Notre Dame et annonces Macron
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Incendie de Notre-Dame Ğƚ ĂŶŶŽŶĐĞƐ ĂƚƚĞŶĚƵĞƐ Ě͛ ŵŵĂŶƵĞů DĂĐƌŽŶ > s ͛ D Z'K : h / ϭϴ sZ/> ϮϬϭϵ ϮϬ, Sondage réalisé avec pour et Recueil Mét hodologie ŶƋƵġƚĞ ƌĠĂůŝƐĠĞ ĂƵƉƌğƐ Ě͛ƵŶ ĠĐŚĂŶƚŝůůŽŶ ĚĞ &ƌĂŶĕĂŝƐ ŝŶƚĞƌƌŽŐĠƐ ƉĂƌ ŝŶƚĞƌŶĞƚles 17 et 18 avril 2019 Echantillon Echantillon de1 003 Françaisreprésentatif de la population française âgée de 18 ans et plus La représentativité deů͛ĠĐŚĂŶƚŝůůŽŶest assurée par la méthode des quotas appliqués aux variables suivantes : sexe, âge, niveau de diplôme et profession deů͛ŝŶƚĞƌǀŝĞǁĠaprès stratification par région et catégorie Ě͛ĂŐŐůŽŵĠƌĂƚŝŽŶ. WƌĠĐŝƐŝŽŶƐ ƐƵƌ ůĞƐ ŵĂƌŐĞƐ Ě͛ĞƌƌĞƵƌ Chaque sondage présente une incertitude statistique queů͛ŽŶappelle margeĚ͛ĞƌƌĞƵƌ. Cette margeĚ͛ĞƌƌĞƵƌsignifie que le résultat Ě͛ƵŶsondage se situe, avec un niveau de confiance de 95%, de part etĚ͛ĂƵƚƌĞde la valeur observée. La margeĚ͛ĞƌƌĞƵƌdépend de la taille deů͛ĠĐŚĂŶƚŝůůŽŶainsi que du pourcentage observé.

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Publié le 18 avril 2019
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Incendie de Notre-Dame et aŶŶoŶĐes atteŶdues d’EŵŵaŶuel MaĐƌoŶ
LEVÉE D’EMBARGO JEUDI ϭϴ AVRIL ϮϬϭϵ À ϮϬH
Sondage réalisé avec
pour
et
Recueil
Mét
hodologie
EŶƋuġte ƌĠalisĠe aupƌğs d’uŶ ĠĐhaŶtilloŶ de FƌaŶçais iŶteƌƌogĠs paƌ iŶteƌŶetles 17 et 18 avril 2019
Echantillon
Echantillon de1 003 Françaisreprésentatif de la population française âgée de 18 ans et plus
La représentativité del’ĠĐhaŶtilloŶest assurée par la méthode des quotas appliqués aux variables suivantes : sexe, âge, niveau de diplôme et profession del’iŶteƌǀieǁĠaprès stratification par région et catégorie d’aggloŵĠƌatioŶ.
PƌĠĐisioŶs suƌ les ŵaƌges d’eƌƌeuƌ
Chaque sondage présente une incertitude statistique quel’oŶappelle marged’eƌƌeuƌ. Cette marged’eƌƌeuƌsignifie que le résultat d’uŶsondage se situe, avec un niveau de confiance de 95%, de part etd’autƌede la valeur observée. La marged’eƌƌeuƌdépend de la taille del’ĠĐhaŶtilloŶainsi que du pourcentage observé. Sile pouƌĐeŶtage oďseƌǀĠ est de … Taille de l’EĐhaŶtilloŶ5% ou 95% 10% ou 90% 40% ou 60% 50%20% ou 80% 30% ou 70% 1008,0 9,2 9,8 10,04,4 6,0 2005,7 6,5 6,9 7,13,1 4,2 3004,6 5,3 5,7 5,82,5 3,5 4002,2 3,0 4,0 4,6 4,9 5,0 5001,9 2,7 3,6 4,1 4,4 4,5 6001,8 2,4 3,3 3,7 4,0 4,1 8002,8 3,2 3,5 3,51,5 2,5 9002,6 3,0 3,2 3,31,4 2,0 1 0001,4 1,8 2,5 2,8 3,0 3,1 2 0001,8 2,1 2,2 2,21,0 1,3 30001,4 1,6 1,8 1,80,8 1,1 Lecture du tableau:Dans un échantillon de 1000 personnes, si le pourcentage observé est de 20% la marged’eƌƌeuƌest égale à 2,5% : le pourcentage réel est donc compris dansl’iŶteƌvalle[17,5 ; 22,5].
