Paris, 1970 Abdurrahmân Badawi,Défense du Coran contre ses critiques, Éditions Afkar, Paris 1988 Allard Paul,Les esclaves chrétiens, depuis les premiers temps de l’Eglise jusqu’à la fin de la domination romaine en Occident, librairie Victor Lecoffre/J. Gabalda éditeur, Paris, 1914 Aldeeb Abu-Salieh Sami A.,Introduction à la lecture juridique du Coran, Bruylant, Bruxelles, 1988 Al-Ghazâli,Vivification des Sciences de la Foi, traduction Maxet analyse par G.-H. Bousquet, Besson, Paris Anawati Georges C. et Borrmans Maurice,Tendances et courants de l’Islam arabe contemporain, vol.1 : Egypte et Afrique du Nord, Kaiser/Grünewald, München/Mainz, 1982 Andrae Tor,Mahomet, sa vie et sa doctrine, ed. Adrien Maisonneuve, Paris, 1945 Andrae Tor,Les origines de l’islam et le christianismed’Amérique et d’Orient Adrien-, Librairie Maisonneuve, Paris, 1955 Arkoun Mohammed,Pour une critique de la raison islamiqueet Larose, Paris,, Maisonneuve
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Le Koran, Savary Claude-Etienne, Garnier Frères, Paris, 1926
Le Coran, trad. Boubakeur Si Hamza, Fayard, Paris, 1985
Le Coran, trad. Berque Jacques, Sindbad, Paris, 1990
Le Coran, trad. Montet Edouard, Payot, Paris, 1925
The Bounteous Koran, trad. Khatib M. M., MacMillan Press, London, 1984
Le Coran, trad. Kasimirski Albert Félix I., SACELP, Paris, 1981
Le Coran, trad. Blachère Régis, Maisonneuve, Paris, 1950
Le Coran, trad. Hamidullah M., Ansariyan Pub., Qum, 1984
Le Coran, essai d’interprétation du Coran inimitable, trad. Mazigh S., Jaguar, Paris, 1985 The Koran interpreted, trad. Arberry A., George Allen and Unwin, London, MacMillan, New York, 1980 Voila... Qui m'aime me lise. Otilio Klass-Amann 27 avril 2016
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