Les principaux enseignements :
Les principaux enseignements
Notre-Daŵe Ŷe ŵodifie eŶ ƌieŶ l’Ġtat de l’opiŶioŶ
1. Aprèsl’iŶceŶdiede Notre-Dame, 6 Français sur 10 (61%) pensentƋu’EŵŵaŶuelMacron a eu raison de différer les annoncesƋu’ilavait prévu de faire 2. La plupart (4 sur 6) des annoncesƋu’ildevrait faire sont jugées conformes aux conclusions du grand débatsurtout celles portant sur le social comme la réindexation des retraites surl’iŶflatioŶ(74%) et la baisse del’IRpour les personnes en payant les premières tranches (77%) 3. Il sera plus difficile de demander aux Français de travailler plus pour financer ces mesures : 3 Français sur 4 sont résolument opposés à la suppressiond’uŶou deux jours de congés ou àl’augŵeŶtatioŶdel’âgelégal de départ à la retraite. Revenir sur les 35 heures est en revanche une mesure acceptable pour un Français sur deux 4. 54% des Français demandent aux gilets jaunes de suspendre leur décision de manifester samedi prochain. Cette proportionŶ’apas évoluéd’uŶiota après Notre-Dame. Quelle que soitl’ĠŵotioŶsuscitée parl’iŶĐeŶdiede Notre-Dame, ilŶ’LJaura pas « un avant et un après », mais une attente toujours aussi forte des Françaisd’eŶteŶdƌele président annoncer les mesures économiques et socialesƋu’ila tirées du grand débat. Si, pour les Français il était bien légitime de différer ces annonces, le drame del’Ilede la Cité ne modifie en rien leur exigence à ce sujet.
Dans son analyse des réseaux sociaux, Véronique Reille-Soult relève que les internautes ont salué le choixd’EŵŵaŶuelMacrond’aŶŶuleƌle discours économique et social de lundi, maisƋu’ilsattendent maintenant que le président prenne la parole pour annoncer son plan directeur et ses mesures : «C’està lui de le dire, del’edžpliƋueƌet de convaincre ». Que les internautes apprécient ou pas les mesures pré-annoncées ils souhaitent donc que le chef del’Etat s’edžpƌiŵele plus rapidement possible.
Gaël SLIMAN, Co-foŶdateuƌ et pƌĠsideŶt d’Odoxa
Synthèse détaillée du sondage (1/5)
1. Aprèsl’iŶceŶdiede Notre-Dame, 6 Français sur 10 (61%) pensentƋu’EŵŵaŶuelMacron a eu raison de différer les annoncesƋu’ilavait prévu de faire
Les Français valident la décisiond’EŵŵaŶuelMacron de retarder les annoncesƋu’ilavait prévu de faire. Aprèsl’iŶĐeŶdiede Notre-Dame, 61% de nos concitoyens estiment que le président a eu raison de repousser ces annonces. Seule une minorité de 39% pensentƋu’ila eu tort.
Ceux qui le pensent sont en revanche nettement majoritaires parmi les populations les plus hostiles àl’edžĠĐutifet les plus impatientesd’eŶteŶdƌeles mesures répondant leur colère : 59% des sympathisants Insoumis, 52% de ceux du RN mais aussi 55% des catégories populaires sontd’aǀis Ƌu’ilne fallait pas différer ces annonces.
2. La plupart (4 sur 6) des annonces que devrait faire Emmanuel Macron sont jugées conformes aux conclusions du grand débatsurtout celles portant sur le social comme la réindexation des retraites surl’iŶflatioŶ(74%) et la baisse del’IRpour les personnes en payant les premières tranches (77%)
Sauf surprise et retournement de dernière minute, la plupart des annonces que le président fera sont déjà connues,puisƋu’illes avait déjà exposées aux médias juste avantl’iŶĐeŶdiede Notre-Dame.
Nous avons donc pu les tester en demandant aux Français si chacune de ces propositions répond ou non aux attentes et aux conclusions du grand débat.
Le bilanŶ’estpas mauvais du tout : 4 des 6 principales propositions que nous avons testées rencontrent une large adhésion, 6 à 8 Français sur 10 estimant que ces propositions « répondent bien aux attentes et aux conclusions du grand débat ».
C’estnotamment le cas de la baissed’iŵpôtpour les personnes payant les première tranchesd’iŵpôtsur le revenu (77%), ou pour la réindexation surl’iŶflatioŶdes retraites inférieures à 2000(74%). Ces mesures sociales et de pouvoird’aĐhat,largement réclamées dans nos sondages durant le grand débat, sont plébiscitées par les trois-quarts des Français.
Synthèse détaillée du sondage (2/5)
Autre mesure sociale plébiscitée par une proportion comparable (74%) : la promesse de suspendre les fermeturesd’ĠĐolesetd’hôpitaudž jusƋu’àla fin du quinquennat. Cette mesure rejoint une autre demande forte enregistrée dans les sondages et dans les contributions : la défense/sauvegarde des services publics.
Une autre mesure bien accueillie (59%) concerne la vie démocratique avec la facilitation del’usagedu référendum. Le président devrait annoncer l’iŶstauƌatioŶpartielle du RIC (uniquement sur les sujet locaux), etl’allğgeŵeŶtdes conditions de mise enœuǀƌedu référendum d'initiative partagée. Toutefois, ces mesuresapprouvées dans leur principesont moins massivement perçues comme répondant aux attentes du grand débat (15 points de moins que les précédentes).C’estassez logique car,d’uŶepart, ces attentes étant bien moins prioritaires que les attentes économiques liées à la fiscalité, au social et au pouvoird’aĐhat; et,d’autƌepart, la réponse du président à ces attentesŶ’estpas pleinement satisfaisante pour ceux qui en faisaient des revendications majeures. En effet, le RIC et le RIP sont proposés sous conditions, alors que leurs supporters en voulaient un usage beaucoup plus large.D’ailleuƌs,les plus demandeurs sur ces sujets, sont une minorité (respectivement 44% et 49%) àles sympathisants FI et RN, estimer que ces mesures répondent bien aux attentes du grand débat.
Pour autant ces 4 mesures sont perçues par une large majorité de Français comme étant des réponses pertinentes aux attentes du grand débat. Tel Ŷ’estpas le cas de deux mesures que le président devrait annoncer.
Si la suppression del’ENA Ŷ’estpasen soiune mesure impopulaire, elleŶ’estpas pour autant perçue comme une mesure répondant aux attentes du grand débat. 62% des Français ne voient guère le rapport entre les revendications exprimées lors de celui-ci et cette mesure « techno ».
Mais au moins, cette décision ne devrait pas « faire pleurer dans les chaumières ».
Ce ne sera pas le cas del’autƌenon-annonce) largement réprouvée : le fait de ne pas revenir sur la suppression deannonce (ou l’ISF. Cette décision est à la fois très impopulaire (les Français y sont largement favorables) et surtout correspondait, elle, tout à fait aux demandes de nos concitoyens ème lors du grand débat. Dans nos sondages sur les attentes des Français àl’Ġgaƌddu grand débat, revenir sur la suppression del’ISFfigurait en 5 position des attentes.
Synthèse détaillée du sondage (3/5)
3. Il sera plus difficile de demander aux Français de travailler plus pour financer ces mesures : 3 Français sur 4 sont résolument opposés à la suppressiond’uŶou deux jours de congés ou àl’augŵeŶtatioŶdel’âgelégal de départ à la retraite. Revenir sur les 35 heures est en revanche une mesure acceptable pour un Français sur deux
Si les principales annonces que devrait faire Emmanuel Macron sont bien accueillies, tel ne sera pas le cass’agissaŶtdes mesures qui permettront de financer ces nouvelles dépenses.
Ainsi, il est très probable quel’edžĠĐutifdemande aux Français de travailler davantage afin de « faire rentrer del’aƌgeŶtdans les caisses » del’Etat. Pour cela plusieurs solutions sont possibles et/ou àl’Ġtude.
Or, aucune ne passerait facilement dansl’opiŶioŶet surtout pas les deux mesures les plus souvent envisagées ces derniers temps :l’augŵeŶtatioŶde l’âgelégal de départ à la retraite (70% des Français y seraient opposés) et, pire encore, la suppressiond’uŶou deux jours fériés dansl’aŶŶĠe(78% d’opposaŶtsͿ.
Al’edžĐeptioŶdes sympathisants de La République en Marche,d’aĐĐoƌd(par principe) avec toutes les mesures que pourrait proposer leur président, la France est unanime às’opposeƌnettement à ces deux mesures. Le rejet est particulièrement marqué auprès des catégories populaires (87% de rejet sur la suppression des jours fériés et 81% sur le report del’âgelégal), des personnes habitant en zones périurbaines (respectivement 83% et 73% de rejet pour ces deux mesures) et des quadragénaires (respectivement 88% et 78% auprès des 35-49 ans)catégories de la population particulièrement présentes parmi les gilets jaunes.
Chose amusante et habituelle, comme toujours, ce sont les plus de 65 ans qui sont parmi les plus favorables au report del’âgelégal de départ à la retraitepour les autres !
Seulement 52% sont opposés à cette mesure, alors que les trois-quarts des autres tranchesd’âgesy sont hostiles.
En effet, eux, ne sont plus concernés par la mesure et en plus, sont nombreux à être partis jeunes à la retraite (ou en préretraite). Le fait que cela ne puisse plus arriver à leurs cadets ne les déprime pas vraiment
Synthèse détaillée du sondage (4/5)
Finalement, la mesure qui serait la moins rejetée/ la plus acceptée concerne un serpent de mer de la droite : revenir sur les 35 heures hebdomadaires. Un Français sur deux (50% vs 49%) est favorable à cette solution, longtemps jugée inacceptable par nos concitoyens.
A cet égard, la surpriseŶ’estpas tant que la mesure « clive », la droite y étant largement favorable (76%d’adhĠsioŶauprès des sympathisants LR) tandis que le « peuple de gauche » y est majoritairement opposé (cette mesure a longtemps été pour lui un « totem sacré »), mais plutôt que cette mesure soit désormais jugée acceptable par 4 sympathisants de gauche sur 10 (39% des Insoumis et 40% des PS).
Un bémol tout de même, cette mesure ne concerne que les salariéseux sont toujours une large majorité à la réprouver : 58% des salariés, dontet 65% de ceux du secteur publics’LJdéclarent toujours opposés.
4. 54% des Français demandent aux gilets jaunes de suspendre leur décision de manifester samedi prochain. Cette proportionŶ’apas évoluéd’uŶ iota après Notre-Dame.
Si le mouvement des gilets jaunes a été extrêmement soutenu (66% des Français appelaient à la poursuite du mouvement fin novembre et ils étaient encore 55% à la faire début janvier) pendant des moisjusƋu’audébut del’aŶŶĠe2019, depuis le mois de février, nos concitoyens sont une nette majorité à demander aux gilets jaunes de cesser leur mouvement.
Ainsi dans notre sondage du 21 février dernier, les Français étaient déjà 55% à demander aux gilets jaunesd’aƌƌġteƌleur mouvement.
Mais nous atteignons un seuil et ne constatons plus aucune évolution depuis des mois dans cet arbitragepoursuite vs arrêt du mouvementmême après des images de très grande violence.
Et une fois encore, le contexte dramatique du moment ne modifie en rien ce rapport de force.
Ainsi, aprèsl’iŶĐeŶdiede Notre-Dame de Paris, 54% des Français;Đ’est-à-dire pas plusƋu’eŶtemps normal) demandent aux Gilets Jaunes de « faire une trêve et ne pas manifester ce samedi » alors que 46% de nos concitoyens considèrent au contraireƋu’ils« doivent maintenir leur journée de manifestation prévue ce samedi ».
Synthèse détaillée du sondage (5/5)
Comme nousl’oďseƌǀoŶsdepuis ces deux derniers mois, la question de la poursuite du mouvement des gilets jaunes fracturel’opiŶioŶ: alors que les catégories supérieures (57% des « CSP+ » et 66% des cadres), les Français habitant les grandes villes (58%) etl’aggloŵĠƌatioŶparisienne (58%) veulent un arrêt du mouvement, la France des catégories populaires (60%), des ruraux (53%) et des habitants des petites villes (51%), elle, veut que le mouvement se poursuive.
En fait, Notre-Dame ne change donc strictement rien àl’affaiƌe…et les premières fuites sur les annoncesd’EŵŵaŶuelMacron à la suite du grand débat, non plus.
Quelle que soitl’ĠŵotioŶsuscitée parl’iŶĐeŶdiede Notre-Dame, ilŶ’LJun avant et un après », mais une attente toujours aussi forte desaura pas « Françaisd’eŶteŶdƌele président annoncer les mesures économiques et socialesƋu’ila tirées du grand débat. Si, pour les Français il était bien légitime de différer ces annonces, le drame del’Ilede la Cité de modifie en rien leur exigence à leur égard.
Réseaux sociaux L’œil de VĠƌoŶiƋue Reille Soult, CEO de DeŶtsu CoŶsultiŶg
UŶ discouƌs saluĠ ;devaŶt Notƌe DaŵeͿ, uŶ ŵodĠƌĠŵeŶt appƌĠciĠ ;à l’ElysĠeͿ et le tƌoisiğŵe atteŶdu avec iŵpatieŶce (celui qui a été annulé). Emmanuel Macron a pris deux fois la parole cette semaine, non pas pour parler des mesures et du plan de sortie de crise tant attendu, mais pour parler del’iŶĐeŶdiede Notre Dame.
Le premier discours lundi soir devant la cathédrale encore fumante est celui qui a suscité le plus de commentaires. Les propos ont été jugés dignes et salués par tous les internautes du monde entier. Le discours de mardi soir depuisl’ElLJsĠe,lui, est plus controversé et moins compris.
Globalement, les internautes ont salué le choixd’aŶŶuleƌle discours économique et social de lundi maisils attendent maintenant que le président prenne la parole pour annoncer son plan directeur et ses mesures, au-delà du catalogue découvert dans la presse. Une très grande majorité demande à ce que le plan soit officialisé et incarné par le président : «c’està lui de le dire, del’expliƋueƌet de convaincre». Que les internautes apprécient ou pas les mesures pré-annoncées ils souhaitent doncun troisième discours du présidentet le plus rapidement possible.
Au-delà de la parole présidentielle,Notre-Dame est aucœuƌde toutes les attentions. 14 millions de messages ont été postés en deux jours, ils véhiculent principalement émotion et effroi. Le monde entiers’estexprimé, le nombre de messages del’ĠtƌaŶgeƌdépasse même ceux de la France.
En France, les messages portent principalement surl’hoƌƌeuƌet la tristesse provoquées par ce drame, même si un nombre grandissant d’iŶteƌŶautes s’edžpƌiŵeŶtauprès des entreprises et des familles milliardaires. Une forme de malaise sesur le montant des dons recueillis manifeste au regard des très gros montants qui sont arrivés si rapidement. Les 900 millions d'euros récoltés en 24h pour Notre-Dame sont comparés au budget patrimoine français en 2018 : 326 millionsd’euƌos. Véronique Reille Soult, CEO de Dentsu Consulting
Retrouvez les éléments détaillés del’aŶalLJsesur les réseaux sociaux à la fin de ce rapport
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